« Une justice politique » premiers échos…

Le livre publié aux éditions de l’artilleur il y a maintenant 15 jours a fait l’objet d’un certain nombre d’échos dans les médias.

Je fais ci-dessous pour ceux auxquelles elles auraient échappé, une petite synthèse des recensions que j’ai relevées.

Hebdomadaire Marianne.


Le Figaro

Chronique d’Éric Zemmour

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/eric-zemmour-justice-partout-justice-nulle-part-20210107

Sud radio.

Andre Bercoff

Front Populaire

Interview en vidéo.

https://frontpopulaire.fr/o/Content/co353587/regis-de-castelnau-presente-une-justice-politique-histoire-d-un-devoiement

Recension de Maxime Le Nagard

https://frontpopulaire.fr/o/Content/co349547/une-justice-politique?fbclid=IwAR0Kmnal0o6dtLZnHpNv-Yq8KNuAmNXNJJPf7fxU0gICeckTZsTJN-PTqR8

Atlantico

Bonnes feuilles

https://www.atlantico.fr/article/decryptage/l-affaire-fillon-un-coup-d-etat-judiciaire-justice-magistrats-parquet-national-financier-penelope-francois-fillon-judiciarisation-canard-enchaine-nicolas-sarkozy-regis-de-castelnau

Interview

https://www.atlantico.fr/article/decryptage/regis-de-castelnau—-le-parquet-national-financier-cree-par-francois-hollande-s-est-transforme-en-machine-de-guerre-contre-la-droite-et-en-outil-de-protection-des-amis-d-emmanuel-macron-

Vu Du Droit

Recension d’Anne-Sophie Chazaud

Courrier des stratèges

Interview vidéo d’Éric Verhaeghe

https://www.atlantico.fr/article/decryptage/regis-de-castelnau—les-juges-demandent-en-ce-moment-a-emmanuel-macron-qui-t-a-fait-roi-une-justice-politique-francois-fillon-nicolas-sarkozy-eric-verhaeghe

Cercle droit et libertés

Entretien

Chaîne de Grégory Roose

Entretien vidéo

https://www.youtube.com/watch?v=8soi2vmZv5Q&feature=youtu.be

Boulevard Voltaire

Entretien vidéo

https://www.bvoltaire.fr/regis-de-castelnau-je-nai-pas-tres-envie-que-les-magistrats-choisissent-le-president-de-la-republique/

Régis de Castelnau

25 Commentaires

    • Je vous suggère de vous replonger dans les lectures de Deleuze, quant au rôle des communiqués dans les sociétés dites de l’information et dans celles de Bourdieu, quant à la signification de faire remonter les faits divers, du plus insignifiant au plus spectaculaire, tout en haut de la hiérarchie des Unes médiatiques.
      Dans tous les cas de figure, ils participent, d’une part, à la dépolitisation du peuple et d’autre part, à ce que des agents médiatico-politiques, que l’on nommera un peu rapidement, intellectuels, puissent broder en plateaux en incarnant diverses indignations à la place du…peuple.

      Ce dernier point participe donc à la perte de souveraineté croissante du démos.

      Car dans l’exemple, le plus scandaleux, est-ce le fait que des personnes dépositaires de l’autorité publique transgressent la loi dans un restaurant qui devrait être fermé, ou est-ce l’Etat d’urgence sanitaire et ses décrets liberticides ?

      Ce communiqué n’a pas d’autre rôle que de pointer du doigt l’hypocrisie des désobéissants et faire oublier la contrainte inique, en clivant les opinions, comme de bien entendu, alors qu’officiellement, est demandée l’union sacrée en ces temps de pandémie…

      Le véritable problème, c’est le décret n’autorisant pas l’ouverture des restos, des remontées mécaniques, des bars, des salles de sport, des boites de nuit, des lieux cultuels et culturels alors que les bus, les métros, les tramways, les cantines, les supermarchés, eux, sont ouverts.

      Dura lex sed lex, oui, je sais…M’enfin quand même hein ?

      • Tant qu’il n’a pas été invalidé par la Justice, et tant que le Gouvernement actuel n’a pas été renversé au profit d’un autre hostile aux mesures anti-covid en cours, le décret est valide. Et les magistrats ne sont pas dispensés de le respecter.

        Ps: merci pour votre commentaire.

        • La justice est au service de l’Etat policier ou de la société dite de contrôle :
          Foucault : https://www.youtube.com/watch?v=FzIIgODvzHw

          De 0:00 jusqu’à 2:00 de la vidéo, tout est évident, tout est limpide.

          Société de souverainisme (1) (monarchie) -> société disciplinaire (2) (République post Napoléon) -> société de contrôle (3)

          Le covid est le calalyseur du passage de (2) à (3).

          Le peuple est dans l’auto contrôle par la peur, par les communiqués et s’auto discipline au point que le carcéral est devenu quasi obsolète, seules les amendes subsistent de l’ancien monde.

          Orwell, Huxley sont dépassés.

          • Orwell, Huxley
            s’est juste du marketing
            S’est juste des éléments de langage

          • Ils ont juste rédigé ce qui allait effectivement se passer.
            Faut dire qu’ils étaient aux premières loges pour leurs prophéties auto-réalisatrices…

            Bon, Kubrick était également très fort dans le genre.

  1. Chef maître titre votre exposé s’ est de la merder
    De toute façon j’en ai foutre de votre histoire
    L’affaire Berry vous pend au couilles et je ne vais composé votre scénario future
    L’affaire d’avid dans la fosse
    Cher maitre baba
    Lorsque vous avez du sperme qui sort de votre gland
    Il n’est pas la peine de se construire une histoire de vie

    Certes par la la suite se dévoile la fatalité
    Que vous que je vous disent

  2. La nous avons les éléments pour résoudre l’affaire Grégory
    Et de selon de mon avis ; les parents son complice
    Le truc s’est que la justice est au courant dans son intime conviction
    un crime ou sacrifice PREMEDITE
    D’où d’ailleurs la libération de la femme d’avec l’avortement (veil) et l’arrivé dans le panthéon

  3. et une zup
    un deal sur la peine de mort
    d’où d’ailleurs s’est branlé au foutriquet la république en marche
    Le fouquest galerie le sexshop (camera café)

  4. perso je préfère les animaux que je libère
    mimi s’est une jack russel terrier no bulshist , mais elle surf au-delà de la mort
    Voilà la sympathie

  5. pour
    mark knopfler
    Le modèle transhumanisme il bricole dans l’humanitaire
    Une greffe de passage pour voir ton
    L’anus dei

  6. « L’ÉTAT EST LE POUVOIR ORGANISÉ D’UNE CLASSE EN VUE DE L’OPPRESION D’UN AUTRE CLASSE » (KARL MARX)

    « LE GOUVERNEMENT EST LE CONSEIL D’ADMINSTRATION DES GENS RICHCES » (UN MILITANT D’EXTRÊME GAUCHE)

    La justice a toujours été politique ne serait-ce que parce tout comme la médecine elle a toujours été à deux vitesses : l’une pour les riches et en bonne santé l’autre pour les pauvres et malades.

    Ci-dessous vous trouverez une lettre récente de moi-même à notre Président actuel de la République. Vous y verrez les conséquences assez tristes pour moi de n’avoir jamais pu avoir les moyens financiers de me payer un avocat pour une affaire d’abus psychiatrique remontant à 2008 et laquelle toujours faute d’argent perdure toujours actuellement car sans celui-ci pas de justice.

    ABUS EN PSYCHIATRIE D’UN PROFESSEUR DE L’ASSISTANCE PUBLIQUE HÔPITAUX DE PARIS À MON ÉGARD EN 2008 TOUJOURS DEMEURÉS SANS RÉPONSE À MES DEMANDES D’EXPLICATIONS DE LA PART AUSSI BIEN DE CELUI-CI QUE DE LA DIRECTION DE L’APHP EN 2021 : LETTRE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPULIQUE SANS RÉPONSE À CE JOUR.

    PLUME DE SCHIZO DIT SCHIZO GUÉRI À MONSIEUR EMMANUEL MACRON PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE PALAIS DE L’ÉLYSÉE 75008 PARIS

    DEMANDE DE SANCTION DISCIPLINAIRE OU PÉNALE SI POSSIBLE AU SUJET D’UN PROFESSEUR EN PSYCHIATRIE APRÈS VÉRIFICATION DES FAITS PAR VOS SERVICES : JE N’AI JAMAIS PU ME PAYER UN AVOCAT À CE SUJET BIEN QUE JE SOIS DE LA CLASSE MOYENNE PRIVILÉGIÉE POUR MES IMPÔTS

    Monsieur le Président de la République,

    Je suis l’auteur […].

    Celui-ci a pour thème : […]

    Je certifie sur l’honneur qu’en rédigeant celui-ci […] j’ai toujours été sincère et de bonne foi et qu’en le publiant récemment sur […] je n’ai agi que pour le bien public en psychiatrie et le bien public en général.

    Le sujet pour lequel je me permets de m’adresser à vous aujourd’hui c’est un abus en psychiatrie dont vous trouverez le dossier complet dans […]. Un professeur en psychiatrie parisien a fait à mon égard à mon avis un certificat de complaisance pour me signaler en 2008 comme “désordonné, dangereux, délirant, mais sans persécuteur”, etc. auprès de l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris sans ne m’avoir jamais vu ni ne m’avoir jamais examiné pour cela. Je n’ai vu qu’une seule fois ce professeur en psychiatrie que vers 2015 pour que celui-ci m’adresse à l’un de ses confrères car le médecin chef du Centre médicopsychologique de son hôpital m’avait alors déclaré auparavant : “Le CMP ce n’est pas pour vous !” Mais il ne m’a en réalité alors trouvé personne. Quoi qu’il en soit en 2008 son hôpital m’a alors demandé mon avis de satisfaction au sujet des soins dans divers de ses services auxquels j’avais eu affaire depuis que je le fréquentais. De janvier 2008 à juillet 2008 j’ai alors répondu à ce sujet au directeur de cet hôpital par des courriers en nombre dont le thème était alors : “Je constate une dégradation des soins, des services, de la relation médecin malade, etc. aussi bien dans votre hôpital que dans tous les autres hôpitaux publics parisiens et cela depuis au moins 1981 !”, etc. Et c’est alors que le 17 juillet 2008 ce professeur a fait un certificat médical me signalant comme “désordonné, dangereux, délirant mais sans persécuteur”, etc. pour l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris. J’ai été ensuite convoqué deux fois à la demande de celle-ci au CMP dont je dépendais médicalement pour des examens psychiatriques. Je n‘ai pu obtenir une copie de mon dossier médical au sujet de ceux-ci qu’environ trois ans plus tard à la suite d’une plainte que j’avais alors déposée contre ce CMP par-devant le tribunal administratif. Pour cet abus je n’ai cessé de réclamer à ce professeur en psychiatrie les explications que je considère que je suis en droit de connaître et en particulier pourquoi ne m’a-t-il jamais convoqué avant de rédiger ce fameux signalement à mon avis mensonger. À la suite de ce problème (surtout pour ma femme : elle était tous les jours prise par des crises de panique croyant que la police allait venir me chercher chez nous et qu’ensuite les psys m’enfermeraient à vie) j’aurais dû normalement porter plainte pour demander réparation du pretium doloris que j’avais alors ainsi subi à tort mais surtout pour que le juge pose à ce malfrat des questions et me communique alors les explications enfin de celui-ci. Mais je ne l’ai pas fait alors pour différentes raisons dont les deux suivantes notamment : d’une part je n’ai jamais eu les moyens financiers de pouvoir me payer un avocat que je considère en réalité absolument nécessaire face à un adversaire qui n’hésitera pas bien sûr encore une fois alors à me mentir et d’autre part j‘ai toujours été aussi bien contre la justice qui tue que contre la justice qui punit. Le problème c’est que cela a alors permis à ce professeur de continuer à abuser de moi : je n’ai jamais eu ses explications que j’attendais de lui et il est certain que maintenant il y a prescription en justice au pénal pour cette affaire. En revanche à l’Ordre des médecins il n’y a jamais de prescription mais il me faut aussi un avocat car sinon tout sera permis à nouveau pour la partie adverse pour continuer alors à abuser de moi autant que faire se peut. Mais en aucun cas ma situation financière ne me permettra de payer cet avocat avant même au moins dix ans. Il résulte de cela que je n’ai aucune explication à recevoir de mon abuseur dans un avenir même très lointain. Cette triste affaire dont j’ai été victime de la part d’un psy vedettariat des médias m’inquiète d’autant plus qu’en réalité je ne suis pas le seul en France à être victime d’abus en psychiatrie et même y compris notamment de ce genre. Celle-ci à ma connaissance est d’une part depuis des dizaines d’années toujours actuellement la championne d’Europe pour ses condamnations par la Cour de justice européenne des droits de l’homme pour ses atteintes aux droits des psychiatrisés d’autre part depuis très récemment le seul pays au monde à être surveillé par l’ONU pour ses dérives en psychiatrie. Le nombre de caractères autorisés pour le contenu de mon texte que je peux déposer dans la fenêtre de votre site pour qu’on puisse vous écrire ne me permet pas de vous en dire plus ici actuellement au sujet de cette affaire. Si celle-ci retient votre attention je vous prie de bien vouloir me répondre à ce courriel par Internet dès que possible grâce à vos services concernés par le sujet de celui-ci. Nous pourrions alors avoir ainsi des échanges épistolaires où je pourrai vous en dire plus à propos de celle-ci. Je me tiens à la disposition de vos services pour toute expertise psychiatrique à mon sujet que ceux-ci décideraient éventuellement. Ma généraliste actuelle est Mme […] à […] laquelle n’a jamais été mise par moi au courant de cette affaire et ma psychiatre actuelle est Mme […] aussi à […] laquelle a été mise par moi au courant de cette affaire mais que très peu. En effet celle-ci a commencé en 2008 à […] et le contenu de mes entretiens avec ces deux dames n’a rien ou que peu à voir avec cette affaire. Quant aux raisons pour lesquelles aucun médicament psy ne m’est plus effectivement prescrit depuis fin janvier 2020 pour ma maladie psychiatrique d’autrefois prétendue à l’origine chronique jusqu’à même ma mort elles sont expliquées par moi dans […].

    Je vous demande : quelle sanction disciplinaire ou pénale après vérification des faits que je vous ai rapportés en résumé ci-dessus pouvez-vous prendre si possible à l’encontre de mon abuseur ?

    Soyez assuré, Monsieur le Président de la République, de mon profond respect.

    Le 6 décembre 2020,

    PLUME DE SCHIZO DIT SCHIZO GUÉRI

    P.-S. : […]

    JE CERTIFIE ÊTRE SINCÈRE ET DE BONNE FOI DANS MON MESSAGE CI-DESSUS POUR LES VISITEURS DU BLOG DE http://WWW.VUDUDROIT.COM. EN LE PUBLIANT SUR CELUI-CI JE CERTIFIE N’AGIR QUE POUR LE BIEN PUBLIC EN PSYCHIATRIE ET POUR LE BIEN PUBLIC EN GÉNÉRAL. IL EST LOISIBLE À LA DIRECTION DE L’APHP AUSSI BIEN DE RÉPONDRE CE QUI LUI CONVIENT AU SUJET DE CETTE AFFAIRE DANS LAQUELLE JE L’INCRIMINE QUE DE PORTER PLAINTE POUR DIFFAMATION À MON ENCONTRE SI CELLE-CI CONTESTE L’AUTHENTICITÉ DU CONTENU DE MON MESSAGE CI-DESSUS.

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