Un certain nombre de spécialistes, de beaucoup de choses, mais semble-t-il pas de droit pénal, Éric Zemmour en tête, se sont élevés contre l’hypothèse de poursuites des ministres élus et fonctionnaires devant le juge pénal pour les fautes commises dans l’exercice de leurs responsabilités dans la gestion de la pandémie Covid 19. Le principal argument consistant à dire que le contrôle de l’exécutif relève du Parlement et que le recours au juge pénal n’est pas conforme à la séparation des pouvoirs. Cette position passablement rustique repose, outre la volonté de mettre leurs amis du pouvoir défaillant à l’abri, sur une double confusion sémantique. Alors rappelons que le Parlement contrôle et que le juge… juge. Les mots ont un sens, et ce n’est pas la même chose. Le Parlement dans ses prérogatives de contrôle du gouvernement apprécie éventuellement des erreurs au nom des citoyens qui l’ont mandaté, et les sanctionne en votant la censure. Le juge établit des fautes prévues dans le code pénal et les sanctionne d’une peine prononcée en application du même code, le tout à la demande du parquet et des victimes.
Le Figaro m’a demandé mon avis. Je reproduis ci-dessous mes réponses. Avec une petite mise à jour concernant la dernière question relative à la triste pantalonnade de la tentative d’auto-amnistie préventive voulue par un pouvoir terrorisé à l’idée d’avoir à rendre des comptes sur son incroyable incurie.
Certains appels sont relayés sur les réseaux sociaux, incitant à attaquer en justice des élus ou des responsables politiques pour les erreurs qu’ils auraient commises dans la gestion de la crise. Demander au juge de contrôler l’action des décideurs politiques, est-ce légitime selon vous ?
Avant de répondre sur le fond, je crois nécessaire d’apporter quelques précisions. Tout d’abord Il ne s’agit pas d’« appels relayés » sur les réseaux sociaux, mais de plaintes d’ores et déjà déposés et de mise en place de plates-formes dédiées pour permettre aux victimes de saisir le juge pénal ainsi que la loi française le permet. Ensuite ce ne sont pas seulement les ministres ou les responsables politiques qui sont concernés par ces mises en cause, mais également les fonctionnaires. Enfin la démarche pénale vise non pas des erreurs, mais des fautes identifiées accomplies par un certain nombre de responsables et dont les plaignants prétendent qu’elles sont en lien direct avec le préjudice qu’ils ont subi. Effectivement aujourd’hui le débat fait rage sur l’impréparation, la défaillance et les fautes commises par autorités publiques, dont toutes les études montrent que l’opinion les reproche au pouvoir et considère qu’elles ont aggravé la crise pandémique.
Dans un État de droit, il est étrange de devoir rappeler que les responsables publics, ministre ou pas, restent des citoyens et des justiciables susceptibles d’être jugés par les tribunaux et de répondre de leurs actes individuels, dès lors que ceux-ci peuvent recevoir, une fois établis, une qualification pénale prévue par le Code du même nom. Il ne s’agit absolument pas de demander au juge pénal de contrôler l’action des décideurs politiques, mais d’établir au travers d’un débat judiciaire contradictoire organisé par le Code de procédure pénale, la réalité d’un certain nombre de faits, de leur donner une qualification pénale, de prononcer les sanctions prévues par le Code et d’indemniser les victimes. Si cela n’était pas possible, parce qu’existerait une immunité pour les agents publics, nous ne serions plus dans un État de droit. 2)
Ce contrôle ne se superposerait-il pas inutilement à celui du Parlement ?
Il faut tordre le cou à cette fausse opposition entre le contrôle politique du gouvernement exercé par le Parlement dans un régime de démocratie représentative et les prérogatives du juge pénal de droit commun.
Effectivement le contrôle de la politique du gouvernement relève de la compétence du Parlement. Celui-ci apprécie la qualité de cette politique mise en application en application de l’article 20 de la constitution : « le gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation ». En théorie, le pouvoir exécutif a un mandat qui lui a été confié par les élections. Mais la confiance du peuple doit pouvoir accompagner cette mise en œuvre. Le peuple a donc confié l’expression de sa confiance ou de sa défiance aux parlementaires qu’il a élus et qu’ils exercent en son nom. Quelles sont les sanctions dont dispose le Parlement pour sanctionner le gouvernement pour une mauvaise politique et exprimer la défiance des citoyens ? Uniquement la possibilité de le renverser.
L’intervention du juge pénal c’est tout autre chose. Celui-ci n’a aucun jugement politique à former et ne doit pas s’exprimer sur ce que fait le gouvernement. Mais il peut être saisi de faits précis commis par des agents publics qu’ils soient ministres élus ou fonctionnaires. L’accomplissement de leur mission de service public n’en fait pas des citoyens à part, qui peuvent être jugés pour les fautes qu’ils ont commises personnellement. On va rappeler d’ailleurs que dans l’affaire Clearstream, Dominique de Villepin a été poursuivi devant le tribunal correctionnel pour des faits accomplis alors qu’il était ministre. Alors le juge pénal va avoir à juger des faits précis commis par des agents publics, à la demande du parquet et des victimes. Cela n’a rien à voir avec le contrôle parlementaire qui est un contrôle global de la mise en œuvre d’une politique.
Par conséquent, non seulement ces deux « contrôles » ne se superposent pas mais sont compatibles et bien articulés. Prenons l’exemple de la Cour de Justice de la République mise en place pour juger des défaillances personnelles des ministres en respectant le principe de la séparation des pouvoirs. C’est bien une procédure pénale qui se déroule, et pour justement éviter tout détournement de la séparation des pouvoirs elle le fait devant une juridiction composée majoritairement de parlementaires.
Je trouve assez étrange que certains viennent aujourd’hui prétendre que le contrôle parlementaire de la globalité d’une politique gouvernementale avec la sanction unique du renversement du gouvernement puisse être considérée comme exclusive de la compétence des juridictions pénales à juger les individus. Je note d’ailleurs l’ironie qui veut que les tenants de cette approche n’ont vu aucun inconvénient à ce que François Fillon alors parlementaire, et donc chargé d’une mission de service public ait été traîné sur le banc d’infamie en pleine élection présidentielle avec pour conséquence d’en fausser le résultat…
Je crois bien connaître les questions de responsabilité personnelle des décideurs publics pour avoir beaucoup travaillé sur cette matière. À ce stade, je ne me prononcerai absolument pas sur les culpabilités éventuelles, mais j’ai quand même constaté l’existence d’un nombre important de fautes personnelles susceptibles, si elles sont établies, de recevoir une qualification pénale.
Que penser en ce cas de l’initiative du gouvernement de protéger juridiquement les élus et en particulier les maires, afin qu’ils ne soient pas inquiétés ?
Ce n’est pas une initiative du gouvernement, du moins officiellement. C’est une opération menée par des parlementaires lrem en mettant en avant la réelle inquiétude des maires de voir leur responsabilité personnelle mise en cause dans l’accomplissement des opérations de déconfinement et notamment la rentrée scolaire. Prétendant vouloir les protéger ils ont publié une tribune annonçant le dépôt d’une proposition de loi visant à les mettre à l’abri de poursuites et de condamnations éventuelles. Dès le début on pouvait avoir quelques inquiétudes sur les intentions cachées. C’est Aurore Bergé qui dans un tweet nocturne ravageur a dévoilé ce qui semble bien être l’objectif réel, c’est-à-dire utiliser la fausse raison de la protection des maires pour l’étendre à tous les agents publics ministres élus et fonctionnaires qui ont géré la crise.
Une première observation est indispensable. En application du code pénal tel qu’il est, maires et les élus locaux ne sont pas exposés à ces mises en cause. Rappelons d’abord que l’article 221-6 du code pénal qui incrimine les homicides et blessures involontaires concerne tous les citoyens. Mais après la mise en place de la décentralisation dans les années 90 les procédures pénales contre les maires se sont multipliées provoquant une grande émotion chez les élus locaux. Le Parlement a alors intégré de nouvelles prescriptions dans le code pénal d’abord en 1996 avec la loi sur les « diligences normales » et en 2000 avec « la loi Fauchon ». Inscrites dans l’article 121-3 elles concernent évidemment tous les citoyens, mais ont été adoptées d’abord pour protéger maires et élus locaux. Ayant participé à l’époque aux travaux de préparation et à la rédaction de ces textes je sais bien que c’est le cas, et que le législateur a été au bout de ce qu’il était possible juridiquement de faire. Et l’application jurisprudentielle de ces nouveaux textes a été par la suite un succès, non pas pour exonérer les élus de leur responsabilité mais pour éviter qu’ils soient mis en cause de façon injuste.
Par conséquent le souci de la protection des maires brandi aujourd’hui est une fausse raison, qui a servi de cache-sexe pour essayer de mettre à l’abri ministres et hauts fonctionnaires dont on a compris qu’il était possible qu’ils aient quelques soucis dans le monde d’après, et qu’il y ait quelques comptes à rendre devant le juge pénal. Ce qui n’est jamais agréable.
Devant le Sénat, a été adoptée une proposition du groupe LR pour une fausse immunité concernant l’application de l’article 221-6, celui relatif aux homicides involontaires, en période d’état d’urgence sanitaire. Texte proclamatoire et reprenant de façon alambiquée ce qui existait déjà dans le texte.
Cela n’a pas empêché une nouvelle tentative d’un certain nombre de députés LREM au moment de la discussion de la loi de prolongation de l’état d’urgence devant l’Assemblée nationale. On constatera la présence parmi eux de Laurence Vichnievsky grande justicière anti-politiques reconverti reconvertie dans le militantisme macronien. Nouveau coup d’épée dans l’eau, le texte adopté n’ajoutant ni ne retranchant rien de ce qui existe déjà dans le code. Chou blanc donc.
Il y aura lieu d’être très attentif car il ne serait pas surprenant que cette question d’une amnistie pour cette période revienne par la suite. L’avantage de l’amnistie sur le charcutage des textes du code pénal est qu’on n’exonère pas des fautes mais absout de leurs conséquences.
Le problème pour le pouvoir Macronien déjà confronté à une défiance majeure, est que le coût politique de l’auto blanchiment serait politiquement meurtrier.
Vous parlez de l’affaire Fillon et de son instrumentalisation. N’est-ce pas là un exemple que Zemmour pourrait invoquer pour justifier sa crainte de « République des juges » ?
Sinon, je voudrais vous demander si le contrôle du parlement et l’application du code pénal ne peuvent pas se chevaucher. Mettons que le politique abandonne la limitation de vitesse à 80 km/h ; une association de familles de victimes d’accidents de la route ne pourrait-elle pas poursuivre les décideurs pour homicide involontaire ?
Peut-on encore avoir confiance en la justice ? Par contre faisons toute confiance à cette France d’en haut pour éviter de rendre compte un jour de leurs erreurs, quelqu’elles soient. Non-lieu, non-lieu et encore non-lieu !!! Si seulement tout ce monde pouvait dégager y compris la sphère gravitant autour ! Utopie !
Bonjour « Alex »
Pour ce qui est de l’affaire Fillon et de son instrumentalisation, il me semble que c’est plutôt une instrumentalisation de la justice par les médias plutôt que par les juges. En effet si la procédure est normale c’est le tintamarre médiatique qui l’est moins, au mépris de la présomption d’innocence d’ailleurs. Maintenant, bien sûr qu’il y a eu un coup de pouce judiciaire, mais c’est par l’intermédiaire du procureur de la République que tout est avancé si vite, procureur qui est sous l’autorité hiérarchique du garde des sceaux, donc du Premier ministre ou plus simplement en réalité du président de la République.
Sur la seconde question, voir la responsabilité de l’État du fait des lois, également la décision du Conseil d’État du 3 mars 2003 « GIE La réunion aérienne ».
Tout cela semble bien illusoire car l’hypothèse de départ qui est la séparation des pouvoirs est fausse. Si la France était une démocratie on le saurait. Elle est plus sûrement une démocratie dégénérée en dictature de par le détournement pervers de ses institutions.
De plus en plus de conflits d’intérêts visibles, de corruption et de petits arrangements entre amis de la même secte. Bien sûr, ce n’est pas nouveau, mais l’ampleur de cette folie me semble s’étendre avec toujours plus de violence. Beaucoup trop de violences à tous les étages. La justice, si elle existait, serait faite par des hommes et pour les hommes. Mais non…aujourd’hui c’est la violence et la peur qui dominent, le mensonge et la fourberie qui passent pour de l’intelligence. Je ne vois pas de justice en France mais… je suis sans doute mal voyant.
Pour écouter depuis longtemps et maintenant très souvent (sur Cnews) Eric Zemmour, ce que vous en dites, je cite: « Un certain nombre de spécialistes, de beaucoup de choses, mais semble-t-il pas de droit pénal, Éric Zemmour en tête, se sont élevés contre l’hypothèse de poursuites des ministres élus et fonctionnaires devant le juge pénal pour les fautes commises dans l’exercice de leurs responsabilités dans la gestion de la pandémie Covid 19. » est pour le moins fait à l’emporte-pièce pour ne pas dire faux; cependant Zemmour n’est pas très clair quand il parle de l’ « état de droit » mais:
– Zemmour dénonce tous les jours, je dis bien tous les jours, les carences de l’état dans la gestion du Covid et notamment du confinement et il dit même que la fébrilité des politiques et fonctionnaires en général est compréhensible car ils ont justement peur de passer devant un juge; mais il (Zemmour et il est bien placé pour en parler!) se méfie des juges en citant toujours l’exemple emblématique de François Fillon où il dénonce, et à mon sens tout à fait légitimement, le « putsch » des juges; il me semble qu’il y a déjà eu ici des articles de votre part et concernant cet exemple précis dans lesquels vous n’étiez pas très éloigné des thèses de Zemmour;
– ce que redoute Zemmour, si je l’ai bien compris et je ne prends pas ici sa défense, c’est que les juges « interprètent » le droit (et surtout la jurisprudence) français, et quand cela n’est pas suffisant, se réfèrent au droit européen voire même international (ONU); ceci est plus que pertinent quand on se rappelle les déclarations de la cour constitutionnelle allemande le 5 mai dernier sur les prérogatives respectives des états et de la CJE (cour de justice européenne);
– de plus, qui contrôle les juges? Comme ils sont réputés « indépendants » personne n’ose leur faire de remarques pour ne pas être taxé d’ingérence; en fait c’est le couple juge/procureur qui est en cause;
– et finalement même si on n’est pas spécialiste ou expert en droit on doit pouvoir donner son opinion sur le fonctionnement de la justice car si on attend le référendum d’initiative populaire et l’action des avocats on n’est pas prêt de voir les choses bouger!
Le fait de douter des juges ne veux pas dire qu’il faut en l’espéce les empécher de poursuivre.
Il serait conséquent de dire:
-Les actes de l’administration tels que je les comprend à ce stade sont justiciable du pénal il reviendra aux juges de vérifier.
-Si la sanction judiciaire est trop clémente alors oui on pourra se méfier des juges, lire les attendus des jugements et voir si la justice ou les juges ont été cléments ou bien si il y a eu une présentation biaisée.
Pour l’affaire Fillion pour rappel, les éléments présenté au tribunal n’ont pas permit la preuve du travail effectué par Pénélope Fillion.
Alors oui l’on aurait souhaité que la justice enquéte plus tot, de même je trouve curieux qu’en 2009 lorsqu’epstein a été condamné aux US il n’yai pas eu d’enquête en france alors qu’il y avait une propriété. De même le taux de condamnation des GJ et le taux de condamnation des forces de l’ordre révélent de fortes disparitées qui pourraient amenner le parlement à enquéter sur l’administration de la justice en France pour changer les leviers du systéme.
@Maître de Castelnau: En parlant de GJ et de responsabilité pénale, l’organisation de la manifestation de la place d’Italie par les service de la préfecture de police ne pourrait-elle pas donner lieu à plainte contre le prefêt de police?
Je toruve curieux que ses services aient permit l’organisation d’une manifestation dans un lieu en travaux sans proposer de parcour alternatif plus facile a sécuriser. Cela me semble relever de la mise en danger délibérée.
#Rémi, mon propos n’est pas de dire que certains ministres ou fonctionnaires ne doivent pas être poursuivis; si leurs agissements tombent sous le coup de la loi je ne vois pas pourquoi ils échapperaient à la justice;
que Penelope Fillon ait peu, voire pas du tout, travaillé en regard de ses salaires peut être répréhensible encore que il faudrait voire dans certaines entreprises, voire administrations, le volume de travail de certains; ce qui est reproché dans cette affaire c’est la « célérité » avec laquelle elle a été déclenchée; d’autres parlementaires, on parle de dizaines de cas similaires mais aucun autre, à ma connaissance n’a été inquiété; et on attend toujours la suite dans les affaires Ferrand et Ben Alla.
C’est là où se niche la méfiance envers les juges et la justice en général.
Et puis repensons au pouvoir des sénateurs. Benalla en rit encore.
Et pourtant le sénat fait partie du parlement.
Officiellement, Macron voulait abolir le Sénat.
Et Benalla est arrivé.
Benalla, qui a cristallisé autour de lui, mais qui conseillait Banalla avant ses auditions au Sénat ?
Faites vos recherches et remontez le fil, tel un saumon pressé de frayer à son adresse d’origine.
Vous verrez que tout n’est que théâtre et spectacle.
Et un peu plus tard, Macron accordait une ITW surprise à VA en octobre 2019, à la surprise générale, comme par hasard.
Il suffit de vouloir comprendre et non pas se contenter de se moquer des sénateurs.
J’Haime bien les allusions mais cela fait trop imaginal.
Etre direct est un défaut si l’on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment. M’enfin… le figaro va nous faire croire qu’une enquête parlementaire peut mener à une sanction, voire à une punition, de quelqu’un?
Faites vos recherches en partant de la fin et en remontant le fil tel un saumon.
C’est à votre portée.
Benalla est intouchable dès le départ et ce n’est pas le Figaro (et encore moins VA) qui fera croire du contraire.
Visionnaire où prédateur où parasite ?
La Macronade
Perso je préfère une vision directe , il est vrai , donc cet Etat ayant manquer de vision directe et doit passer à la trappe , lors de l’élection « effective » de tout nos administrateurs de notre bien être de vie ; tous se sont perdu dans le poids de la charge dans cette ivresse de l’instant .
D’où ils étaient prédateurs dès le début , le nids ou corbeille .
Macron est un prédateur qui se prend pour un visionnaire qui finira comme parasite , d’où son espérance de vie pour un deuxième mandat s’imaginant être mieux mais en définitive le même pour un même spectacle qui va le rendre encore plus stupide ;
Revoir pour lui le deuxième flash ; éveil ou cette ivresse de l’instant lors de l’élection effective et par la suite revivre le même drame de son manque de vision comme incapable serait suicidaire pour lui même
Benalla était plus subtile et fluide et Vivant , pour être rappeler à l’ordre assez tôt .
Probablement lié à sa double culture et comme agent cosmopolite ( Il exprime la possibilité d’être natif d’un lieu et de toucher à l’universalité, sans renier sa particularité );
Hollande à fait le mort dans la deuxième tranche de son mandat , d’où toutes les cérémonies et il s’en sort aussi pour une seconde vie .
Sarkozi est cuit mais essaye de faire un culte
Et Macron est suicidaire pour avoir brulé ses ailes , d’où sont age précoce d’ailleurs , marié avec la vieille, pas de pérennité , se prenant pour Dieu mais sans recul lié à la sagesse qui pourrait lui rendre des oreilles pour entendre et des yeux pour voir au delà de son périmètre
Fondamentalement , il aurait du resté au théâtre sans faire de politique
(FABRE Michel
De plus en plus de conflits d’intérêts visibles, de corruption et de petits arrangements entre amis de la même secte. Bien sûr, ce n’est pas nouveau, mais l’ampleur de cette folie me semble s’étendre avec toujours plus de violence. Beaucoup trop de violences à tous les étages. La justice, si elle existait, serait faite par des hommes et pour les hommes. Mais non…aujourd’hui c’est la violence et la peur qui dominent, le mensonge et la fourberie qui passent pour de l’intelligence. Je ne vois pas de justice en France mais… je suis sans doute mal voyant.)
Selon moi vous voyez très juste , votre texte est très vivant
En plus ils sont tous de bonnes aides car ils ne se cache plus et en plus il ne le voient pas puisqu’ils ne veulent pas le reconnaître vous cédant leur place de lecture.
Vous avez des cas historiques comme borgne
JM Lepen
Et plus loin Tariq ibn Ziyad mort en 720
Wiki
Tariq, surnommé dans l’histoire et la légende espagnoles, pour des raisons peu claires, « Tariq le borgne »
Appelé par les héritiers du roi wisigoth Wittiza qui lui demandent son soutien au cours de la guerre civile espagnole les opposant au roi wisigoth Rodéric. Il obtient le soutien de la population juive persécutée par les Wisigoths, des rivaux du roi Rodéric, d’opposants à l’Église catholique et du gouverneur byzantin de Ceuta, Julien, qui est un élément clé dans la réussite de la conquête musulmane, en fournissant en particulier la flottille nécessaire à la traversée. D’où le détroit de Gibraltar plus loin d’entre les 2 colonnes d’hercule où les colonne du pont selon son regard
Bien représenté sur tout nos billets de banque Europe
Que vous soyez Mal voyant est une certitude
(Que vous soyez Mal voyant est une certitude)
Comme avantage de voir sans spécialement vous apprendre comme Macron vous perdre sur leur chemin comme Sujet
Régis de Castelnau
Maître où juge serein de selon vos textes ; comme fou du roi puisque vous n’êtes pas mourut dans les médias .
Éric Zemmour s’est pas trop loin du roi wisigoth Rodéric ; qui obtient le soutien de la population juive pour trouver sa voie .
Cité plus haut
Il est un monde que n’avais encore pas exploré c’est celui de la loi et, ma foi, le vôtre de site est celui dont je conserve l’adresse, comme il en est un pour l »économie, Businessbourse, un second pour la géopolitique, Chronique du grand jeu, deux troisièmes pour l’information factuelle, Sputnik et Le Fil d’Actu, et enfin un quatrième scientifique, Jacqueshenry, limité tant en économie qu’en politique.
En ce qui concerne ce dernier sujet, sa logique, dans son aspect nationale, m’est, d’une certaine manière, naturelle.
Etant un pur intuitif, ce que je peux dire pour l’instant de ce qu’il se passe en ce moment en France c’est qu’il y a de brusques accélérations événementielles suivit d’un temps de latence.
C’est la vitesse des décisions gouvernementale qui, jusqu’au début de l’arrivé de la pandémie au vilain virus, lui a permis de persister en un phénomène ressemblant à de la surfusion.
Le même phénomène qui a permis, aussi, à quasiment toutes les monnaies de ne pas s’effondrer en raison de la vitesse avec laquelle leur masse a été produite, hormis pour deux d’entre-elles, le dollar et la couronne islandaise, ceci puisque une monnaie trop produite perd de sa valeur égale à cette masse au regard de la richesse relative du pays émetteur.
Sur la plan international, l’empire US continue son délitement tant économique que politique, c’est bien en raison de cet affaiblissement continuel qui mène à ce que l’Allemagne en vienne à dominer l’union, dont l’administration essaie de prendre son indépendance des nations la composant, ce qui ne peut que la conduire à des instabilités structurelles grandissantes.
Pour les questions juridiques, je vais donc suivre votre site, cher hôte, affin d’en comprendre les logiques internes, ce que, je vous l’avoue, j’en ignorais quasiment tout.
Bien à vous.
« Le même phénomène qui a permis, aussi, à quasiment toutes les monnaies de ne pas s’effondrer en raison de la vitesse avec laquelle leur masse a été produite, hormis pour deux d’entre-elles, le dollar et la couronne islandaise, ceci puisque une monnaie trop produite perd de sa valeur égale à cette masse au regard de la richesse relative du pays émetteur. »
A coups de QE, la vérité est que celles des pays riches (US + Europe occidentale dans l’Euro-zone) sont des monnaies de singe, toutes, sans exceptions et qu’elles ne sont adossées à plus rien de tangible.
D’ou l’hypothèse que l’hystérisation du covid19 (confinement) ne serve, in fine, qu’à accélérer l’écroulement monétaire mondial, annuler les dettes et redémarrer sur une et une seule monnaie occidentale, bref sauver le capitalisme en crises par des luttes intestines libertaires vs conservateurs, spéculateurs vs producteurs, usure vs valeur ajoutée.
« Sur la plan international, l’empire US continue son délitement tant économique que politique, c’est bien en raison de cet affaiblissement continuel qui mène à ce que l’Allemagne en vienne à dominer l’union, dont l’administration essaie de prendre son indépendance des nations la composant, ce qui ne peut que la conduire à des instabilités structurelles grandissantes. »
L’US n’est en déclin que dans le spectatcle de sa toute puissance, mais domine toujours le monde capitaliste, aujourd’hui néo-libéralisé.
Il continue de peser sur le monde, mais d’une manière différente.
Le hard power n’est plus sa doctrine principale, l’empire préfère utiliser des armées proxies qu’elle encadre à l’étranger sur ses guerres OTANesques et géostratégiques.
C’est mieux pour l’opinion publique, pour les droits de l’homme et pour s’éviter le syndrome « guerre du Vietnam ».
En géopolitique, il préfère désormais le soft power via des ONG ou des organismes internationaux comme l’ONU, OTAN, OMS etc, d’ou son courroux de constater que la Chine a infiltré ce dernier et lui fait concurrence dans le lobbying.
Toutes les élites politiques, économiques et industrielles Européennes sont atlantistes, en grande majorité, par cooptation.
Sinon, c’est la politique de déstabilisation des régimes par la puissance du net, de l’intérieur, par des agents à sa solde.
La Chine monte, mais ne pose pas de problèmes aux US tant que c’est du bilatéralisme, comme du temps de la guerre froide.
L’empire craint bien plus la multilatéralisme que sponsorise l’aile libérale-libertaire du capitalisme, d’ou la conclusion que les démocrates US veulent une certain déclin de l’Empire en contre partie d’un gain idéologique que relaye un Macron sur le continent européen.
Merkel, est, n’est ni libertaire ni conservatrice sur le plan politique, elle est d’abord libérale et surtout Atlantiste pour sa sécurité, elle s’accommode aussi bien de Obama que de Trump, malgré qu’elle soit obligée de japper, pour la forme, avec les anti Trumpistes actuellement majoritaires au parlement Européen.
Elle est l’agent politique n°1 de l’Empire en Europe depuis 2005 et je ne crois pas que le but de l’Empire est de plomber l’UE avec un retour de la souveraineté Allemande ou alors c’est dans le plan du collapse monétaire mondial.
Tout ce qui se passe actuellement est déterminé par l’Empire, il n’y a rien de spontanée.
Si recharge de la matrice il devrait y avoir, cela ne viendra pas d’un sursaut souverainiste Allemand, cela sera le choix de l’Empire.
Cher Hagime,
Autant les civilisations sont pérennes, autant les empires ne peuvent que s’effondrer, l’histoire le montre et le démontra maintes fois.
Je vous conseillerais de développer votre grille de lecture, cela ne voulant pas dire que j’ai raison mais juste que la mienne est plus prédictive que la vôtre.
Trump est l’un des multiples réformateurs impériaux, comme il en fut de Roosevelt et de Kennedy par exemple, ce qui montre toutefois la baisse de niveau des USA.
Ce pays est une thalassocratie, c’est à dire un empire détenant sa puissance par celle maritime, comme il en fut de la Grande-Bretagne ou, plus loin de nous, d’Athènes, allez donc voir où se trouvent les bases US, vous remarquerez qu’elles enserrent la Russie et la Chine, les deux plus grandes puissances terrestres, là se trouve sa politique.
En perpétuant le grand jeu britannique du XIX° siècle.
Enfin, ce ne sont pas les monnaies qui font une politique économique mais l’économie que les économistes appellent, comme un aveux, réelle, soit l’industrie, l’agriculture et les extractions minières, ce que la spéculation financière détruit depuis des décennies en Occident.
@theuric, Ne le prenez pas mal, mais votre confusion réside justement à raisonner en civilisations ou Empires.
Or ce qui transcende la péremption de ces réalités évanescentes à l’échelle géologique, c’est l’idéologie.
Que je sache, le système marchand, le fétichisme de la marchandise, n’a jamais cessé depuis la nuit des temps, depuis Abel et Caën, respectivement le sédentaire et le nomade, l’agneau et le labeur en offrande.
Peu importe les empires, ce fétichisme a traversé l’histoire humaine depuis sa symbolique jusqu’à sa valeur marchande, deux constructions sociales, parce que consubstantielles à l’Homme et son besoin de posséder et pour combler ce dernier, il domine ses congénères, comme les percepteurs d’impôts des marchands du Temple, en plus de verser l’obole à César.
Travail ->troc->monnaie->usure->économie libérale->Spéculation mondiale sur la valeur ajoutée.
Réfléchissez-y.
Quant à Trump, c’est l’accident industriel dans l’après Clinton-Obama, comprendre l’accident industriel au sein du camp libertarien ou progressiste, selon le vocable, camp de l’idéologie dominante depuis le 18ème siècle, si l’on veut faire vite et rapide (pères fondateurs, lumières).
En revanche, je vous rejoins sur votre analyse « maritime » quant à la domination des empires, celui qui domine les mers, domine le monde.
Une grande partie de la géopolitique du passé et présente ne répond qu’à ce dogme, mais une grande partie seulement, car la convoitise des ressources continentales pour l’énergie reine, demeure centrale dans la géostratégie actuelle, sans même évoquer la résurrection d’anciennes routes marchandes, comme celle de la soie.
Le drame contemporain est que l’Homme n’a jamais pu trouver une alternative à la dialectique marchande, à celle du capitalisme, du libéralisme, du néo-libéralisme sur le triptyque économique-culturel-sociétal.
Le capitalisme hégémonique est donc en crises intestines entre une vision conservatrice et une vision progressiste sur le diptyque économique/sociétal.
Mais, en définitive, le chien de l’histoire aboie, mais la caravane marchande passe.
Bien à vous.
(Mais, en définitive, le chien de l’histoire aboie, mais la caravane marchande passe.(
Dit simplement avec excellence s’est bien dit une allusion à la caverne des 7 dormants et un poème d’ibn Arabi
Je ne rejette en rien ce qui existe du moment où chacun reste à sa place.
L’usage de monnaie n’est en rien détestable mais n’en faire juste qu’une doctrine économique est stupide et ne mène qu’à la ruine de tous.
Le marchand fait son travail mais il ne doit en rien se prévaloir sur le reste de la société.
Il en est de même du banquier, du militaire ou du plombier, ainsi que de toutes les autres structures sociales.
Chacun à son rôle, nécessaire, et même le politique se doit, lui aussi, de rester à sa place, que nous nous devons de considérer collectivement au plus juste en terme de justesse.
Comme vous le voyez, je suis également utopiste dans le sens où cet ensemble de définition ne peut qu’être ardu à conceptualiser.
Ceci d’autant plus qu’une société se doit d’avoir de la souplesse, au risque sinon de ne pas pouvoir s’adapter aux exigences des évolutions sociétales qui ne peuvent que survenir.
@vanhonsebrouck, je suis preneur.
Pour moi, c’est d’origine arabe pour décrire le comportement des chameaux (caravane) qui continuaient d’avancer malgré les jappements continus des chiens qui surveillaient les campements (alors sédantarisés le temps d’un instant) rencontrés lors de leur traversée.
@theuric, J’aime assez votre vision du chacun à sa place.
Parce qu’elle me murmure que chacun apporte quelque chose et qu’en définitive, ce quelque chose forme un tout, une collégialité en intelligence ou formulée autrement, une intelligence collective qui aurait un sens, une direction et un but.
But plutôt que rôle, objectif plutôt que fonction.
Jje connais les notions d’humanisme ou d’universalisme, je sais quelles sont des dérivées bibliques et qu’elles dérivent la fonction en objectif, le rôle en but.
Restent le sens et la direction, non dérivables mais probablement intégrables.
Et là, nous touchons du doigt le divin.
Bien à vous.
Vaut mieux être en place et prendre du retard que d’aller trop vite à se perdre dans le trou noir
Et garder certaine maxime de lecture , sans cela vous aller déglinguer vos neurones
Rappelez vous que vos deux pieds son sur terre et non dans intelligence artificiel
Comme sujet d’école , voir le pouvoir de ceux qui s’invitent comme d’un formé qui se colporte
Place ouverte au nouvel homme virtuelle , avec le drame à en perdre son âme qui servira de mule pour comme pérennité donnant réalité effective pour un concept
L’art conceptuel de l’éphémère qui en soi n’est pas un mensonge
Dans la continuité certain pourront vivre l’éternité à dos d’âne alors qu’elle est gratuite
Voir la peine de mort pour bien être éduqué , ou tout le spectacle autour de la vie et la mort
Le coronaire 19 n’est cas sujet d’espèce, voir un projet pilote pour la prochaine face du transhumanisme .
Et je doute que vous me suivez , pour en revenir s’est un autre spectacle dans la présence ou elle reprendras s’est droit
Si recharge de la matrice il devrait y avoir, cela ne viendra pas d’un sursaut souverainiste Allemand, cela sera le choix de l’Empire du milieu d’où la route de la soie qui est dans les cartons
Faut voir tout les méridiens 24 heures pour être explicite mondialisation de lecture oblige , 12 heures s’est presque fini comme modèle
L’empire du milieu ne veut pas plus de multilatéralisme que les US, comme l’ex URSS avant lui.
L’opposition Sino-US, c’est du spectacle, les deux sont dans un win-win au détriment des utopistes et des naïfs.
La Chine communiste avec un desposte à vie à sa tête vs l’Empire démocratique du monde libre, une vaste plaisanterie, deux économies capitalistes prédatrices qui se partagent le gâteau.
La première qui se voudrait hégémonique serait durement sanctionnée par l’autre et vice versa.
Il y aura un remake de la guerre froide, des coups tordus, des gonflements de muscles, mais jamais jusqu’à la confrontation directe, toujours de manière indirecte et par proxies interposés et au détriment, in fine, de tiers.
Il n’y aura pas de WWIII conventionnelle, le garde-fou est que le bénéfice/risque n’est pas pertinent.
Hitler, lui, avait raisonné en idéologie, en dialectique, pas sur le rapport bénéfice/risque.
Et on a eu WWII.
La route de la soie, pour le spectacle des nostalgiques des anciens marchands, Marco Polo, Kubilai khan, l’Empire Mongol etc…
Insuffler un semblant d’épopée dans ce monde gouverné par les intérêts.tout en capitalisant dessus, bien entendu.
J’entendais route de la soie comme de lame de rasoir entre deux ambivalences
Faut voir tout les méridiens 24 heures pour être explicite mondialisation de lecture oblige , 12 heures s’est presque fini comme modèle
Dans votre texte vous le souligné
Bush n’avait pas mentit avec « nouvel ordre mondial » choc de civilisation, ect…,
D’où j’écris « Faut voir tout les méridiens 24 heures pour être explicite mondialisation de lecture oblige , cet instant du world trade center était une date butoirs , comme le confinement vers le basculement , Ce qui change s’est que le transhumanisme va avancer à macht 10 hors dimension .
Sauf si il y à le vaccin faut voir ???? l’option est ouverte , évidemment se sera toujours un piège car il y à trop de monde d’où dans un autre texte je parle ( Le Règne de la quantité et les signes des temps de René Guénon.) ps je ne l’ai pas lu !!!
Déjà l’affaire des vaccins , bill gate, Soros et maintenant cette affaire de Sanofi qui sous entend que nous acceptons le vaccin mais qu’on ne l’aura pas , vu sa rareté.
Sur la forme il n’y à pas de vaccin , qui n’importe le vaccin fonctionne comme mot placebo
Mais y croire vous donnera droit à une médaille d’honneur comme kamikaze .
Les infos se tiennent comme d’un long fleuve tranquille
Initiative du gouvernement mais pas que
Très modeste rappel : c’est à propos de la réouverture des écoles que François Baroin a défendu les Maires, petits et grands, de toute son autorité.
Puis, après le constat que la loi Fauchon couvrait déjà les Maires, par un accord fragile entre LR&EM le projet devait s’étendre à la haute administration.
Mais l’affaire crapoteuse semble avoir capoté.
Entre-temps, Blanquer s’est empressé de déclarer que les Maires n’avaient pas la compétence de la réouverture des écoles, mais celle des cantines, des activités extra-scolaires, de l’entretien et des transports ; les inspecteurs départementaux, IDEN, étant chargés de surveiller l’application du protocole covidien.
Résultat pratique : accueil et garderie de 15 à 20% des élèves, avec un hygiénisme paranoïaque en maternelle. Tout ça pour ça.
puces pour tout le monde : demandez le programme.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2020/05/13/presse-israelienne-benjamin-netanyahu-suggere-de-micropucer-les-enfants-et-ses-propositions-sont-critiquees-par-des-experts-pour-de-simples-raisons-techniques-et-pas-ethiques-le-point-pa/
Ce qu’on nomme aujourd’hui immunité est en fait la resurgence d’un mot plus ancien « privilege » qui, sous l’ancien regime, signifiait ethymologiquement « loi privée », cette derniere disait qu’une partie de la société n’etait pas soumise au droit commun.
Nombre de professions sont encore des survivances des privileges d’ancien regime: notaires, huissiers…
Conseil d’Etat, …
D’où ?
charlymesdoun enchanté de vous voir venir dans le sexe toys comme effigie
Communément appelée branlette
Le crime est que je ne vous le fait pas dire
De l’autre côté du votre miroir
ils disent et alors
Dans un autre monde j’ai en flash comme lecture le « complexe de l’humanité »
Comme violence incroyable , en nini yoyo
s’est pas la peine de lire je suis juste un invité de l’onu avec un casque bleu
Il est temps d’exposer la violence et qu’il arrête à se la jouer sur mon parking de vie comme essentiel .
A partir de là ma lecture sur le texte sera plus clair et au delà de cette lecture je pourrez fermer mon, œil d’avoir été violé . comme absent dans mon enfance
D’où ma haine du texte
occasionnellement s’est bien de voir vivre la vie
S’est gentil
Oui je suis un enfant violé
Et j’arrive à lire tout les textes