Interview croisée donnée à Atlantico avec Anne-Sophie Chazaud à propos de la loi Avia et des conditions de son adoption.
Atlantico.fr : La loi Avia intervient dans un contexte où les débats d’opinion semblent de plus en plus tendus, antagonistes, violents, avec notamment une génération rompue aux échanges vifs sur les réseaux sociaux. Pourquoi cependant cette loi n’est-elle pas adaptée au contexte actuel ?
Anne-Sophie Chazaud : S’il est vrai que les réseaux sociaux sont un lieu où s’échangent parfois des propos agressifs voire violents et s’il semble exister un relatif consensus pour dénoncer ces excès, la volonté de mettre cet espace de libre parole en coupe réglée et sous contrôle inquisitorial ne fait absolument pas l’unanimité.
Les grandes plateformes internet peuvent effectivement servir de déversoir sans filtre aux propos les plus débridés. Chacun de nous en a fait l’expérience : il n’est qu’à lire parfois certains commentaires que peuvent laisser des internautes sous les articles publiés en ligne, sur les publications Youtube, ou encore les noms d’oiseaux qui peuvent s’échanger sur Twitter ou Facebook, avec parfois l’onction de l’anonymat et l’active agitation des trolls (où la Macronie n’est pas en reste), pour admettre qu’on peut à l’occasion avoir le sentiment de visiter des égouts peu ragoutants où s’épand l’absence de capacité à argumenter selon les règles du respect, de la courtoisie, de l’humanisme et du débat contradictoire.
Pourtant, résumer les réseaux sociaux à cette vision caricaturale (dont, du reste, il est facile de se protéger soit en ne les lisant pas, soit en pratiquant des blocages, soit enfin en portant en justice les cas caractérisés de cyber-harcèlement) est une manière bien pratique pour le pouvoir et la pensée dominante de jeter le bébé de la liberté d’expression avec le bain de ses inévitables excès.
Rappelons que les réseaux sociaux sont aussi ce lieu merveilleux de liberté, unique, grâce auquel la pensée non consensuelle peut circuler en dehors des vérités officielles et se confronter au dissensus. Ils sont une véritable agora contemporaine où s’exerce le débat public. Cette liberté a démontré son impérieuse utilité en matière démocratique par exemple lors de l’affaire Benalla, lors de la répression violente des mouvements de Gilets Jaunes, permettant de mettre en lumière sans conteste de nombreuses violences policières dont le peuple français a été l’objet ou encore lors des manifestations hostiles à la réforme des retraites. Sans les réseaux sociaux, la fausse information officielle et propagandiste de la fausse attaque de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, opportunément exploitée par le gouvernement, n’aurait pas pu être démontrée, étant entendu que de nombreux médias mainstream étaient prompts à relayer sans scrupules le discours officiel. Sans les réseaux sociaux, les manigances et l’impéritie des pouvoirs publics français concernant la gestion calamiteuse de la crise sanitaire du Covid-19 n’auraient pas pu être mises en lumière. Songeons notamment à la tragi-comédie des masques, de l’absence de tests, des manipulations d’opinion autour de la question des traitements. Sans les réseaux sociaux, les innombrables scandales de verbalisations zélées lors du confinement n’auraient pas pu éclater au grand jour, comme l’affaire honteuse de cette femme mise à l’amende pour avoir communiqué avec son mari, résident en Ehpad, au travers d’une vitre à l’aide de quelques mots griffonnés tendrement sur une ardoise, ou encore cet homme empêché par la gendarmerie de se rendre au chevet de son père mourant. Les exemples furent innombrables.
Les réseaux sociaux sont à l’heure actuelle un véritable contre-pouvoir et c’est bien ce qui dérange. Prendre le prétexte des excès qui s’y déroulent est donc le moyen commode d’un pouvoir liberticide et autoritaire pour mettre le couvercle sur cette libre agora au moment même où la société française, au bord de l’implosion, en a le plus besoin. Mettre le couvercle sur une marmite n’a jamais fait ses preuves en matière de thermodynamique, non plus qu’au plan de l’intelligence politique. Il est arrivé que cela se termine à la Bastille…
Régis de Castelnau : Une première observation s’impose, la conflictualité est inhérente au politique et elle s’exprime et se résout dans l’espace public. Le propre d’un cadre normatif dans un système démocratique est justement de permettre le débat et l’affrontement des opinions, le juge de paix étant l’élection. De ce point de vue, il ne faut pas se tromper, les débats et les échanges de la période actuelle sont plutôt moins violents que par le passé. J’invite sur ce point à la lecture des débats parlementaires ou de la presse pendant la première guerre mondiale pourtant époque « d’union sacrée », c’est assez impressionnant. Le problème que pourrait poser l’exercice de la liberté d’expression aujourd’hui est celui de l’existence des réseaux numériques réalisant une véritable révolution en donnant une parole en temps réel au plus grand nombre ce qui est quand même qu’on le veuille ou non un progrès démocratique. Cette parole charrie comme toujours le pire et le meilleur, et il est quand même inquiétant que le pouvoir d’État réagisse comme il le fait avec cette succession de lois liberticides. Le texte « proposé » par Madame Avia n’étant qu’un avatar d’une entreprise d’encadrement mise en œuvre depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir et visant à limiter drastiquement la liberté d’expression avec deux objectifs : contrôler l’information, et empêcher la parole dissidente. Il est quand même curieux d’être contraint de rappeler que la démocratie est fondée sur l’égalité de n’importe qui avec n’importe qui. Et que l’accès à l’expression et au débat du plus grand nombre ne devrait pas être considéré comme un danger. Lorsque la IIIe République fut suffisamment solide, et afin de garantir le respect de la déclaration de l’Homme et du citoyen fut adoptée une loi de protection de la liberté d’expression. Parmi ses principes figurait celui que cette liberté fondamentale pouvait être limitée si nécessaire par la loi, mais dès lors que les restrictions étaient strictement proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi et que le contrôle de ce nécessaire équilibre n’appartenait qu’au Juge. La loi sur la presse de 1881 fonctionne depuis presque 140 ans et jusqu’à présent on pouvait considérer que la liberté d’expression existait dans notre pays. Malheureusement, depuis le mandat de François Hollande et maintenant d’Emmanuel Macron, la France a dégringolé dans les classements internationaux de la liberté de la presse, « la patrie des droits de l’homme » se trouvant aujourd’hui à la 34e place sur 180 pays… l’inadaptation de la loi Avia au « contexte actuel » est d’abord due à son caractère liberticide.
Laetitia Avia se retrouve elle-même accusée d’avoir tenu des propos discriminatoires à l’encontre de certains de ses anciens collaborateurs, propos qui pourraient parfaitement correspondre à l’appellation de « contenus haineux » que sa loi souhaite interdire. Comment une loi pourrait-elle appréhender le flou de ces notions ? Est-ce souhaitable ?
Anne-Sophie Chazaud : Les propos reprochés à Laetitia Avia, comme le rapporte Mediapart, qu’elle aurait tenus envers nombre de ses ex-collaborateurs, empreints de connotations racistes, méprisantes, de l’esprit de discrimination, de sexisme, mais aussi les pratiques de travail peu respectueuses qu’elle aurait fait régner, démontrent à l’évidence l’éternelle tartufferie des moralistes. Car la loi Avia cherche à réfréner la liberté d’expression sous les motifs les plus vertueux et au prétexte des luttes sociétales minoritaristes et victimaires. Se retrouver mis en accusation, du côté des bourreaux, pris la main dans le pot de confiture, lorsqu’on s’époumone dans de curieuses diatribes à vouloir contrôler la saine morale et la parole d’autrui (songeons à sa grotesque harangue à la tribune de l’Assemblée contre les « trolls, les haters et les têtes d’œuf » (sic), est toujours assez savoureux.
Selon le principe de l’arroseur arrosé, Laetitia Avia fait par ailleurs l’expérience de l’inanité des dispositifs liberticides visant à interdire les « contenus haineux ». Car, en l’occurrence, et au-delà de l’absence de savoir-vivre, d’éducation et de respect d’autrui, les propos qui lui sont reprochés correspondent à des expressions « vulgaires » certes mais qui appartiennent parfois au langage courant. Si l’on ne peut qu’en regretter la bêtise, vouloir à tout prix légiférer sur ce champ relève de l’ineptie intrusive. Invoquer l’aspect privé de ces commentaires peu amènes est du reste impossible puisque, dans sa grande passion liberticide, le pouvoir macronien s’est empressé en août 2017 de prendre un décret permettant la pénalisation de propos discriminatoires et d’injures tenus dans un cadre non public. L’extension du domaine de la pénalisation de l’expression se retourne donc contre son créateur, ce qui en la circonstance est plutôt amusant.
La propension du macronisme à vouloir régenter la parole, y compris la parole « vulgaire » est assez caractéristique de ce côté « maîtresse d’école » typique de la pensée post-socialiste, puritaine, vertueuse et elle-même dénuée de scrupules. On se souvient de la mascarade de la ministre des sports Roxana Maracineanu tentant de faire interdire les chansons paillardes dans les stades de football au motif de leur prétendue homophobie (laquelle ministre moralisatrice était restée bien silencieuse lorsqu’il se serait agi de dénoncer le traitement réservé aux homosexuels en terre islamiste du Qatar lors des préparatifs de le Coupe du monde de football… Mais il semblerait que là où il y a de vrais enjeux et de vrais risques, il y ait subitement moins de passion inquisitoriale et moins de courage anti-haine)…
Le fait que le Parti Socialiste qui avait d’abord soutenu le texte en première lecture, avec les zélateurs de l’extrême-centre –lequel fonctionne comme un trou noir antidémocratique en ce qu’il cherche à abolir la conflictualité propre au politique-, se soit cette fois assez lâchement abstenu, souligne la continuité naturelle existant entre le gauchisme culturel moribond, profondément liberticide et anti-libéral (au sens moral du terme) et le macronisme qui n’en est que le dernier avatar, l’ultime rejeton de l’ancien monde et qui est, rappelons-le, majoritairement issu de ses rangs.
La réaction saine des autres partis d’opposition, de la France Insoumise au Rassemblement national en passant par Les Républicains, toutes tendances confondues, au secours de la liberté d’expression, est toutefois rassurante quant à l’avenir de cette loi qui sera portée devant le Conseil constitutionnel et qui ne manquera pas de rencontrer de nombreuses oppositions lorsqu’il s’agira de la faire appliquer.
Lorsque l’on sort des propos de leur contexte, il est très difficile de comprendre leur nature et l’ambiguïté est de mise. Dans l’article de Mediapart, au sujet du comportement inopportun de Laetitia Avia avec ses collaborateurs, il n’y a pas assez d’éléments pour se faire une idée exacte des propos de la députée. Pourquoi l’ambiguïté de certains propos rend l’utilisation de la loi problématique ?
Régis de Castelnau : La séquence « arroseur arrosée » qui frappe Laetitia Avia au-delà de son côté savoureux, pose très exactement le problème de l’application du texte qu’elle a fait adopter. Des propos prononcés dans un cadre semble-t-il familier, sur l’ambiance duquel on ne dispose d’aucune information, sont présentés comme autant de « dérapages » homophobes et racistes. Il est impossible de savoir si ce qu’elle a dit ou écrit était du premier ou du second degré. Et les témoignages de son entourage sur son caractère et ces comportements ne peuvent pas nous renseigner, permettant seulement de savoir ce qui était déjà une évidence que ladite personne était un modèle de brutalité et d’arrogance. Quant à son discours à la tribune de l’Assemblée, avec sa petite litanie d’insultes elles-même haineuses démontrent à quel point cette soi-disant « lutte contre la haine » n’est qu’un prétexte. Alors ce ne sont pas l’ambiguïté de certains propos qui rend l’application de la loi problématique, c’est le fait que cette loi soit radicalement inconstitutionnelle.
Le texte de 1881 posait un certain nombre de principes et en particulier l’intervention du juge impartial pour définir les limites légales de la liberté d’expression. Celle-ci est totale et ne peut faire l’objet d’un contrôle judiciaire qu’a posteriori. C’est la raison pour laquelle par exemple l’interdiction a priori des spectacles de l’humoriste Dieudonné n’est pas possible. Le fait qu’il ait déjà été condamné ne permet pas de l’empêcher de parler par anticipation. 140 ans de jurisprudence ont permis utilement au juge d’adapter l’application du texte aux évolutions des modes de communication. La révolution numérique a été parfaitement intégrée et l’ordre juridique n’avait nul besoin d’être bouleversé.
Le texte adopté hier comporte un certain nombre d’horreurs et la première d’entre elles est celle relative au fait que c’est l’autorité administrative qui désormais décide de ce que l’on peut dire ou ne pas dire sur les réseaux. La police peut sommer n’importe quel site, quelle que soit sa taille, de supprimer dans les 24 heures des textes qu’elle juge contraire à la loi. La défaillance dans la suppression peut être sanctionnée, non pas par un juge mais par le CSA qui est une « Haute autorité administrative indépendante », c’est-à-dire une officine complètement contrôlée par le pouvoir exécutif. Le montant des amendes peut être vertigineux et dépasser le million d’euros ! Il est clair que les grandes plates-formes comme Facebook et Twitter, non seulement vont poursuivre leur censure a priori qui existe déjà, mais par précaution déférer à toutes les demandes de suppression émanant du pouvoir d’État. Le système d’intimidation ainsi adopté n’est pas destiné à « lutter contre la haine » mais bien à réprimer la liberté d’expression sur les réseaux. Et ce d’autant, que le pouvoir actuel nous a fait une très jolie démonstration à propos de l’expression de la haine dans la fameuse affaire « Mila ». On se rappelle cette jeune fille de 16 ans victime d’une agression raciste sexiste sur les réseaux et répondant vivement en critiquant vertement une religion, ce qui est une liberté fondamentale. Pour faire l’objet ensuite d’un incroyable déferlement d’insultes et de menaces de mort qui se sont comptés par dizaines de milliers. Le premier réflexe du parquet mandaté par Madame Belloubet fut de lancer une enquête préliminaire contre la jeune fille ! Piteuse reculade devant le tollé, mais depuis il ne s’est absolument rien passé sur le plan judiciaire. Les dizaines de milliers d’infractions n’ont eu aucune réponse. Pas une mise en cause, pas une garde à vue, pas de mise en examen et bien sûr pas de condamnation.
Et ce n’est pas l’annonce de la création d’un parquet spécialisé ainsi que d’une juridiction également spécialisée qui vont changer quoi que ce soit en réintroduisant le juge dans le processus. La précédente création du Parquet National Financier a été une belle démonstration de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques dont l’actuel pouvoir est un pratiquant assidu.
L’accusation de haine contenue dans cette loi peut-elle servir à éliminer, sous un prétexte facile, les adversaires ? En quoi ce dispositif de censure partagé entre les pouvoirs publics et les grandes plateformes d’internet est-il dangereux ?
Anne-Sophe Chazaud : L’argument de la « haine », utilisé ad nauseam par les moralistes contemporains, vise à psychiatriser la parole non consensuelle, à la disqualifier et, in fine, à la criminaliser. Il correspond à cette obsession victimaire décrite avec drôlerie par Philippe Muray comme étant une « cage aux phobes » propre à la post-modernité gémissante, prompte à dénicher de l’offense à tous les coins de rue et sous tous les travers de langage.
Cet outil à la fois rhétorique et juridique, visant à étouffer la conflictualité, la dialectique, le contradictoire, tout en décrétant une censure a priori, exempte de toute décision judiciaire, laquelle était de toutes façons déjà préjudiciable à la liberté d’expression, ne fait que souligner un peu plus l’obsession liberticide de cet exécutif.
Une ribambelle de dispositifs se sont succédé, dans un pays déjà sujet à l’inflation législative, visant à museler l’expression ; la loi présentée comme anti fake-news, permettant l’intervention du juge des référés en matière politique représente une véritable abomination antidémocratique. Elle n’a pourtant pas trouvé beaucoup d’opposants sur les bancs de l’Hémicycle. L’esprit propagandiste qui dirigeait l’esprit de cette loi a pourtant été mis en lumière lors des récentes manipulations d’opinion et d’intrusion dans la liberté d’information auxquelles s’est prêté l’exécutif avec sa tentative de déploiement d’un site de « Desinfox » afin de contrôler la bonne parole sur la gestion de la crise sanitaire. La loi présentée comme « anti-casseurs » et qui avait surtout pour objectif de casser la liberté d’expression propre au droit de manifester, en tentant de justifier l’injustifiable arrestation arbitraire et préventive des opposants sociaux et politiques par le pouvoir, n’a pareillement pas suscité beaucoup de réactions hostiles, proposée même par Les Républicains. La loi Avia ne fait que compléter ce système répressif antidémocratique, lequel démontre la nature autoritaire et illibérale du pouvoir macronien. Rappelons également que si chacun semble considérer comme acquis les bienfaits de la fin de l’anonymat sur les réseaux sociaux, celui-là permet pourtant à de nombreux lanceurs d’alerte de diffuser certaines informations. Mais protéger les lanceurs d’alerte n’est pas non plus une grande priorité de cet exécutif qui s’est empressé avec un zèle remarquable de faire appliquer en droit national la directive européenne sur le secret des affaires en mode « procédure-bâillon ».
L’entente entre les pouvoirs publics et les géants d’internet, sociétés privées étrangères auxquelles on va donc confier le soin de régenter la liberté d’expression des citoyens français, sera parfaite, puisqu’il existe une véritable porosité idéologique entre ces différents pouvoirs qui défendent la même vision du monde et les mêmes intérêts.
La censure portera par exemple sur les contenus « religieux », ce qui ne facilitera évidemment pas la lutte contre l’islam politique, que l’on sait très actif par le biais victimaire sur les réseaux sociaux. Le concept fumeux d’islamophobie avait d’ailleurs été employé par Laetitia Avia lors de l’exposé des motifs de cette loi, alors même que la critique voire la détestation d’une religion (distincte de la haine publique énoncée contre des individus) constitue une liberté fondamentale. La nomination cette semaine au nouveau Conseil de surveillance (en vérité conseil de l’Inquisition) de Facebook (et instagram) d’une yéménite fréro-salafiste ou encore d’une membre de la fondation de Georges Soros, particulièrement actif dans l’encouragement de la crise migratoire et la destabilisation subséquente des Etats européens, laisse à penser que la censure permettra un verrouillage supplémentaire de l’opinion publique sur ces questions qui, pourtant, appartiennent au peuple et sur lequel seul lui devrait avoir à trancher. Le modèle communautariste, multiculturaliste qui fonde l’idéologie post-socialiste macroniste est commun à l’exécutif actuel et aux géants d’Internet. Il est vraisemblable que c’est donc peu à peu ailleurs, sur d’autres canaux (retour du fanzine papier ?) ou par d’autres biais numériques (plateformes cryptées et moins visibles ?) que les citoyens français pourront exercer de nouveau leur pleine liberté d’expression, ce qui s’apparente à la mise en place d’une forme de dissidence en régime autoritaire.
Notons enfin que la notion de « haine » permet de condamner la critique de nature politique et sociale. On se souvient d’Emmanuel Macron fustigeant, lors du mouvement des Gilets Jaunes, la « foule haineuse ». Cette sémantique appliquée au champ politique n’est pas anodine et permet d’entrevoir un verrouillage de l’opposition politique et sociale par un pouvoir aux abois.
On en comprend donc tous les dangers multifactoriels.
L’accusation peut devenir une arme pour se débarrasser de son adversaire d’un jour, comme lors d’un divorce. N’est-ce pas le signe qu’une telle loi est de mauvaise facture ?
Régis de Castelnau : Répétons que « la lutte contre la haine » n’est que le prétexte pour mettre les réseaux au pas. Et n’oublions pas que le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence nécessaire pour se maintenir d’une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. L’affaire Mila et l’attitude personnelle révélée de Laetitia Avia démontrent la totale hypocrisie de cette séquence.
Il est indispensable de s’opposer, par toutes les voies de droit possible, à cette mise en cause de la liberté fondamentale d’expression. À l’Assemblée, la droite républicaine s’est ressaisie, la France insoumise a fait son devoir, et on notera la « glorieuse » et guère surprenante abstention du groupe socialiste… Il faudra s’en souvenir.
Nous sommes face à un processus qui relève de la psychopathie. Une virus à ARN (Anti-Républicanisme Notoire) parti de la tête pourrie de l’Etat cherche à contaminer tout le corps social. Et les dégâts sont terribles… https://zerhubarbeblog.net/2020/05/14/covid-19-letendard-des-psychopathes-en-marche/
Ce ne sont pas des psychopathes mais des pervers narcissiques de niveau du plus haut: sur une échelle de 1 à 5, ils sont de quatre à cinq, j’en ai déterminé trois mais il peut y en avoir plus.
De niveau six ce sont des psychopathes qui eux tuent par nécessité psychique, contrairement aux pervers narcissiques qui tuent pour sauver leur monde imaginaire dedans lequel ils sont plongés.
Le un est par mimétisme d’une tel pervers qui en a pris les commandes;
Le niveau deux est familiale:
Le trois c’est le gourou;
Le quatre est en bande organisé;
Le cinq recherche le pouvoir au plus haut de la société.
Plus on monte de niveau, plus grave est cette maladie psychiatrique.
Ils sont narcissiques non pas parce que leur narcissisme serait trop important mais parce que celui-ci étant gravement blessé, il s’est boursouflé par survie du sujet.
Ils ne sont pas conscient au moment de leurs actions mais le sont de leur compréhension des raisons desdites actions, c’est pourquoi ils ne doivent pas être placés en asile mais en prison.
Ils souffrent d’une psychopathie latente dont l’origine est un choc psychologique violent à la petite enfance blessant gravement leur narcissisme générant une telle culpabilité qu’ils l’ont refoulé mais dont ils se nourrissent en faisant souffrir leurs proie, ceci en raison du plaisir qu’ils avaient ressenti lors de leur douleur traumatisante, ils conservent donc leur empathie mais pervertie, leurs émotions aussi sont refoulées,
Ils projettent toujours leurs propres faiblesses, méchanceté et autres malveillances sur tout autre gens normaux.
Ils vivent dans ce monde imaginaire dont ils se placent au centre, c’est pourquoi, bien qu’ils puissent se regrouper et agir ensemble, chacun veut dans le même temps se retrouver au centre du monde imaginaire collectif ainsi créé.
Donc, en écoutant bien chacun d’entre eux il est possible de savoir de quoi ils souffrent et, surtout, leurs faiblesses.
Surtout, puisque toute leur intelligence est tourné vers les seules manipulations perverses pour obtenir leur jouissance, ce sont des gens structurellement incompétents.
Ils n’ont aucun interdit du surmoi puisque leur émotions sont refoulées.
Leur effondrement s’établit en quatre phase:
-la fuite en avant;
-l’affolement;
-la panique;
-la décompensation faisant remonter leur psychopathie.
Ils se vengent sur les proies d’ont ils perdent le contrôle parce que dès lors elles ne font plus parti de leur monde mais sont redevenues, pour eux, des êtres humains à part entière et non plus des demis objets.
La chose qu’ils détestent le plus c’est que soit découvert leur nature véritable, ceci parce que cela les met en danger de ne plus pouvoir trouver de proie et dès lors de décompenser.
La seconde c’est que l’on se détourne d’eux en froissant leur narcissisme et/ou en rabaissant l’image qu’ils ont d’eux-mêmes.
Je pense qu’ils ont tous une base paranoïaque mais n’en suis pas sûr.
Et, ils sont très naïfs.
Je ne suis en rien professionnel, ce ne sont juste que les résultats des observations et réflexions de mon expérience douloureuse.
Je crois que j’ai fait le tour.
J’oubliais de préciser que si l’une de leurs émotions remontait à la surface de la conscience ils risquent de décompenser puis que leur psychopathie ne serait plus latente.
… à la surface longuement…
J’aimerais comprendre dans quelle mesure une loi limitant la liberté d’expression, pour quelque motif que ce soit, haine ou autre, n’est pas en violation avec l’Art.4 de la constitution garantissant la pluralité des opinions ?
Faudrait demander au conseil constitutionnel!
Ce ne sont pas des juristes mais des politiques en fin de carrière qui ne sont nullement indépendants
ah bon!?
L’article 4 de la Constitution (consacrant les groupements et partis politiques) ne concerne pas la liberté d’expression à proprement parler, sinon qu’indirectement en en garantissant l’exercice au travers des partis politiques (alinéa 2).
La liberté d’expression est, en revanche, clairement énoncée (et délimitée) dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme, qui fait partie du bloc constitutionnel :
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
On reprend, donc : »sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi » (et on complète) : par les lois sur la liberté de la presse de 1881, lois dites Pleven, Gayssot… et maintenant Avia.
Autrement dit : la limitation de la libre expression ne viole aucun principe constitutionnel ni liberté fondamentale. Mieux ! La limitation de la libre expression est constitutionnellement consacrée dès lors que ladite limitation s’applique à un cas d’abus de ladite liberté.
De ce point vue, on peut anticiper la réponse du Conseil Constitutionnel : « circulez, il n’y a rien à voir ».
S’il doit y avoir censure ou réserves d’interprétation du texte de la part du C.C., se sera sur d’autres points, plus précis, de la loi.
Cette declaration de Soljenytsine devrait remettre les idées en place:
C’est le grand Soljenitsyne, dans son discours de Harvard en 1978, qui explique le mieux notre situation :
« Le déclin du courage est ce qui frappe le plus un regard étranger dans l’Occident d’aujourd’hui. Le courage civique a déserté non seulement le monde occidental dans son sens noble, mais même chacun des pays qui le composent, chacun de ses gouvernements, chacun de ses partis […] Une société qui s’est installée sur le terrain de la loi sans vouloir aller plus haut n’utilise que faiblement les facultés les plus élevées de l’homme. Lorsque toute la vie est pénétrée de rapports juridiques, il se crée une atmosphère de médiocrité morale qui asphyxie les meilleurs élans de l‘homme. Et face aux épreuves du siècle qui menacent, jamais les béquilles juridiques ne suffiront à maintenir les gens debout. »
Vous dites, en clôture de l’article, qu’il faut s’opposer par toutes les voies du droit possible. Fort bien. Comment fait-on ? Comme beaucoup, je suis prêt à participer aux actions de résistance contre cette guerre contre nos libertés mais comment ?
Une voie ouverte par le droit est précisément le recours zélé à cette loi Avia à l’encontre de ses promoteurs : arroser l’arroseur.
Ces faquins de LaREM, si fiers de leur amateurisme, sont en effet plutôt dispendieux en matière de saloperies proférées sur les ondes où tweetées compulsivement. Et que dire de leur armée de trolls ?
v–v sa vas ségné
Délicieux article de l’Opinion en date du 30 mars, sur les tests.
https://www.lopinion.fr/edition/politique/coronavirus-pourquoi-france-manque-tests-depistage-covid-19-215231
Et tout est à l’avenant.
Concernant la Loi Avia, naturellement votée à main levée en pleine catastrophe sanitaire où on eût pu penser qu’il existât des préoccupations autrement plus graves, le Professeur Béchet Golovko commente ce jour,
« Sa personnalité (Avia – ndlr) ne m’intéresse pas, car les textes qu’elle fait passer survivront à sa carrière politique et c’est ce qui devrait autrement inquiéter. D’autant plus, qu’il s’est trouvé suffisamment d’élus pour le voter. Et eux aussi furent élus. Ce texte devrait plutôt nous inciter à nous interroger sur le niveau de la culture politique dans notre pays – ou en tout cas sur ce qui reste, et de culture, et de politique. »
En effet.
Si, pour Monsieur Denis Kessler, il s’agit de systématiquement renverser un à un, tous les acquis du Conseil national de la Résistance (peut-être Monsieur Kessler craint-il de souffrir de faim si le peuple devait un jour manger à sa faim? Les images de Monsieur Kessler dans le domaine public ne le donnent pas à penser), pour le reste de la France, il s’agit désormais de systématiquement renverser une à une chaque ‘réforme’ néolibérale des dernières 40 années.
Cela pose de nombreuses questions techniques-juridiques et il va falloir très rapidement s’y atteler.
Outre la systématisation des atteintes à la liberté d’expression, c’est à dire à notre humanité puisque nous sommes des êtres pensant,
la mère porteuse de cette loi n’ai pas été choisie au hasard.
Elle fait fonction, à beaucoup de points de vue, de repoussoir spécialement mis en place pour nous heurter. Nous serions ainsi poussés à choisir le seul bulletin de vote qui ré-assurera la victoire de Macron, comme celle de Chirac avant lui. C’est la seule politique électorale des partis de gouvernement.
Superbe illustration de l’expression « bas du front ».
Chère Madame, ce que vous écrivez est fort bien vu, nous pourrions nous poser la même question au sujet de la loi El Khomri sur les retraites.
Cela mérite réflexion.
C’est pas contre la haine, c’est contre l’expression que nos irresponsables légifèrent.
C’est donc bien un changement de régime qui advient.
Nous devons ne faire plus qu’une chose : redonner le pouvoir au peuple.
Avant de n’en n’avoir plus la possibilité.
Oui, oui, oui et oui !!!!!!!
Sauf que la censure est déjà partout sur le net. A part ici (mais je n’ai pas l’impression qu’on lise souvent les commentaires, en tout cas, on n’y répond jamais) le règne du couperet est généralisé. Sur les versions numériques des grands médias, la « modération » fait des ravages, non contre les Trolls (qui sont toujours relatifs, qui ont bien le droit d’exister et qu’on neutralise très bien en ne les lisant pas) mais contre toute pensée non conforme. Bien entendu, la définition change entre Marianne, Le Figaro ou Le Monde, mais le principe est le même : éliminer (de plus en plus souvent avec des algorithmes ou des modérateurs munis de listes de mots et de noms à bannir) tout ce qui ne pense pas comme soi. Hélas, les sites dits alternatifs ne sont pas mieux. Essayez de voir comment ça se passe sur Médiapart ou sur les Crises, par exemple. (Les intervenants s’en plaignent mais subissent, comme s’ils étaient à la maternelle.) Les partis ou mouvements politiques ne sont pas en reste. LFI, par exemple. Sur le blog de Mélenchon, les commentaires ont toujours été strictement contrôlés (du genre « merci au Petit Père du Peuple », en exagérant à peine). Aujourd’hui, parce que le débat serait très vif, ils ont été… supprimés. Ne voulant pas écrire un traité mais un simple post, j’arrêterai là. Cela dit, j’invite les internautes à partager leurs expériences de censure, parce que c’est un cancer qui ronge ce pays.
La loi Avia, cette abomination, entérine donc une situation déjà établie. Nous nous sommes laissés faire, et maintenant, nous voilà dos au mur.
Encore un point, mais capital : défendre exclusivement sa liberté d’expression à soi, c’est facile, tout le monde le fait… et ça ne rapporte rien. Le vrai combat, c’est défendre la liberté d’expression des gens dont on ne partage pas les idées, quitte à les combattre à la loyale par ailleurs. Si on exclut l’appel au meurtre et au viol (pour aller vite) je parle ici de toutes les idées, même les plus détestables. A ce titre, les « lois mémorielles » et tout ce qui va avec ont ouvert la voie à la loi Avia.
En conclusion, la seule défense est de boycotter systématiquement tous les médias, sites et réseaux sociaux qui sous couvert de « modération et de charte » pratiquent la plus politique et la plus honteuse des censures. N’oublions jamais que ces gens vivent parce qu’ils ont des abonnés ou des clics. La riposte, c’est de leur couper le robinet à revenus.
Un addenda à l’intention de Me de Castelnau, s’il lui arrive de passer par ici. La manière dont Le Front Populaire gérera ses commentaires – et ses opposants, même les plus virulents – sera déterminante. Si on retombe dans la bonne conscience des censeurs, comme partout, ce sera une défaite suffisante pour garantir le naufrage de l’entière opération.
Je sais, faire face à la liberté d’expression n’est pas toujours facile, et le débat démocratique prend beaucoup de temps (comme diraient les Macroniens, qui s’assoient dessus). Mais réussir sur ce plan-là est une condition nécessaire, bien que non suffisante.
Mesdames,
Mesdemoiselles,
Messieurs,
Messieursdames
etc…..
la Liberté d´expression en France, aujourd´hui est un mythe : elle est morte depuis longtemps et bien avant les ridicules présidents qui se sont succédés depuis Mitterand le menteur, le baratineur, l´hypocrite qui a lâché le Liban en 1982 devant l´agression israélienne, qui a ruiné la France et l´a plongée dans l´endettement et le déficit public systématiques et continués par ses successeurs.
L´affaiblissement financier et économique de la France est la conséquence d´une doctrine socialiste totalement fausse mais largement diffusée par une presse complice selon laquelle l´état peut avantageusement se substituer à l´entreprise individuelle.
Ce mensonge est encore diffusé hypocritement aujourd´hui à la faveur d´une épidémie parmi tant d´autres.
L´échec de l´expérience socialo-communiste de 1981 , les politiques étatistes qui lui ont succédé, et leurs conséquences sont gommées par la presse française : la régression sociale et économique, le triplement du chomage passé de 1 à 3 millions entre 1981 et 1988 premier septennat de Mitterand, sont les conséquences de la politique socialo-communiste puis étatiste et anti libérale menée depuis 1981 par les gouvernements français successifs.
Les mensonges et la désinformation sont les spécialités de la presse française depuis 1981, la loi Fabius-Gayssot a consacré la mort de la liberté d´expression en France.
La meilleure preuve en est que vous mêmes, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Messieursdames, vous dissimulez votre identité derrière des sobriquets pour nous faire la leçon.
Monsieur DE VENDEUVRE, avez-vous vécu dans une grotte depuis quarante ans ? Je ne le crois pas, mais cela en a l’apparence d’une hibernation troublée.
N’avez-vous pas observé, depuis le « libéralisme avancé » de Mrs Barre et Giscard d’Estaing, que nous sommes poussés vers un libéralisme (tantôt plume/ suppression ISF, tantôt matraque/ réforme du travail et des retraites). L’Etat et ses maîtres veillent à la poursuite de la besogne par coupes réglées des moyens humains et des budgets. L’Etat laisse sa charpente se désagréger. Les programmes politiques s’enorgueillissent de vouloir supprimer des emplois publics, mais où va donc l’argent ? L’emploi ? La transition écologique ? Et les impôts baissent, petit problème, non ?
Cela pourrait – l’avis un économiste non affilié arbitrerait – expliquer les dysfonctionnements de nos services publics et indiquer le choix délibéré d’un démantèlement, puisque…
Conjointement, tout est fait pour qu’une opposition soit discréditée, voire inaudible ou pire, dans l’avenir. Nous expliquer qu’il n’y a pas d’autre alternative est une façon de nous infantiliser et d’évacuer les discussions et le débat démocratique.
Erreur ! chaque jour nous voyons des initiatives discrètes or des radars médiatiques – la liste est longue comme le bras, à la hauteur du Génie français et de son célèbre système D – qui nous prouvent le contraire.
Il n’empêche, c’est ici notre sujet, que nous devons veiller à la circulation sans entraves de la libre expression, d’où qu’elle vienne. Les lois existantes suffisent, celle en attente de la promulgation est mortifère.
De solon mon avis le pirate de l’air d’el castel del diabolo le fait exprès dans sa quête comme multi récidiviste .avec ses articles
Ceci dit s’il pourrait me défendre dans le vis a vis des faux monnayeurs que vous soulevé
Justement en passant j’ai un client qui m’a acheter 4 peintures avant le covid , mais avec le covid de je ne sais de quel siècle on à tout posé pour la livraison qui avait perdu une patte comme du droit de rétractation , dans le style lycra termo lacté
Donc
Un deal en attente
Comme quoi le marché était en pose ou confiné
Le drame s’est que le client ne m’a pas payer et lui se déconfite sur ma peinture en attente d’une livraison gratos de mon art
Et en plus sournoisement complètement à l’aise qu’il en à oublié de me payer mais il veux la marchandise comme de ceci dit le virus ma bouffer mon cerveau.
Hors évidemment s’est moi qui crée
De toute évidente je ne suis pas obliger de me reconnaitre chez le voisin
99,9% de l’humanité me gratte l’amitié juste pour leur entendre dire qu’ils n’ont pas de talent
S’est fou quand même !!!
Maitre
la photo de votre article faudrait voir
La loi Avia est évidemment une atteinte gravissime à la liberté d’expression.
S’est terrible et d’une extrême violence
Mais malheureusement faut pas le montrer où le dire comme de tant qu’à faire
Sans cela la construction mental de l’image va s’écrouler dans un rêve comme château de carte en Espagne
S’est tellement plastique tout ce qui nous entoure
Faut acheter une île pour être seul
Atlantico.point France ,juste pour un pet de canard franchement comme texte s’est mal engagé
D’où le drame
Quelques questions que je me pose :
1) Cette loi a manifestement été passée pour défendre les intérêts personnels de madame Avia, qui ne souhaitait plus que des internautes puissent l’insulter sur internet, et non dans l’intérêt du bien commun, qui lui repose sur la préservation de notre liberté d’expression :
– Un Haut fonctionnaire de l’Etat a-t-il le droit de détourner ainsi l’usage de la loi à son unique profit ?
– Bénéficie-t-il aussi d’une sorte d’immunité que le citoyen lambda n’aurait pas ?
Les insultes fussent pour tout le monde, qui ne s’est jamais fait insulter ? Pourtant, aucun organisme ne nous permet d’exiger la censure de la part des personnes qui nous insultent.
– Des insultes envers une seule personne ne sont-elles pas des faits mineurs comparées à l’énorme arsenal de censure qui est déployé à l’encontre de tous les citoyens ?
2) La défense des groupes formés en communautés, qui est l’objectif affiché de cette loi, peut-il aussi légalement primer sur la préservation de l’intérêt général, qui lui est composé de l’ensemble des communautés, et donc, sur la préservation de notre liberté d’expression ?
3) Le statut de victime, qui constitue l’assise de certaines associations, a-t-il une existence juridique ? Et ne lèse-t-il pas, une nouvelle fois, l’intérêt de l’ensemble de la communauté ? Ne permet-il pas d’accorder, dans les faits, des privilèges à certains groupes constitués, privilèges dont ne jouit pas l’ensemble des citoyens, comme celui ici, par exemple, de restreindre notre liberté d’expression ?
4) Ce gouvernement s’illustrant de plus en plus, au fur et à mesure du temps, dans des abus d’autorité en tout genre, peut-il être être mis légalement en cause pour manquement à ses fonctions ?
Avant toute cette pub pour cette loi je ne connaissais meme pas Mme Avia, et cela ne me manquait pas!
Elle ne l’aura certainement pas faite pour elle seule puisque les lois ne sont pas rédigées par les parlementaires mais le gouvernement.
Non faut arrêter de croire
J’ai été violer coco par des pédophiles
Je me suis souvenu
En plus j’ai un tracé
Faut arrêter de commenter alcoolisé. Sinon pour vous, pour les autres.
Vanmachinchose n’est pas alcoolisé comme vous dites mais tiens des propos digne d’un psychotique.
C’est à dire d’un malade mental.
Fallait le voir comme dit
Bon je suis bon pour l’hôpital sans virus d’alors.
Vous me réchauffé le cœur le jour de ma mort
Lors de mon incinération me resta 2 implants dentaire en titane au cas où on se perd dans le four de crémation
J’imagine le spectacle comme mort
Mais effectivement vous avez raison , comme malade .
Ceci dit je n’ai pas encore fait mon manifeste et mon testament
https://www.laquadrature.net/2020/05/11/vote-final-de-la-loi-haine/
nouvel amendement super express : injonction de la Police à exécuter sur l’heure
C’est surtout un moyen de faire diversion pour ne pas que les observateurs se focalisent sur la médiocrité des résultats de Macron sur le terrain économique où il se faisait fort de montrer de quel bois il se chauffait.
Je ne connais pas Mme Avia pour savoir si ce qu’on lui reproche vis à vis de ses anciens collaborateurs (insultes, racisme, etc…) est réel.
Mais, j’ai souvent constaté qu’en politique, ceux qui donnent des leçons de morale à la Terre entière sont ceux qui ont eux-mêmes le moins de morale (1). Ces gens sont des spécialistes du double langage.
Quant à la loi Avia, il est vrai qu’on ne voit pas, juridiquement, comment définir « la haine ».
Donc, ce sera « à la tête du client ».
Notons que la haine « ce n’est pas bien ». Donc, la loi Avia, c’est pour aller dans le sens du « bien ».
C’est au nom du « bien » que les macronistes, mais aussi avant sous Hollande (2), prennent des mesures liberticides. C’est au nom du « bien » qu’on se dirige peu à peu (en France et aussi dans d’autres pays d’Europe) vers un régime totalitaire, une forme de « 1984 » d’Orwell.
Oui, Natacha Polony et Jean-Michel Quatrepoint ont bien eu raison d’écrire, en 2018, contre ces nouveaux inquisiteurs : « Délivrez-nous du bien » (édition Observatoire).
(1) Je l’ai même constaté localement.
(2) Je suis d’accord avec ce que dit Zemmour à 75 ou 80%. Je comprends que d’autres soient plus en désaccord.
Mais, ce qui est inadmissible, c’est de vouloir censurer Zemmour, l’interdire de médias.
C’était pourtant une pétition d’Hapsatou Sy et Audrey Pulvar, soutenues pas le calamiteux Ian Brossat (vous savez : le « communiste »-bobo).
Bien sûr, contre Zemmour, on utilisait le langage des liberticides de ces dernières décennies : « nauséabond », « incitation à la haine » (tiens « la haine », comme la loi Avia).
Invité sur France-Inter, l’ancien président Hollande, tout en prétendant être contre la censure (double langage) regrettait lui aussi que Zemmour soit invité (parfois) dans des médias (« Figaro » ou « CNews »).
Macron est un perdu de vue sans âme , il se la joue comme algorithme de croissance
Les merveilles du monde moderne
La loi se négocie en direct entre l’omniprésident et les GAFAM
La justice se rend par ligne directe (SMS ou mail) entre la Police et les sus-nommés.
Les contestations seront vues en temps utile par quelques préposés adhoc.
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
« Liberté d’expression en danger : non à la loi contre la cyber-haine »
https://www.change.org/p/c%C3%A9dric-o-non-%C3%A0-la-loi-contre-la-cyberhaine
12.000 signatures
NON à la Loi Avia : défendez votre liberté d’expression !
https://damocles.co/loi-contre-haine-internet-censure/merci/
56000 signatures
Contre la censure généralisée sur Internet
Pour défendre la liberté d’expression et d’information des Français !
Déjà89450signatures
https://mobilisations.boulevard-voltaire.fr/contre-censure-genralisee-sur-internet/?idU=2
90.000 signatures
faut peut être plus de signataires niveau subliminal
144000 fait appels au immortels comme providence d’élus
ça parle de l’arche d’alliance aussi
Psaumes 133
s’est une très vielle histoire
(Chant des montées, de David.
Oh! Qu’il est agréable, qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble!
C’est comme l’huile précieuse versée sur la tête qui descend sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, et sur le col de ses vêtements. C’est comme la rosée de l’Hermon qui descend sur les hauteurs de Sion. En effet, c’est là que l’Eternel envoie la bénédiction, la vie, pour l’éternité.)
google franchement s’est formidable pour les nuls
Tout les présidents essayent de hacker la constitution pour faire valoir l’utilité de leur mandat comme nul .
Ca nous le savons comme eux
En soi leur problème est de camoufler l’information et l’image pour contrôler le prévisible de leur pauvre état comme individu et celui de l’autre et nous empêcher de les voir
Mais en faite faut savoir se que l’on cherche , après il est facile de voir
Même dans un régime totalitaire tel que cette loi on peut se réveiller en Chine
Comme image vous avez le film du dernier empereur pouic pouic
qui en fin de film fait son potager comme niait alors que Mao écrase tout sur son passage
Sauf lui à la tête du client
Et pouic pouic aillant le criquet se retrouve dans de bonne main même dans une boîte
Pour moi un bon président est celui qui ne s’expose pas dans le média
Un président invisible qui montre que nous avons assez de lois et que tout va bien par son absence d ‘avoir été élu comme de vivre ensemble
alors chercher l’erreur
Tout l’eveinementiel tourne autour de la représentation
Franchement des lois ils y en à plein les cartons
Beaucoup de lois ne sont que des effets d’annonces car elle ne peuvent s’actualiser
Regarder tout le potentiel qu’il à fallut mettre en place juste pour pomper 135 euros
Pays complètement paralysé comme cimetière à ciel ouvert
Voilà que Raoul fait un tag d’information
i24News – notamment accompagnée d’un bandeau mentionnant «Didier Raoult : un visionnaire»
Et voilà l’affaire
https://francais.rt.com/france/75134-didier-raoult-defend-reseaux-sociaux-attaque-aux-medias-traditionnels
Si bette s’en retournera dans sa tombe à crottes comme porte parole de miasmes en fausse couche fringué de l’état à s’en chercher sa muse d’avia penser
https://blogs.mediapart.fr/charles-quatre-sendis/blog/120520/loi-avia-macron-instaure-en-france-une-censure-de-linternet-digne-de-la-chine
« Désormais, il contrôlera également tout internet en privant de parole et/ou en sanctionnant/emprisonnant tout individu ou organisation qui tiendra un discours hostile.
Tout ça « au nom du bien »!
Effrayant! »
NON
Vu du droit est anthropomorphe qui donne une réalité existentiel au transhumanisme
La seul échappatoire est le texte comme lecture
(Tout ça « au nom du bien »!
Effrayant! »)
d’où le drame
Lorsque j’écris d »où nous parlons d’une adresse façons d’écrire la boutique.
Laissé les moi
Voyez
33eme degrés du grand orient de France avec tout ses dossiesr autour de son cul comme pragmatique
Il y à énormément de compte de mort qui sont en attente d’un compte rendu
faudrait répondre à leur demande
L’euthanasie s’est comme ça
J’aime bien Alain Bauer
Le problème s’est que personne peu le lire
Hors il donne toute les clés de lecture de la bonne entente à cassé du beef
Alain Bauer 33eme degrès du grand orient de France comme mourut dans son installation
Alors qu »il nous rappelait à l’ordre
Chantoyons la république
Il est temps d’éliminer nos parasites
Bau air je le me le garde et au cas il se la joue perdu de vue , je l’inviterai dans chiotte de l’humanité
Et puis tous ses rapaces me fatigue
De selon mon avis je cède ma place à bil gate qui avait très bien vu venir
Façon gentille l’humanité est un virus
D »où le mouvement végan comme de nouvel horizon
Et eux de kubrik de tintin sur la lune ils en ont rien à foutre
Avec le mouvement vegan on à rien vu comme spectacle
Dans l’hystérie il y à plein de morts qui vont revenir
Je laisse la gestion au cowboy
Ce qui est bien avec le véganisme s’est
qu’ils n’ont pas de complice , un mouvement radical tout cela pour de la viande comme cannibale
Qu’il ne veulent pas bouffé et de plus ils ne souhaite plus se reproduire comme insecte de bouffe
Le texte est là l’humanité comme de la loi on se bouffe entre frère
D’autres écrive stop face au cannibalisme
Comme sujet d’étude s’est intéressant
Lettre ouverte d’inspiration libre à ma député(e):
Madame,
Vous avez cru devoir voter, par ingénuité, espérons-le, en faveur de cette scélérate loi Avia au prétexte fumeux de « lutte contre la haine », alors que cette loi haineuse par ses intentions n’est que l’occasion d’une censure de la liberté d’expression et une sinistre farce. Une abjection prétendant combattre la haine alors qu’elle la suscite et la génère.
En d’autres temps troublés, le 25 Juin 1940 à la Chambre des Communes un certain Winston Churchill déclarait « La Chambre ne pourra qu’être affligés du sort de la grande nation et du peuple français à laquelle nous avons été si souvent été associés dans la guerre comme dans la paix et que nous avons toujours considérée à l’égal de nous-mêmes comme les dépositaires d’une culture libérale et d’une civilisation tolérante en Europe ».
Dès le 16 Juin, la France en effet, n’était plus la dépositaire d’une culture libérale et d’un civilisation tolérante, sous occupation germanique et sous régime nazi.
Et ces mots terribles sont d’une actualité brulante pour les raisons qui suivent. Dans la tradition républicaine qui est celle de la France, l’élu du peuple est un effet en vertu de la théorie de la représentation, le représentant du peuple souverain. En conséquence, cette loi acte définitivement et sans appel la trahison du peuple par ses représentants, devenus occupants de l’intérieur d’un régime liberticide, issu de l’ accident historique de la dernière élection présidentielle !
La vomissure boursoufflée qui nous tient lieu de Président en est la cause première. Elle est la cause de la première trahison de dirigeants à l’égard de son peuple depuis le 16 Juin 1940, à la différence, toutefois, pour des raisons déjà brièvement exposées que ce n’est pas cette fois consécutif à la présence d’une armée étrangère sur notre sol, mais à la présence au plus haut niveau de l’exécutif et chez les représentants de traitres de l’intérieur.
La France est tombée et la France se relèvera de cet accident historique, une fois encore. En effet, ce régime finissant qui à maintes reprises a violé la Constitution, trahi la Nation, trahi le peuple, finira et tombera, se noyant dans le venin qu’il distille. Et le plus tôt sera le mieux! Il existe en effet d’étranges et nombreuses similitudes de situations entre Caligula qui nomma son cheval sénateur et notre présidentistricule qui faute de cheval, nomma une « ânesses » porte-parole. Cet étrange parallélisme de situation appelle très probablement à d’étranges similitudes dans les destinées.
Lorsque l’état de droit sera rétabli, comme il se doit, le bras d’une justice immanente tombera. Inévitablement les traîtres à la Nation, les traîtres au peuple seront jugés. Alors apprenez dès maintenant à trembler parce que vous tremblerez!
Je vous prie de croire, Madame, à l’expression de mes salutations affligées, outragées, courroucées et nauséeuses.
Yves Chauvel
je remercie hzm d’avoir validé mes textes , je remercie aussi les maîtres des lieux
J’avais vu une enseigne d’un resto « La loi Avia est évidemment une atteinte gravissime à la liberté d’expression. »
je me suis dit il y à du canard , mais en faite j’était en recherche de mon amis
Le mec qui vous accompagne
l’état de droit , la démocratie , la constitution
Franchement tout ses mots ils les mette dans une crêpe bretonne et vous la renvoi comme migrant et savez vous où ?
Dans votre boutique
Une censure peut se contourner, d’ailleurs, comme j’ai pu l’exprimer ailleurs, le français est, en effet, comme le coq, il ne chante jamais mieux que les deux pieds dans la merde.
Résumons non pas cette censure elle-même mais là où elle s’établie: sur le WEB.
Or, quel problème cela pose-t-il au censeur?
La réponse est double, le nombre de locuteur et, dès lors, les mots cibles qu’il faut déterminer pour qu’une telle censure devienne efficace.
Et oui, il suffit qu’il y ai suffisamment de message envoyé à un instant T, de générer de fait un énorme bruit de fond, et que les mots utilisés ne soient empreint ni de juron, ni de nom précis, pour que le système informatique de tel ou tel soit noyé et que les entreprises du net soient contraints de payer des gens pour faire le boulot, ce qu coûtera cher, très cher.
Dès lors, la langue française, friande de bons mots et autres jeux, contrepets, allusions, synonymes, farces, litote, bouffonnerie, blague… est un excellant outil pour dire tout ce que l’on veut.
Pensez-vous réellement que la double négation soit repérable par la machine?
Ceci d’autant plus que la négation elle-même n’est plus exprimée dans son exactitude passé, dès lors considérons comme probable de la majorité de nos élus du REM (dits les radioéléments) ne peuvent pas non plus s’y retrouver.
Nous ne pouvons pas ne pas considérer comme facilement faisable de passer outre cette censure!
De fait, ce qui est le plus destructeur pour le système politique actuel, qui va bien au-delà du simple REM, c’est de montrer et démonter ses mécanismes propres, ainsi avais-je remarqué, il y a de cela quelques années, que nous avions affaire à un effondrement idéologique et, dès lors, politique depuis la toute fin des années 80 et dont la radioactivité ambiante est la résultante.
Remonter les liens existentiels entre l’Union-Européenne, son idéologie et ses obligations, et les gouvernements français qui se sont suivit depuis cette période évoqué juste plus haut, par exemple.
Il y a donc un immense travail théorique à effectuer.
Parce que savoir où nous en sommes, en somme, nous permettra au mieux de déterminer où nous irons.
Cette limite (enfin plutôt mise à la mort) de la liberté d’expression n’entraine-t-elle pas avec elle une limitation du libre accès à l’information ainsi qu’un contrôle de nos pensées ?
Avec des médias subventionnés par l’Etat et des grands groupes privés, il restait encore internet pour le peuple, pour qu’il puisse s’informer et même s’exprimer. Là, on lui coupe la parole, parole que les institutions lui ont déjà volé, avec tous leurs représentants, dans l’espace public.
Confinement, port du masque obligatoire dans l’espace public (demandé par certains).
Un excellent article sur le site « Causeur » :
https://www.causeur.fr/masques-societe-francaise-176882
Le sieur Aurélien Taché, député, quitte LREM.
Cet ancien membre du PS serait de « la gauche » des macronistes.
« Gauche », certes, mais pas du tout une gauche marxiste. Pas une gauche défendant les ouvriers, plutôt une gauche prolophobe.
Taché, c’est une gauche islamo-gauchiste, libertaire, multiculturaliste, c’est une gauche qui braderait tout ce qui est français, c’est une gauche américaine :
https://www.marianne.net/politique/macroniste-mais-de-gauche-l-equation-impossible-d-aurelien-tache-l-americain
la loi avia est un projet pilote
Rappelez vous de l’introduction du permis de conduire , de la ceinture de sécurité , du confinement dans l’ordre et le désordre.
Pas la peine de s’endormir dessus
La ligne directe sont des algorithmes qui se peaufine dans notre communication
Perso ce qui me perturbe s’est l’arrogance de Anne qui ne vois rien venir
Nous avons tous des enfants lancé comme des baltringues dans notre périmètre de cinglé
Hors la loi Avia s’est un peu comme de Nivéa ou Nestlé
J’imagine que le coffre est en Suisse dans le parking de son chocolat blanc avec des noix Nutella
D’où le Bronx au USA
Je ne sais si s’est révoltant où frustrant
L’ordre des choses sans âmes m’expliquent que s’est comme ça envers et contre tous.
J’en vois une vague et il faut apprends à surfer avec
Au moins pour finir tranquille , après les lieux de passage faut se rendre compte que face à l’évidence ce n’est plus notre affaire
Sur cette planète parlant d’humanité, il n’y à que des charognards
Je vois mesrine revenir et mettre sont grain de sel
Et Bocassa
le dernier en date est le bougnoule du Rwanda invité comme comptable génocidaire et rappelez vous Ruhollah Khomeini
Et tant qu’à faire l’exemplarité Mata hari fusillé
Bonjour,
imaginons le tintamarre orchestré par nos « vigies démocratiques auto-proclamées » (intellectuels de plateaux TV, éditorialistes des médias de l’Oligarchie, artistes « engagés » uniquement pour saquer Cuba, le Venezuela,Poutine ou Bachar) si une telle loi avait été votée par une assemblée « bleu marine »!
Là ils n’ont rien vu ils regardaient ailleurs.
Je doute que la loi avia va résoudre l’an-de la quête sur l’affaire Gregory comme résultat
L’affaire du silence du corbeau comme il s’est vu seul venir
De l’aumônier ou de dou à nier Rousseau comme simplet
Faudra tout de même résoudre ce crime en absence de réponse, pour tout les voyeurs qui se la joue prophète politique et cerveau niqué.
Il ne me manque plus que 1 ou 2 balises pour résoudre l’affaire Gregory
Je ne souhaite pas mourir en lettre morte d’un corbeau
ok j’ai vu ,
Pas étonnant que le corbeau était mariè à l’église
Pauvre enfant sans aucune preuve de défense noyez dans la gueule des lions
Perso j’ai 4 enfants et je les poursuivrai à chacune de le particule de vie pour les protéger à finir
Malheureusement Gregory toute la France le cherche sur son réceptacle
L’affaire gregory de l’autre côté du miroir l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès
S’est comme çà pour les biens, entendant
Il y à des histoires où légitimement j’écoute étant en piste