François Bayrou est très fort. Il se fout de tout, dit n’importe quoi, fait n’importe quoi et ça a toujours été comme ça.
Interpellé à l’assemblée sur son grotesque voyage à Pau au moment où l’État devrait se mobiliser pour la tragédie de Mayotte, il répond : « Il n’est pas d’usage que le Premier ministre et le Président de la République quittent en même temps le territoire national ».
Pardon ? Mayotte est un département français ! Mais pour Bayrou ça n’est pas le territoire national. Parce que Mayotte est essentiellement habité par des noirs musulmans ? C’est ça ?
Et c’est devant un imbécile de ce calibre que le faux dur de l’Élysée s’est couché.
J’ai la prétention de très bien connaître Mayotte. Je m’y suis rendu à de très nombreuses fois, pour des périodes parfois longues. J’y ai encore beaucoup d’amis
J’ai vu ce qui a suivi le changement de statut et le passage institutionnel de ce territoire très particulier en département (ce qui n’était pas nécessairement une bonne idée). Dans un premier temps on a assisté à toute une série de transformations spectaculaires. Que l’on pouvait considérer comme autant de progrès. Le problème c’est que dans les 10 ans qui ont suivi cette première phase, du fait d’une immigration incontrôlable, la population a triplé installant un chaos indescriptible. Et le département est devenu invivable. En métropole, les belles âmes, armées de leur ignorance, étaient comme d’habitude à chaque fois vent debout contre des mesures qui étaient de simple bon sens.
La catastrophe cyclonique qui vient de tomber sur Mayotte est plus qu’exceptionnelle. Ce n’est pas habituellement une zone cyclonique, ce n’est pas la période cyclonique de l’ouest de l’Océan Indien, la probabilité que l’œil passe sur cette petite île était plus qu’infinitésimale. Et de toute façon même si l’on avait prévu, cela n’aurait pas changé grand-chose dans un territoire dont l’État n’avait plus de contrôle depuis longtemps.
Ce que payent les Comoriens (surtout anjouanais) qui sont les victimes les plus exposées, est le fruit d’un envahissement matériellement insupportable (pas de morale là-dedans) et une démission/impuissance/abandon de l’État.
Au fond, cette tragédie est un symptôme de plus de la décomposition accélérée de l’État français. Comme l’est la nomination du ridicule François Bayrou au poste de Premier ministre.
Dans toute tragédie, la catastrophe doit aller à son terme. Mayotte n’étant pas en métropole, il sera possible de gazer (au sens de poser un voile pudique dessus) la catastrophe pour éviter de trop en parler.
Le résultat est que malheureusement la France va encore beaucoup souffrir avant de reconnaître la faillite de notre classe politique. Même si Bayrou a un certain potentiel pour accélérer la compréhension.
« Dans un premier temps on a assisté à toute une série de transformations spectaculaires »
Pouvez-vous nous en dire plus ?
Elle a bon dos « l’immigration » !
Ne pourriez-vous pas plus justement parler de « pauvreté » ?
=====================
selon wiki,
Mayotte devient département et région d’outre-mer en 2009.
Selon un rapport de l’INSEE publié en 2018, 77 % de la population vit sous le seuil de pauvreté national.
40 % des résidences principales sont des cases en tôle.
29 % de ménages mahorais qui n’ont pas l’eau courante.
66 % des 15–64 ans sont sans emploi.
Le taux de pauvreté défini par ce même rapport est de 84 %. [en contradiction avec quelques lignes plus haut(RV)]
Le niveau de vie médian des habitants de Mayotte est sept fois plus faible qu’au niveau national
Les cyclones tropicaux, accrus tout au long de leur parcours par la chaleur échangée avec les eaux maritimes de surface chaudes, sont assez rares à Mayotte, protégée par Madagascar. Cependant, il arrive parfois que certaines dépressions parviennent à contourner l’île-continent, et elles peuvent alors dévaster végétation et habitations ; ainsi, les cyclones de 1819, 1829 (avec l’effondrement du mont Kwale),
1836, 1858, 1864, 1898 (deux fois),
1920, 1934, 1950, 1962, 1975, 1978,
d’avril 1984 (Kamisy, qui dévaste l’île)
de janvier 1987 ont presque rasé l’île et fait des centaines de victimes
Depuis 35 ans que je me balade dans cette partie de l’océan Indien j’ai une expérience de pas mal de cyclones. En cette saison avec cette violence, c’est rarissime.
Quand je dis qu’après le passage au statut de département il y avait eu quelques investissements et des réformes importantes (judiciaire avec la fin de la justice cadiale, fin de la polygamie, établissement d’un État civil et d’un cadastre, équipements publics) et cela me semblait sans illusion bien sûr partir dans la bonne direction. L’incapacité à maîtriser l’immigration a tout foutu en l’air, l’archipel est devenu invivable.
La question est-elle bien de savoir à quel moment historiquement les cyclones se déclenchent dans cette région ou bien, sachant qu’ils sont récurrents, développer, comme à Cuba par exemple, une prévention digne de ce nom ?
J’étais à Mayotte en responsabilité de la sécurité de 1995 à 1997… Cette tragédie n’est pas « un symptôme de plus de la décomposition accélérée de l’État français »… mais le résultat d’une maladie chronique… entre lâcheté et abandon de la souveraineté… Bon courage aux Mahorais de souche. Les autres doivent rejoindre d’urgence leurs pays d’origine et la France doit s’en donner les moyens outre ceux de la reconstruction qui, sans cela, ne servira à rien… Georges Albert
On a dû se croiser, mon premier voyage date de 1997… à l’époque Ida Nel régnait sur l’archipel. J’étais l’avocat de Gamil Kakal.
Il est bon de faire observer que la « départementalisation » de Mayotte n’a pas été une bonne idée.
Il ne faut pas relier ce fait avec le fait que la maternité de Mayotte est une des plus importantes, avec un taux de naissance d e5 enfant par femme. Et il est de bon ton d’oublier ce que tout le monde sait, à savoir que plus des 3/4 des naissances sont de mère immigrée clandestinement.
Il s’ensuit que du fait de cet afflux permanent, constant depuis des années, de migrantes enceintes venant accoucher à Mayotte la démographie de l’île a explosé.
Cette surpopulation qui a été provoquée et entretenue par une mauvaise décision politique et administrative, fait que l’île ne peut supporter cette saturation sur son sol.
Plus de 40% des résidences principales relèvent du « bidonville », car ces migrants n’ont aucun moyen de subsistance autre que l’aide publique française.
Non, on ne peut pas se limiter à parler de « pauvreté », c’est bien une inacceptable migration massive de personnes sans ressources qui crée cette pauvreté.
C’est eux qui détruisent inexorablement la situation économique d’une île dont la population d’origine est laminée.
Ajoutons qu’au moment de s’abriter « en dur » comme ces migrants ont refusé de peur d’être identifiés et éventuellement renvoyés ensuite dans leur pays d’origine, ils ont attendu « dehors » jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour échapper aux funestes conséquences de la tempête.
Toute mort est un drame. Toute mort est une perte. Quelle que soit la personne concernée. Mais dans ce cas précis, on sait parfaitement et depuis longtemps qu’avec autant de migrants sans abri réel c’est inévitable. Ils le savent avant de venir, et ils viennent… Forcément, quand la nature frappe, il y a des morts.
Si on ne fait rien contre l’immigration, légale ou pas, en France (métropolitaine) et en Guyane notamment, on court à la catastrophe surtout avec notre classe politique actuelle; Macron va encore à Mayotte demain; il n’y a jamais été? Vous connaissez la réponse! Et que va-t-il dire? Rien!
Encore faudrait-il que la marine Française patrouille aux bons endroits pour protéger nos territoires, au lieu de naviguer au service des intérêts US en bombant le torse, notamment en mer de Chine…..
A propos de décomposition nationale. Là où ça fait le plus mal: l’institution judiciaire( on n’ose dire « justice ».
Sont jugés aujourd’hui à Châteauroux , des Thénardier 2.0, immondes salopards qui ont, en reseaux, maltraité et exploité des enfants qui leur avaient été confié par l’ASE..alors qu’ils n’avaient aucun agrément.
Les salops vont être punis.
Mais personne de l’ASE n’est inquiété. Personne.
A ça, le juge répond que ce ne sont pas les gens de l’ASE qui ont maltraité les enfants.
A Nuremberg, un juge aurait pu dire que c’était ni Heydrich ni Himmler qui avait fourré eux même des enfants dans les chambres à gaz .
Il n’y a pas que les premiers ministres qui sont des imbéciles.
Ridicule, Castelnau prétend connaître tellement bien Mayotte qu’il confond Mahorais et Comoriens.
Rappelons que les Anjouanais dont il parle ne peuvent pas être les victimes d’un envahissement insupportable et d’une démission de l’état puisque ce sont justement eux, habitants de l’archipel indépendant des Comores, qui émigrent dans le département français de Mayotte.
Castelnau est peut-être plus habile quand il recopie la propagande russe. Là, il n’y avait personne pour le renseigner.
Non mais quel crétin ! Il se précipite pour faire le malin et il se prend une tôle. Je parle des immigrés Anjouanais et Comoriens qui ont envahi ce territoire en le faisant passer de 120 000 à 350 000 habitants (à peu près). Et qui ne sont pas des Mahorais. Mansour Kamardine le député LR est mon ami. Pour ne citer que lui. J’ai dû aller au moins une vingtaine de fois à Mayotte, car voyez-vous j’ai pas mal travaillé dans la zone à partir de la Réunion. Mayotte, Madagascar, Maurice j’y ai mes habitudes. D’ailleurs je pars le 27 décembre prochain passer un mois dans ma résidence de Saint-Gilles les bains. Eh oui c’est comme ça… Quant à l’abandon de l’État, il est précisément celui des Mahorais que l’on n’a pas protégés contre cette invasion et ses conséquences. Bon là je précise pour les lecteurs qui n’ont pas le Q.I. de cet imbécile, lui il est irrécupérable.
Faut faire gaffe mon gars, quand on jette de la merde en l’air, de ne pas la prendre sur la figure. Allez donc vous nettoyer vous en avez plein la gueule. Et ça pue pas mal. Et puis s’il vous plaît arrêter d’étaler votre bêtise, ça rend la lecture des commentaires pénible. Ne me contraignez pas à vous virer.
« Ce que payent les Comoriens, surtout les Anjouanais, qui sont les victimes les plus exposées, est le fruit d’un envahissement matériellement insupportable[…] et d’une démission de l’état »
Faut vous relire mon vieux, ça n’a aucun sens
Ils sont les victimes les plus exposées SUR LE TERRITOIRE DE MAYOTTE. N’importe quel imbécile comprend très bien le sens de la phrase. Mais stupide comme vous êtes, vous n’êtes pas équipé.
Bayrou a Raison : afin d’assurer la continuité de État, Président et 1er ministre ne doivent pas risquer de disparaître ensemble. De la même manière des ministres en plein exercise, s’ils sont nombreux à quitter le territoire doivent voyager par moitié
dans deux avions différents
Sarkozy avait décidé un jour où il était en panne d’idée de transformer Mayotte en
département, sans demander l’avis à personne. On devrait l’y envoyer passer son année de port du bracelet judiciaire pour lequel il vient d’être condamné. On devrait
l’y laisser 5 ans de plus pour nous avoir fait le coup de Lisbonne !
…/… Ils sont impuissants, comme nous tous, face à la violence arbitraire de la nature, mais aussi parce qu’ils ont renoncé avant le cyclone à empêcher que cet archipel ne se transforme en gigantesque bidonville. Une réalité terrible, où tout s’écroule, répond aux discours généreux de la gauche digicode, qui, à des milliers de kilomètres de là, disserte sur les vertus de l’accueil. Une société déjà embolisée par une population impossible à accueillir dignement …/…
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/l-editorial-de-vincent-tremolet-de-villers-gouvernement-mayotte-petits-debats-et-grand-malheur-20241217
Réservé aux abonnés.
oui, l’extrait reproduit lui est tout public, je ne suis pas abonné au Figaro . . .
Je ne peux pas le lire.
Je confirme. Je ne peux pas le lire.
Pour continuer à s’assurer un certain train de vie dans les régions centrale, la caste au pouvoir abandonne les uns après les autres les territoires périphérique qu’elle a ruiné par la tonte fiscale, l’absence d’investissement et le total désintérêt à régler les problème.
Le sort de l’Outremer préfigure celui de toutes les autres régions. De la Creuse aux banlieues, l’Etat n’est là que pour liquider l’actif accumuler depuis des siècle pour permettre à une toujours plus petite minorité de continuer de partir en vacances (le but ultime de leur vie de rentier), et ferme les yeux sur les problèmes de toutes sorte, dont l’immigration, pour ne pas avoir à travailler.
Et le problème va bien au delà de la classe purement politique.
Au moins toute la classe sociale des bourgeois, petits et grands, les boomers, chacun à son niveau, joue à faire le chef, et refuse de l’être, veut bien le salaire d’un chef mais surtout pas gérer les problèmes
Leur devise est « Les honneurs oui ! les responsabilités non ! Se servir oui ! Servir à quelque chose non ! »
L’empire Romain finissant a fait de même. Abandonnant cyniquement aux barbares des territoires entiers conquis pourtant des siècles auparavant.
En Grande Bretagne, l’évacuation des légions au tout début du Ve siècle a provoqué un recul civilisationnel majeur.
Les villes et l’écriture ont disparu, mais aussi la poterie. Parce que dans un empire mondialisé, il était plus rentable d’importer de la poterie de l’autre bout de l’empire que de la produire sur place. Mais quand cette mondialisation s’effondre, que les flux commerciaux s’interrompent, il n’y a plus rien sur place
Tout cela a été théorisé par le penseur Ibn Khaldun, et vous pouvez consulter à se sujet les livres et conférence de Gabriel Marquez-Gros et de Bruno Dumezil
Pour l’article du Figaro, je ne peux pas le lire non plus.
Excusez-moi pour mes nombreux messages, j’ai un problème de mise à jour sur macbook. J’arrête.
Une prise de position d’Antoine Manessis sur son blog NBH :
…/… Rappelons-nous tout de même qu’en 1974, la France a arraché Mayotte à l’archipel des Comores, contre tout respect du droit international, pour assurer ses intérêts stratégiques dans la région. Or, les peuples ont toujours circulé librement entre ces îles. Ce sont tous des Comoriens. C’est l’impérialisme français qui a fabriqué « les « gentils Mahorais » et les « méchants Comoriens » qui ont le culot de risquer leur vie croyant échapper à la misère, qui viennent « pondre leurs rejetons » par milliers sur « nos terres ». Désolé, mesdames et messieurs les politiciens et les journalistes suivistes, les Mahorais sont d’abord des Comoriens. » comme le dit dans L’Humanité un excellent article l’historien Alain Ruscio (10 juin 2023). …/…
Le résultat au référendum d’indépendance montre une différence très nette entre Mahorais et Comorien
Et manifestement, les comoriens regrettent leur vote. Ils font un autre référendum avec leurs pieds
lu sur « contre-attaque »
…/… la Constitution de la Cinquième République permet des dérogations qui instituent une différenciation entre les citoyens mahorais et les métropolitains. Il n’y a ainsi ni salaire minimum, ni aide au logement, ni aide médicale d’urgence. Dans ce département le plus pauvre de France, 3 Mahorais sur 4 vivent sous le seuil de pauvreté, 40% des habitations sont faites de tôle.
…/… depuis des années déjà, les habitants de Mayotte subissent des coupures d’eau potable et d’électricité, alors que le territoire est administré par la France, l’un des pays les plus riches du monde. Pourtant, depuis deux ans, nos dirigeants ont préféré dépenser des dizaines de millions d’euros dans une opération «Wuambushu» – «reconquête» en français – qui consiste à envoyer à l’autre bout du monde des centaines de policiers et des militaires pour expulser et détruire des logements, plutôt que de répondre aux besoins vitaux des mahorais-es. …/…
à visionner sur BLAST, Le souffle de l’info.
« UN DRAME ÉCRIT D’AVANCE » : MAYOTTE FACE AU DÉSASTRE DU CYCLONE CHIDO
…/… tout le monde savait que si un jour il y avait une catastrophe naturelle un cyclone ou un séisme à Mayotte il y aurait énormément de morts énormément de dégâts en raison de l’importance de ces bidonvilles mais pas que même les bâtiments en dur y compris les bâtiments publiques ne respectent pas les normes qui devraient être des normes de de résistance à un séisme ou à un cyclone et ça notamment il y a un rapport parlementaire qui a abordé la question il y a à peine un peu plus de 6 mois en fait qui disait que en Outremer en général et à Mayotte en particulier rien n’était fait pour anticiper une éventuelle catastrophe donc là c’est de la responsabilité directe de l’État …/…
à visionner sur la chaine de l’Humanité.
Mayotte : « Il faut des investissements massifs », déclare le vice-président du Parlement européen Younous Omarjee interrogé par Jean-Jacques Régibier le 19 décembre 2024
Comme personne ne l’a fait, je vais dire l’indicible :
1) Le plus simple ET le plus conforme au droit et à la morale (rare alignement des normes !) aurait été, serait, de respecter le droit national et international (le referendum de 1974 et la résolution de l’ONU de 1991 ), c’est à dire de rétrocéder l’ile aux Comores. Quitte à distribuer des passeports français aux habitants de l’île qui le souhaitent, et du pognon en quantité suffisante.
2) L’Etat ne peut pas tout, et le moment où la population est responsable de ce qui lui arrive, y compris sa misère dans tous les sens du terme, est passé depuis longtemps.
« 2) L’Etat ne peut pas tout, »
Voici une liste des missions de l’État en France, englobant à la fois les domaines traditionnels de l’État-providence et les enjeux contemporains de développement durable, d’égalité et de cohésion sociale.
Je vous laisse cocher celles où il a failli à Mayotte !
1. **Infrastructures** : L’État construit et entretient les infrastructures essentielles comme les routes, les autoroutes, les ponts, les voies ferrées, les aéroports et les ports.
2. **Santé** : L’État assure la gestion des hôpitaux publics, des centres de santé, et met en place des politiques de prévention, de soins et d’accès aux soins pour tous les citoyens.
3. **Assainissement** : L’État gère les réseaux d’assainissement des eaux usées et les systèmes de traitement des déchets pour préserver la qualité de l’eau et de l’environnement.
4. **Éducation nationale** : L’État assure l’éducation publique gratuite et obligatoire jusqu’à 16 ans (et jusqu’à 18 ans dans le cadre de la réforme de 2019), en gérant les écoles, collèges, lycées et universités publiques.
5. **Protection sociale** : L’État gère des systèmes de sécurité sociale (assurance maladie, retraite, allocations familiales, etc.) pour garantir la protection des citoyens face aux risques sociaux.
6. **Logement et politique de la ville** : L’État met en place des politiques pour l’accès au logement, la lutte contre l’habitat indigne et la précarité, ainsi que des actions pour réduire les inégalités sociales et territoriales.
7. **Emploi et insertion professionnelle** : L’État intervient pour favoriser l’emploi, notamment via Pôle Emploi, et met en place des politiques d’accompagnement des chômeurs, des jeunes et des personnes en situation de handicap.
8. **Justice et sécurité** : L’État assure la justice (tribunaux, prisons, etc.) et la sécurité (police, gendarmerie, pompiers) pour protéger les citoyens et garantir l’ordre public.
9. **Recherche et innovation** : L’État soutient la recherche scientifique et l’innovation par le biais de programmes publics (ANR, CNRS, etc.) et d’investissements dans les infrastructures de recherche.
10. **Culture et patrimoine** : L’État soutient la culture (musées, théâtres, cinémas, etc.) et protège le patrimoine culturel et naturel (monuments historiques, parcs nationaux, etc.).
11. **Environnement et développement durable** : L’État met en place des politiques environnementales pour préserver la nature, lutter contre le réchauffement climatique et promouvoir un développement durable.
12. **Solidarité et inclusion sociale** : L’État assure des missions de solidarité envers les plus vulnérables (aide sociale, minima sociaux comme le RSA, etc.) pour garantir un niveau de vie minimum et lutter contre la pauvreté.
13. **Défense nationale** : L’État assure la défense du pays par le biais des forces armées et des politiques de sécurité intérieure et extérieure.
14. **Égalité des chances** : L’État met en place des politiques pour lutter contre les inégalités sociales, raciales, de genre et d’orientation sexuelle, en favorisant l’inclusion et la diversité.
15. **Énergie et mobilité** : L’État définit et met en œuvre des politiques énergétiques (transition énergétique) et de mobilité (transports publics, infrastructures routières, etc.).
à lire sur « bonpote » : Mayotte, à qui la faute?
par Magali Reghezza
…/… Il n’a pas fallu longtemps pour que la classe politique et les piliers de comptoir médiatiques nous gratifient de leurs éléments de langage sur les causes du drame. La recherche des responsabilités, qui devient très vite une chasse au bouc-émissaire, est désespérément banale. …/…
Sommaire :
La faute au réchauffement climatique
La faute aux prévisions et aux prévisionnistes
La faute aux victimes
La faute à l’immigration
La faute au racisme
La faute à la colonisation
Alors, à qui la faute ?