Je n’aime pas Nicolas Sarkozy comme homme politique et je ne suis pas garant de son honnêteté ou de sa morale. Ce que je sais c’est que depuis près de 20 ans la magistrature française lui voue une haine sans mélange. D’abord comme ministre de l’Intérieur puis président de la République. Cette aversion pour l’ancien président largement partagée dans les couches moyennes à exposé celui-ci à une vendetta judiciaire ininterrompue. Où la fin a toujours justifié les moyens, et en particulier la prise de liberté avec le respect du droit et des principes. La haute fonction publique judiciaire et en particulier la Cour de cassation a tout validé, Nicolas Sarkozy pouvant être considéré comme ayant fait évoluer la jurisprudence non comme président ou ministre mais comme prévenu. Et à chaque fois au détriment des libertés publiques. Parmi la collection d’affaires qui lui furent accrochées, il comparait le 5 décembre, devant la cour d’appel de Paris qui doit rejuger la fameuse affaire dite « des écoutes », ou autrement nommée « l’affaire Bismuth ». Avec cette « chasse au Sarkozy » justement dénoncé par le bâtonnier de Paris l’ancien président se trouve être encore aujourd’hui le symbole fort du dévoiement et de l’instrumentalisation de la justice pénale à des fins politiques.
(Je renvoie là aussi à la lecture de mon livre où j’ai décortiqué cette façon de procéder.)
C’est dans ces conditions qu’il fut mis en examen par raccroc dans la fameuse affaire Bettencourt par un juge d’instruction avide d’exposition médiatique et entretenant des rapports parfois très élastiques avec les règles de procédure ou le respect des principes. En violation de la Constitution, ce juge d’instruction avait saisi l’agenda du président de la République. Celui-ci, une fois l’ordonnance de non-lieu évidente rendue à son profit, avait saisi la Cour de cassation afin d’obtenir sa restitution.
Affaire Paul Bismuth, des écoutes, Azibert
C’est cette procédure qui va être à l’origine de l’offensive judiciaire la plus violente dirigée contre Nicolas Sarkozy.
Celui-ci, dans le cours de cette affaire, désireux de communiquer librement avec son avocat – et de faire ainsi usage d’une liberté fondamentale –, et persuadé, d’ailleurs à juste titre, d’être sur écoute, avait décidé d’utiliser un téléphone portable acheté sous le nom de Paul Bismuth. Précaution d’amateur, puisque quelques recoupements de bornage permettaient d’éventer la supercherie. Effectivement, les conversations entre l’ancien chef de l’État, leader de l’opposition politique, et son conseil faisaient l’objet d’écoutes judiciaires depuis plus de huit mois, dans le cadre d’une instruction concernant des soupçons d’un financement d’origine libyenne de la campagne présidentielle de 2007. Instruction diligentée par l’inévitable Serge Tournaire, qui collectionne les mises en examen de Nicolas Sarkozy et a procédé à la liquidation judiciaire du candidat Fillon en 2017. Utilisant ce qui fut qualifié par les juristes scandalisés d’écoutes de type « filets maillants dérivants », il eut accès aux échanges personnels, privés et professionnels de Sarkozy. Ceux qu’il avait tenus avec son avocat furent ainsi scrupuleusement enregistrés et transcrits pendant huit mois ! L’ancien président avait donc introduit devant la Cour de cassation une procédure pour obtenir la restitution de son agenda saisi – illégalement – dans l’affaire Bettencourt. La transcription d’une conversation fit soupçonner l’ex-Président d’avoir tenté d’obtenir des informations auprès de Gilbert Azibert, ancien premier avocat général près la Cour de cassation, sur cette procédure. En contrepartie, Nicolas Sarkozy se serait engagé à soutenir le magistrat à obtenir un poste à Monaco. Ça y était, on le tenait, et commença alors un rodéo judiciaire géant mobilisant toutes les ressources de la procédure pénale, avec deux juges d’instruction, Aude Buresi et Claire Thépaut, particulièrement pugnaces compte tenu du caractère monstrueux du crime. L’accusation de corruption apparaissait aux professionnels passablement farfelue lorsque l’on connaissait le fonctionnement de la Cour de cassation, que l’on savait qu’elle avait finalement refusé la restitution de l’agenda, et qu’enfin Gilbert Azibert, soucieux d’une fin de carrière ensoleillée à Monaco, n’avait pas été nommé au poste dont on disait qu’il le guignait, celui-ci étant déjà pourvu. Pas d’utilisation d’une prérogative juridique de l’ancien magistrat ni de contrepartie de la part de l’ancien président qui n’avait aucune compétence pour cela.
On assista cependant à un déploiement de moyens considérables. Les deux magistrates, les « deux dames » comme les appelait Sarkozy, n’ont pas chômé. Parmi bien d’autres institutions, elles ont ciblé les magistrats de la chambre criminelle. Probablement soucieuses de savoir si ceux-ci avait pu être approchés par Azibert, elles ont multiplié convocations et auditions, perquisitions, saisies d’ordinateurs, communication de fadettes et autres initiatives complètement disproportionnées. Ce zèle a créé, comme l’a rapporté le Canard Enchaîné avec gourmandise, une ambiance assez lourde au palais. On apprit à la lecture de l’hebdomadaire satirique que les magistrats auraient été cuisinés sur leur délibéré ayant abouti à leur décision de refus de restitution de l’agenda. Il est probable que les membres de la Cour de Cassation, se rappelant le texte de leur serment, ont dû être interloqués par la méthode : « Je jure de bien et fidèlement remplir mes fonctions, de garder religieusement le secret des délibérations et de me conduire en tout comme un digne et loyal magistrat ». Ils savent que c’est un principe constitutionnellement protégé et connaissent le rappel du Conseil d’État du 17 novembre 2012 : « le secret des délibérations dans les assemblées juridictionnelles est un principe général du droit public français; que ce principe a pour objet d’assurer l’indépendance des juges et l’autorité morale de leurs décisions; qu’il s’impose, dès lors, à toutes les juridictions ». Les « deux dames » le savent probablement aussi, mais quand il s’agit de Sarkozy, on n’allait pas s’arrêter à ce genre de détails.
Le bruit court que les auditions dans le bureau des juges d’instruction ont été marquées par un sévère refroidissement climatique. Et bien sûr les magistrats de la chambre criminelle ont refusé de trahir ce secret. Qu’à cela ne tienne, on raconte qu’elles auraient alors réclamé la copie du rapport du conseiller rapporteur. Il s’agit de la synthèse du dossier soumis à la juridiction présentée par un conseiller à la collégialité pour lui fournir les éléments du débat nécessaire au délibéré. Les juristes attentifs savent que le rapport fait partie de ce délibéré, et qu’il est donc soumis au secret. La question est tranchée depuis longtemps, à la fois par le Conseil Constitutionnel et par la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Mais puisqu’on nous disait qu’il s’agissait de Sarkozy ! Avec lui, le respect de la Constitution ne pouvait pas être au programme. On s’en tiendra à ces quelques exemples, toute l’instruction se passa en prenant moultes libertés avec le droit et avec les principes. Sous les regards bienveillants de la chambre d’instruction et de la Cour de cassation qui validèrent à peu près tout.
Trois ans de prison, dont un ferme
Toutes deux renvoyèrent la patate chaude au tribunal de Paris, lui laissant le soin de prendre la responsabilité de prononcer une relaxe que tous les observateurs pensaient inévitable. Ce fut également l’opinion des journalistes ayant assisté à l’audience, dont l’avis pouvait se résumer de la façon suivante : « lorsque l’on vise une cible de cette importance, il vaut mieux avoir de bonnes munitions ». À la surprise générale, fut prononcée le 1er mars 2021 une décision de culpabilité assortie de condamnations extrêmement lourdes, à base de prison ferme pour Nicolas Sarkozy et pour les autres protagonistes du dossier. Le tout sous les acclamations de ceux qui raffolent de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques et pour qui la détestation de l’ancien président relève du fanatisme. Pendant ce temps, des rumeurs insistantes racontaient une histoire un peu différente, selon laquelle la présidente du tribunal souhaitait prononcer la relaxe mais que les deux magistrates assesseurs étaient restées sur des positions militantes et s’y étaient opposées. Il s’agit là, n’est-ce pas, de calomnies et d’inventions auxquelles personne n’apportera le moindre crédit. Car ce serait croire à la politisation de la haute fonction publique judiciaire et cela chacun sait que ce n’est pas possible. L’impartialité y est évidemment une valeur cardinale…
Finalement, cette affaire témoigne du fait que Nicolas Sarkozy n’a jamais voulu soulever sérieusement la question du caractère politique de l’indiscutable acharnement judiciaire dont il a été l’objet durant toutes ces années. Il ne s’agit pas ici de se porter garant de la morale et de la probité personnelle de l’ancien président de la République, ni exprimer une quelconque sympathie politique à son endroit, totalement absente chez l’auteur de ces lignes. Mais de partir d’une réalité dont Sarkozy n’a pas tiré les conséquences au-delà de sa personne. Tout son parcours judiciaire depuis dix ans a pour caractéristique que les faits et le droit occupent une place secondaire dans le traitement de ses affaires, au profit de la recherche d’une revanche spectaculaire contre un personnage politiquement détesté. Cette situation est le symptôme d’une évolution qui a fait de la Justice française d’aujourd’hui un pouvoir politique autonome. La présidentielle de 2017, la mansuétude judiciaire dont bénéficient Emmanuel Macron et ses amis, la brutalité de la répression des mouvements sociaux, la porosité aux mouvements sociétaux minoritaires en sont autant d’expressions..
C’est dans ce cadre que Nicolas Sarkozy aurait dû mener le combat pour sa défense, plutôt que d’espérer on ne sait quel compromis avec ceux qui se vivent comme ses ennemis.
Il est possible qu’il le paye assez cher.
Constatation partagée par de nombreux autres hommes politiques. Que faire Maitre ? Ecraser les petits pois pour en faire de la farine ? Ou leur mettre les bœufs-carottes pour qu’ils mijotent à feu doux ? Pour paraphraser E. Zemmour, la légalité a pris le pas sur la légitimité (Cf. sa réflexion entre Pétain et De Gaulle).
Etant plutôt specialisé en finance et en economie je retiendrai de ce personnage qu’il a ouvert les vannes de la Dette sans limite, domaine dans lequel il a été suivi et depassé par ses successeurs.
Les anglo-saxons connaissent et usent abondamment de cette chaine qu’ils utilisent regulierement pour asservir les nations sans guerre.
La France, grâce à lui, est maintenant engagée dans cette voie sans issue….
De ce personnage je retiens avant tout son detectable acharnement à dégommer le Lybien, celui-là même qui avait déployé ses largesses à son encontre.
Il est assez étonnant qu’en France on regrette ce Lybien rançonneur et corrupteur,
qui a soutenue les ravisseurs de Françoise Claustre jusqu’à revirement sonnant et trébuchant; qui a fait sauter en plein vol un DC10 d’UTA ? Qui a déstabilisé tout ces voisins Tunisie, Egypte Tchad, … se gardant bien d’épargner l’Algérie.
La Lybie … c’est quoi ce pays de sable, et de scorpions, …
Aucune reconnaissance envers ceux qui leur ont découvert le tapis d’or sur lequel ils vivent dans le Feyzin. A ce demander pourquoi Konrad Killian s’est ou est sacrifié ?
Quant à Sarkosy, c’est la première toutounette de Georges Bush. Il était impossible de faire pire … hélas si, on a eu Hollande et maintenant Macron. Est-ce que cela explique l’acharnement judiciaire qui le poursuit … franchement je ne sais pas et vu que les oppositions qu’il a eu sont des super-toutounet c’est bien moins sur
De toutes les façons je ne pleure pas ce Lybien, … il aurait disparu un jour ou l’autre et la situation aurait été la même.
https://blogs.mediapart.fr/jean-max-sabatier/blog/030419/le-porc-le-loup-et-le-pingouin
Le ravisseur de Mme Claustre, c’était Hissen Habre, pas Kadhafi. Hissen Habre est ensuite passé aux français, a combattu Kadhafi et exécutè 30 000 opposants alors que son armée était encadré par l’armée française. Évidemment, le massacre des opposants n’a pas été rapporté par les journalistes français. Qui a envie de tirer ce fil qui mène de Mme Claustre à Mitterrand en passant par 30 000 morts?
Pierre Péan ?
Vous ne savez pas lire ?
Voilà ce que j’ai écris …
« Il est assez étonnant qu’en France on regrette ce Lybien rançonneur et corrupteur, qui a soutenue les ravisseurs de Françoise Claustre jusqu’à revirement sonnant et trébuchant ».
Le rapt de Mme Claustre ce n’est pas sous Mitterand.
Si vous regrettez Kadhafi c’est votre droit. Moi pas, et je ne suis pas de ceux qui soutiendra la politique de Mitterrand pour autant. Un arsouille d’après De Gaulle, ce qui veut bien dire ce que cela veut dire.
Si on prend la peine de connaitre l’histoire de la Libye on ne peut que voir en Kadhafi un grand de ce monde . Depuis la première guerre mondiale l’Italie , la France , l’Allemagne, les Etats Unis se sont disputé le territoire et ses richesses . En 1969, Kadhafi qui a pris le pouvoir a mis tout le monde dehors puis enrichi , modernisé et rendu l’indépendance à la Libye. Les pays cités plus haut ne lui on jamais pardonné.
Sauf que, quand l’indépendance de la Libye, consiste a déstabiliser ses voisins, à chercher à unifier une cause « arabe » pour une nouvelle croisade contre l’Europe, à utiliser l’agitation islamique, à soutenir des actes de terrorisme international contre des civils de nationalité occidental pour le plus grand nombre (et les rechercher particulièrement), … il ne faut pas s’étonner qu’on lui foute sur la gueule.
De mémoire, même si c’est la France qui lui a découvert son pétrole (Cf l’histoire de Conrad Killian et l’histoire de la division Leclerc, futur 2ièmeDB), quand il a commencé à foutre sa merde, De Gaulle n’a pas hésité à lui couper un contrat pourtant « mirifique » de vente de 110 mirage III.
Donc je n’arrive pas à regretter Kadhafi qui bien plus qu’Assad ou Hussein est l’un des leaders arabes à avoir joué aussi de l’Islamisme pour foutre son merdier.
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En total désaccord avec ce billet. La question de la validité des écoutes est sans doute complexe sur le plan juridique (elle ira jusqu’à la cour européenne des Droits de l’Homme) mais en l’état cette écoute est validée. Par ailleurs, Maître de Castelnau passe par pertes et profits le fait que la preuve est faite que Sarkozy a tenté d’influencer la cour de cassation en promettant un poste à un magistrat. Plutôt que d’y voir le signe que la magistrature n’aime pas Sarkozy, je constate simplement que la Justice n’hésite pas à enquêter sur un ancien chef de l’Etat, jouant par-là son rôle de contre-pouvoir conforme aux intérêts de l’Etat de droit et de la démocratie. Tous les hommes politiques savent qu’ils sont exposés à un risque judiciaire et çà me paraît une bonne chose.
Une bonne chose si le syndicat du crime, pardon, de la Magistrature, n’avait pas fait main basse sur les tenants et les aboutissants de notre justice en lui conférant une sorte de balance idéologique (par le biais d’une sociologie progressiste) par le glaive de ses sentences. Peu importe ce qu’a fait Sarkozy, notre « belle » justice est maintenant devenue partielle et partial, elle n’obéit plus qu’à elle-même, et dans ce microcosme marécageux en toges, il y a belle lurette que le respect des lois stricto-sensu a été détourné au profit des tables de la loi d’un nouvel ordre brun intouchable soumis aux injonctions cachées d’un plus grand et presque sans limite : je veux parler bien entendu, du nouvel ordre mondial.
Le syndicat de la magistrature ? Vous rigolez… À Marseille ses membres se comptent sur les doigts d’une main. Littéralement. Ça ne doit pas être très différent ailleurs. Quitte à invoquer l’influence de puissances occultes allez chercher ailleurs.
Les doigts d’une main … le problème, c’est que c’est celle qui tient le glaive avec lequel elle poignarde et assassine politiquement et juridiquement dans le dos ce qui reste de la civilisation Française. Le gouvernement des juges est bien un signe que notre « démocratie » est gouvernée par des forces occultes, rampantes et que l’impartialité et la droiture à fait place à une dérive idéologique qui s’est emparée sournoisement de tous les leviers de notre société (médias, presses, institutions Françaises, etc.). La naïveté, pour ne pas dire autre chose, est toujours confondante quand elle exprimée par des observateurs puérils qui ne jugent que par l’apparence des choses avec un angélisme sans foi masquant une bêtise crasse qui est révélatrice de l’abrutissement collectif qui s’est instillé au fil du temps. Les « forces du bien » ont hélas pris la main dans tous les domaines comme le poison s’écoule dans les veines du grand corps malade Français et laisse percevoir ses derniers instincts de conservation vitaux avant la mort programmée de celui-ci.
Appellera-t’on un jour les choses par leur nom et cette dérive de l’institution ne risque-t’elle pas de finir par faire évoluer le nom de cette corporation vers celui de « magistraclure »?
Depuis toujours, les partis de droite, du centre, et le PS jouissent de confortables moyens financiers, tandis que les partis de gauche en ont très peu.
De temps en temps, un scandale éclate. Si le FN, PC ou LFI est accusé, il s’agit de petits détournements permettant à une poignée de permanents du parti d’avoir un salaire en abus de bien social et les journalistes en parlent beaucoup avec l’aide de la justice.
Si c’est les partis de gouvernement qui sont impliqués, le scandale porte sur des sommes monstrueuses provenant des patrons (UIMM), d’entreprises publiques (ELF), de marchés publics (URBA) ou de financement étranger (Libye, francafrique, rétrocommissions). Mais on ne retrouve jamais l’argent, les pistes se brouillent et les rares coupables se taisent avant de retrouver un poste très bien payé.
La justice a choisi son camp depuis toujours. En vérité, je vous le dit, rien de nouveau sous le soleil.
Il y une chanson dans le même genré
Mais colle bien il y a la classe genre Christophe , « les mots bleus »
Curieusement mort du covid, hors il ne sortais que la nuit SEUL dans les rues, certes avec sont alcoolisme.Un syndrome de j’écrirais ma mort
Satie la fait avec la chatte au yeux bleus d’où les gnoses
Mais cette merde qui dit la même chose
https://www.youtube.com/watch?v=DHszVIYdESM
Hors s’est un homo sapien peut être que l’homo sapien était Homo
Homo me renvoi à l’eau bénite zam zam .et bien plus
L’hypocrite
Rassurez vous je vais voir un psy pour réinitialiser mon programme , donc au cas où on se perd , voir que le cerveau disparaît dans les oubliettes transgenre dit de l’histoire.
Question dans cette affaire de Narkoze
S’est toujours la condamnation avec sursis ils sont tous condamné avec sursis.
Le sursis est une relaxe, même pas un bracelet électronique.
Donc pas de peine .
Hors Narkoze est multi récidiviste. Il devrait en prendre pour 20 ans pour haute trahison de l’etat ; Macron aussi d’ailleurs.
De toute façon la justice n’est pas une obédience à croire.
Rassurez vous je vais voir un psy pour réinitialiser mon programme , donc au cas où on se perd , voir que le cerveau disparaît dans les oubliettes transgenre dit de l’histoire.
Il fut une époque , avant la com.2.007 de bond
Juste des pamphlets et encore fallait il que le peuple puisse lire pour amorcer une opinion publique.
Mata hari ; Alfred Dreyfus dans un autre genre
S’était fusillé à l’aube.
Mourir à l’aube à la rosée du matin est salvateur pour une âme.
On appel cela un sacrifice pour perfuser le mort visant dans sa réalité.
Rassurez vous je vais voir un psy pour réinitialiser mon programme , donc au cas où on se perd , voir que le cerveau disparaît dans les oubliettes transgenres dit de l’histoire.
Une zap
https://www.youtube.com/watch?v=cF3HfnBDgQg
Pbs du nain aux Rolex négrier pour l’oligarchie ? Rien à foutre.
Si vous voulez concurrencer le merdia wokotanien sur le carnaval des tatoués faudrait 1 où 2 vidéos par jour. Et pas foutre des vidéos en anglais de gamins par facilité (veille stratégique).
«L’IMMIGRATION fait baisser ainsi les salaires, et dégrade la condition morale et matérielle de la classe ouvrière […] une classe ouvrière divisée en deux camps hostiles, les prolétaires anglais et les prolétaires irlandais [imaginez avec musulmans/chrétiens] Le SECRET de l’impuissance de la classe ouvrière anglaise [souchienne], en dépit de son organisation […] grâce auquel la classe CAPITALISTE maintient son pouvoir. Et cette classe [Soros] en est parfaitement consciente »
MARX, lettre à Meyer et Vogt, 1870
Georges Kuzmanovic fut un des porte-paroles de Mélenchon pendant la campagne de 2017.
Dans LFI, Kuzmanovic était sur une ligne sociale et souverainiste. Mais, il a quitté LFI en 2018 en constatant la dérive de ce mouvement qui « oubliait » les classes populaires et le souverainisme pour se « brancher » quasi uniquement sur le sociétal, le gauchisme culturel, ce qui plait à une certaine bourgeoisie (les bobos).
Intéressante interview de Kuzmanovic dans « Figaro Vox ».
Il constate que le fonctionnement de LFI n’a jamais été démocratique.
Il pense que si François Ruffin est mis « sur la touche », c’est parce qu’il incarne la ligne sociale et souverainiste.
En revanche, concernant Clémentine Autain, les raisons ne sont pas les mêmes. Cette dernière a toujours été une fan du gauchisme culturel, même quand Mélenchon semblait ne pas être sur cette ligne. Mais, elle manifeste une ambition personnelle, ce qui déplait aux mélenchoniens.
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/georges-kuzmanovic-le-fonctionnement-de-la-france-insoumise-n-a-jamais-ete-democratique-20221213
Excellente analyse comme d’hab.
« Une justice politique » le fantastique pavé (environ 600 pages) de Me CASTELNAU explique tout cela en détail. Neutre, méthodique, documenté : un travail d’historien. Des noms, des faits, des dates, des lieux, combinés à une expertise incontestable et une rare honnêteté intellectuelle. Pas le charabia décousu de certains des commentaires ci dessus. Complètement hors-sujet. De la logorrhée graphique sans intérêt.
Eric Branca dans « l’ami américain » explique comment NS a demandé l’aide des américains pour son élections en 2007… on comprend ensuite le retour dans le commandement intégré de l’OTAN…
« C’est dans ce cadre que Nicolas Sarkozy aurait dû mener le combat pour sa défense, plutôt que d’espérer on ne sait quel compromis avec ceux qui se vivent comme ses ennemis ». Exact. Il l’a fait avec son avocat (je crois ?) sans succès, maintenant il défend sa cause lui même. « Croire en la justice de son pays » est une belle phrase mais pas un bon plan. Il est mal barré ! Les juges rouges font ce qu’ils reprochent à leur actuel ministre de tutelle : ils abusent de leur pouvoir pour une vendetta. Pauvre France.
Pincé par les crabes de son panier, harcelé par des meutes de magistrats bavant de haine hystérique, quand il aura épuisé tous ses recours il demandera l’asile politique en Italie !!!
Affaire des écoutes : le combat politique par juges interposés
Une zap pour Narkoze
https://www.youtube.com/watch?v=Jn9NowV7Q_8
Test
encore bravo pour votre pertinence maître
juste une petite question
la suppressions du crime de haute trahison de la constituons de la 5e ripoublique peut être retenue de fait comme un crime de haute trahison contre son auteur
donc quelles sont les raisons retenant la magistrature d inculper sarko pour ce crime commis et récidivé par l affaire de la ratification de la constituons européenne contre l avis du peuple exprimé lors du référendum de 2005
ce jugement pourra éventuellement s appliquer aux 2 successeurs ayant eux aussi commis ce crime en se gardant bien de le rétablir dans la constitution
je vous sais gré d avance pour votre réponse maître
Un avis ? l’erreur de Me De Castelnau est de vouloir à tout prix « croiser le fer » avec un tel ou une telle. Prendre de la hauteur permet de comprendre ce que je tente d’expliquer: Sarkozy est indéfendable, car toutes ses actions politiques, médiatiques et judiciaires cachent une réalité, dont quelques personnes se sont rendu compte: il ne « roule » que pour lui et pour son « clan ». Le Droit ? d’après vous, qu’est-ce qu’il en pense ?
DE PLUS, et je le connais personnellement depuis 51 ans, son état de santé (bien caché) est INCOMPATIBLE avec des fonctions de simple magistrat comme celles d’un maire, et encore moins des fonctions ministérielles ou présidentielles. Il souffre depuis toujours et pour toujours des séquelles d’une syphilis congénitale, bien qu’elle ait été traitée rapidement à la pénicilline G (source? son père qui va en causer franchement avec ses amis légionnaires).
Je vous donne un aperçu du tableau clinique: (pour mieux comprendre, comparer avec ses deux frères) modification de la croissance, d’où un physique particulier; un symptôme connu: l’effondrement de la selle du nez – il déteste les photos de profit, prétextant un « nez juif » que personne d’autre n’a dans la famille-; médiocrité scolaire car difficultés d’apprentissage; le tréponème pale s’attaquant aux cellules nerveuses: troubles neuro-végétatifs (sueurs, tics, nervosité excessive, aujourd’hui contenus partiellement grâce à des correcteurs et inévitablement à la toxine botulique), troubles neurologiques (son pseudo-malaise vagal du 26 juillet 2009 à la lanterne était en fait un coma neurologique puisqu’il a fait une crise de convulsions, dixit Balkany le soir même, et bien sûr infirmé par l’Élysée) et un mental particulier (hypermnésie sélective, acharnement maladif sur un quelconque objet de sa haine ou son ressentiment – j’en parle en connaissance de cause-, quête du pouvoir absolu à son seul profit).
Je sais que je vais être « modéré »; logique; j’ai écrit ces quelques lignes pour que vous les mettiez de côté dans vos notes, et je vous invite à retenir mon nom: Pascal Petit; en avril 1972, dans le centre équestre où j’avais été chargé de m’occuper pour lui d’une « reprise », je me suis insolemment moqué de lui devant son père, et j’ai attiré de sa part un index rageur et un regard NOIR comme vous ne pouvez imaginer, accompagné d’un prophétique « TOI, J’TE RETROUVERAI ». Et il m’a retrouvé…sitôt Place Beauvau, il m’est tombé dessus d’une manière aussi puissante que délirante: aidé d’un certain Squarcini et de quelques autres de cet acabit… il a essayé et essaye encore de me faire passer pour un tueur en série, un violeur d’enfants, responsable majeur dans « l’ affaire des disparus de L’Isère ». Il s’est heurté, et se heurtera toujours à ce simple principe de réalité: UN CRIMINEL, ÇA NE S’INVENTE PAS ». Par contre, il ne peut pas s’arrêter de lui-même, et il a gardé beaucoup, beaucoup de pouvoirs.. de nuisance. Je suis, encore, dans la panade.
Pour illustrer comment son délire l’emporte sur sa raison, je vous invite à compulser les quelques informations sur son « off », au Portugal, en Novembre 2010: en fait, il était en pleine »opération spéciale », ici, à Vinay, et son emportement contre un journaliste, pris au hasard, s’explique par l’obsession de réussir son coup, mise à mal par le fait qu’il n’arrivait à rien.
De plus, déçu de ne pas avoir pu profiter de l’affaire d’Outreau (pour imposer sa réforme du « Juge de l’Instruction »), il a, ici, en Isère, une double arrière pensée politique: se « taper la gueule de Vallini’ et accuser la Police Judiciaire de ne part avoir fait son travail (et c’est pas par manque d' »enquêtes préliminaires » me concernant), afin de s’en servir avec Darmanin, Dupont-Moretti et Macron pour faire passer la loi de réforme de la PJ.
Une preuve qui ne trompe pas dans cette volonté de créer un scandale pour en profiter politiquement: le cabinet Saban, qui regroupe la défense groupée des familles des « Disparus de l’Isère » et qui assène toujours, à contre courant de la réalité des instructions encore en cours, qu’il n’y a qu’un seul responsable pour ces affaires, vient d’embaucher un ancien « gendarme spécialisé » pour reprendre l’affaire et enfin… « enquêter » (France Info, samedi 21 janvier 2023).
Juste pour dire: la Gendarmerie Criminelle avait en 2008 des preuves flagrantes contre le responsable maintenant reconnu d’un double meurtre à Voreppe; il a fallu attendre le printemps 2013 pour que la Gendarmerie l’arrête, lors d’un banal contrôle routier. C’est malheureux à dire: les militaires ont dû la fermer.
Bien qu’il ait quitté toutes fonctions officielles en 2012, le fait même que la DCRI de Squarcini se soit lancé dans cette « opération spéciale » permet encore à Sarkozy de mener sa barque; tout le monde le laisse faire, soit par connivence, soit par volonté de ne pas s’attirer les foudres d’un tel personnage (un certain Juppé a compris en 2017 qu’il valait mieux se retirer; il a même osé prétexter un « climat délétère », alors qu’en fait…). Sarkozy a des affidés partout, et, il le dit lui-même, est adepte du « coup de pouce »…aujourd’hui, la DGSI est encore censée mener le « chantier » au bout.
Il y a de quoi écrire un livre sur mon histoire et sur la façon dont Sarkozy a fait de ma vie un enfer; j’y conterai l’attitude de la Police, de la Gendarmerie (je suis sur des fichiers criminels où je n’ai pas lieu d’être…imaginez ma vie!), la façon dont mon voisinage, ma famille, mon milieu professionnel ont été abordés à seules fins de manipulation, ragots et commérages en tête, la façon dont le secret-défense a été utilisé pour des actes démentiels (utilisation d’enfants -vivants- pour fabriquer des faux flagrants délits en 2010; utilisation d’une arme spéciale achetée en 2010 en Israël qui, provoquant une crise d’épilepsie, permet d’obtenir n’importe quel aveu)…je sais que ces assertions sont incroyables : la déclassification de mon dossier doit s’imposer.
Et j’ai l’intime conviction que « mon ami » Sarkozy aurait aimé salir à travers cette histoire deux de ses ennemis personnels que j’ai côtoyé succinctement dans le centre bouddhiste de Montchardon, sur la commune voisine d’Izeron : le député
Massoubre (décédé en 2016) et Françoise Meyers-Bettencourt (qui a offert généreusement 1 million de francs en 1993 pour que le centre puisse emprunter auprès des banques pour construire le premier temple de ce site).
Il se peut qu’un jour j’ai besoin de défenseurs assez courageux pour se heurter à ce personnage, à son entourage et aux médias aux ordres: il y en a, j’ai confiance.
Il se peut aussi que, si le SCANDALE D’ÉTAT éclate, à terme, soit votée une loi IMPOSANT un avis médical et psychiatrique pour toute personne voulant devenir présidente ou président de la République, ministre de l’intérieur, des armées, ou maire d’une ville comportant une Police Municipale.
Je vous invite à garder ce texte que vous allez censurer, il pourra peut-être resservir.