Non lieu Covid : ne pas se tromper de combat

Allez, on va terminer l’année en faisant un peu de droit.

La commission d’instruction (composée de trois magistrats) de la Cour de Justice de la République, vient de procéder à la clôture de la procédure lancée contre les ministres qui avaient eu en charge la gestion de la pandémie Covid. Cette clôture intervient sans qu’aucune des personnes visées par les différentes plaintes et les réquisitoires, aient été mises en examen. Ce qui veut dire que la décision finale sera donc un non-lieu général.

Les réseaux se sont immédiatement remplis de hurlements, de vitupérations, d’accusations sur fond de martèlement du slogan « tous pourris, justice complice ! » Ce sont des conneries.

Avant d’expliquer pourquoi, je vais d’abord invoquer l’argument d’autorité habituel que me confère mon expérience de praticien et d’universitaire spécialiste de cette matière. Ensuite évidemment je rappelle je ne défends pas les crapules politiques que sont Olivier Véran et Agnès Buzyn. J’essaie de clarifier un peu les choses en déplorant une fois de plus cette manie qui consiste à essayer de faire de la politique par juge interposé, en refusant de mener le combat sur le vrai terrain.

Deux infractions du Code pénal étaient visées dans la procédure d’instruction : « la mise en danger délibéré d’autrui » (Article 223-1 du Code pénal), et « l’homicide et blessures involontaires » (Article 221-6 et suivants du Code pénal).

Concernant la première il s’agit du : « fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement ». Au moment où les mesures (utiles, inutiles, justifiés, injustifiées) ont été prises par nos bons à rien ministériels, ni la loi ni le règlement ne prévoyaient d’obligations PARTICULIÈRES,de prudence ou de sécurité susceptibles d’être DÉLIBÉRÉMENT violées. Absence d’élément légal par conséquent.

Concernant l’homicide et blessures involontaires, il faut qu’il y ait eu un dommage. Avec la pandémie Covid ce n’est pas ce qui manque. Cependant l’article 121-3 du Code pénal prévoit que les personnes (nos ministres en l’occurrence) « qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. » Donc d’abord retour à la case départ concernant les obligations particulières de sécurité, absence de cet élément légal. Ensuite il faut identifier une faute CARACTÉRISÉE exposant autrui à un risque que le ministre ne pouvait ignorer. Désolé, mais on ne peut pas prêter à ces ministres la moindre compétence pour savoir ce qu’en matière de Covid il convenait de faire et de ne pas faire à ce moment-là.

Dans ces conditions, et dès le départ, une connaissance minimum des règles prévues par le Code, convainquait facilement, non seulement de l’impasse de cette voie judiciaire, mais que c’était mais une fois de plus, le moyen de se délester du combat politique au profit des juges. On rappellera quand même qu’Emmanuel Macron a été très confortablement réélu au printemps 2022… Alors que paradoxalement amusant, le seul petite interstice pénal qui pourrait exister, serait celui d’avoir maintenu le premier tour des élections municipales au 15 mars 2020 en sachant que le premier confinement était fixé au 17 suivant. Mais pas de chance, Macron qui a pris la décision bénéficie de l’immunité présidentielle…

Alors soyons clairs, la gestion de la pandémie, a constitué une aubaine multiforme pour le pouvoir macronien. Tout d’abord avec la mise en place de tout un arsenal violemment liberticide, présenté comme temporaire, mais dont on a bien vu qu’il avait naturellement pris un cours définitif¶. Ensuite il y a bien sûr les corruptions géantes qui ont été réalisées, notamment dans l’Union Européenne avec le soutien systématique d’Emmanuel Macron. Il n’a jamais barguigné pour fournir son soutien à Ursula von der Leyen dans des conditions qui peuvent être qualifiées de complicité.

Le moment venu, il faudra tout faire pour que Macron et sa bande rendent des comptes judiciaires.

Mais pour cela, il faut d’abord le battre et s’en débarrasser politiquement.

Régis de Castelnau

36 Commentaires

  1. Comme toujours une excellente analyse juridique..malheureusement la majorité de nos concitoyens et des «  commentateurs » qui se prennent pour des journalistes pointus, n’y connaissent rien..

  2. Hello,
    En gros on est dans une république bannière qui nous fait croire qu’on peut vivre protégé par les lois!
    Honte à ce gouvernement

  3. « Mais pour cela, il faut d’abord le battre et s’en débarrasser politiquement. »
    Tout est clairement dit, en une simple ligne.
    C’est exactement cela le problème.
    Manque total de conscience politique… des électeurs.
    L’abstention + les manipulations = réélection.

    • « L’abstention + les manipulations = réélection. »: vous oubliez le droit et son état, l’état de droit et donc les juges! Car il ne faudrait pas l’oublier, qui, en fait a fait élire Macron mais surtout qui a disqualifié Fillon, hormis ses propres fautes!

  4. Plus ça va, et moins je supporte le droit et la justice, qui ne sont que le meilleur moyen de compliquer des choses simples, pour permettre à des salauds de toujours s’en tirer. Le seul tribunal que j’accepte encore, c’est le tribunal révolutionnaire, qui a le choix entre l’acquittement et la guillotine : au moins, c’est simple, net et précis. Le reste, comme disait Napoléon : ce sont des métaphysiciens bons à jeter à la seine !
    Pour finir: barguigner ne s’utilise plus, mais hésiter le replace parfaitement.

  5. Merci Maître, on a tendance à confondre la justice de l’âme et la justice de l’institution judiciaire. On n’est jamais assez bien informé sur celle du niveau ultime.

  6. Vous qualifiez Olivier Véran et Agnès Buzyn de « crapules politiques »: qu’entendez-vous par là ?
    Agnès Buzyn ne manquait-elle pas d’expérience politique ? Ce manque qui explique pourquoi elle n’a pas réussi, au mois de janvier 2020, à se faire entendre de Macron et Philippe qui ont traité la pandémie débutante par le mépris ?

    • Mme Buzzin était au courant depuis longtemps de l’arrivée de cette épidémie, son mari faisant parti de l’équipe qui a créé un laboratoire en Chine pour faire des tests sur des animaux , malgrè l’opposition des américains considérant qu’il était impossible de faire confiance aux chinois dans ce secteur..et en tant que Ministre de la santé..elle a fait semblant de ne pas être informée..

      • Elle pouvait aussi penser (comme d’autres) que ce n’était qu’une « grippette ». Mais êtes-vous bien sûr qu’elle savait ?

  7. Mouais.

    Peut-on si facilement nier « la mise en danger délibéré d’autrui » ?

    Dans les prévisions dont s’est servi Neil Fergusson à l’origine de la décision de confiner, il est explicitement dit que cela va nuire grandement aux pauvres. Et que le confinement est uniquement destiné à écraser la vague – mais pas à éviter le moindre mort. Rappelez-vous : il s’agissait d’éviter à l’hôpital d’être surchargé (alors même qu’on a dit à la population de rester chez elle et de ne pas aller voir de médecin et de prendre un Doliprane).

    Du coup, on a soumis les pauvres à un risque énorme et assumé sans aucun bénéfice global.

    Est-ce que ça avait le moindre sens ???

    • le propos n’est pas de nier « la mise en danger délibérée » c’est de relever que les conditions d’application de cette disposition faisaient défaut. dans l’autre sens, des contrevenants au couvre-feu ou au port du masque ont été poursuivis par des parquetiers zélés sous la qualification de mise en danger délibérée utilisée tout aussi légèrement. Heureusement aucun Tribunal n’a donné suite à ces procédures.

    • Selon vous, qu’aurait-il fallu faire pour éviter le moindre mort ?
      Avec le confinement, les rues étaient désertes, et le risque de contamination pour les personnes qui devaient tout de même sortir ne serait-ce que pour acheter de quoi ne pas mourir de faim très atténué.
      Et le conseil de ne pas allez chez les médecins pour ne pas contaminer ces derniers, ni les autres patients dans la salle d’attente, ou se faire contaminer par eux.
      Quant au bénéfice, difficile de prévoir ce qu’il serait avec un virus dont on ne connaissait pas le comportement futur.

  8. Cher Maitre,
    Comme vous savez mieux que moi, le droit et son application – et avant tout le droit pénal- ont des principes à réspécter: parmi les plus importants « nulla poena sine lege ». Or, ce principe ne fut pas appliqué dans le procès aux responsables nazis. Kelsen s’efforça de justifier cela, mais il ne faut pas se leurrer: le droit est fait par les humains, et dans des circonstances comme celle d’une guerre mondiale, les humains peuvent établir de nouvelles normes, se fichant de principes tels que la non rétroactivité de la norme juridique. Le problème est que, certes, on n’est pas à Nuremberg. Mais pour certains (y compris moi), on a vécu une guerre à l’echelle mondiale (non pas celle contre le virus). Mais, si on n’est pas à « Nuremberg », c’est parce que cette guerre nous l’avons perdue.

    • il faut nuancer. Les criminels allemands jugés à Nuremberg l’ont été à partir d’un texte arrêté alors que les crimes se poursuivaient, l’incrimination et ses éléments constitutifs ont été arrêtés en 1943 à l’époque de la conférence de Téhéran. Certains politiciens américains, notamment Robert Taft Jr ont protesté contre l’application d’une norme qu’ils jugeaient à tort rétroactive.

      • « Kelsen s’intéressera de près aux questions juridiques soulevées par la poursuite pénale des criminels nazis, non seulement pour la commission de crimes de guerre, qui était déjà bien établie à l’époque, mais en particulier pour ce crime dont il aura fallu attendre plus d’un demi siècle pour qu’il reçoive une définition rigoureuse, à savoir ce qu’on appelait alors « crime contre la paix ». Poursuivre ce crime était d’autant plus osé (…), qu’il s’agissait de placer la responsabilité sur le plan individuel (…). Dans ce contexte de certitude morale et d’incertitude juridique, les analyses thécniques mais aussi (…) influencées par des considérations morales (…) ».
        C’est vous qui ne nuancez pas assez (« Certains politiciens américains, notamment Robert Taft Jr ont protesté contre l’application d’une norme qu’ils jugeaient à tort rétroactive »).
        source: PRATT, Valérie- VINUALES, Jorge, « Rétroactivité et non rétroactivité en droit international », Annuaire français de Droit international, 2005.

  9. Toujours excellent en son domaine notre avocat préféré.
    Merci pour cette année de sacerdoce même si je ne suis pas d’accord avec la déviation concernant les sujets internationaux entre réinformation et méthode Coué partisane.
    Ça part d’un bon sentiment contrairement à l’intégralité des propagandistes stipendiés, de ceux qui y ont flairé la bonne source et des simples baltringues qui y assouvissent leur ego.

    Sur le national, c’est nº1. 🙏👍👏.

    En espérant que 2025 sera moins désespérant que 2024. Et qu’on verra vous y dresser comme un Jaurès furieux contre notre abrutissement, notre enfoncement consécutive dans la servitude et surtout l’effroyable apocalypse à ce qu’il permet

    A la réflexion, 2024 aura vraiment été une année satanique. Que des perdants, partout. Pas un seul gagnant. Partout du sang, de la bave et de la merde. Ha il peut bien exulter Mamon.

    • P…n de correcteur auto de m…
      Pas « la bonne source » mais  » la bonne soupe ».
      Et pas « à ce qu’il permet » mais  » à venir qu’il permet ».

  10. La démonstration sur l’absence de l’élément matériel de l’infraction, à savoir quelle obligation particulière préexistait à l’irruption du covid est imparable. Ce simple constat condamnait la procédure à aboutir à ce qu’on devine déjà et qui est inéluctable. Toutefois, ça ne s’arrête pas là. Au risque de paraître rêveur il pourrait à terme exister des poursuites pour les violations des libertés publiques qui eurent lieu durant cet épisode Covid. Elles sont manifestes, tout le monde les a à l’esprit plus ou moins clairement. A cet égard les arguments d’autorité du conseil constitutionnel sont insuffisants à couvrir ces violations. Puis, surtout, viendra le moment où le scandale des effets secondaires éclatera. La réponse politique, et là je diffère de Régis de Castelnau, ne suffira pas. Que ce soit une catharsis collective sans doute, mais le procès sera indispensable.

  11. Ce que je ne comprends pas.
    Les ARS ont procédé à un carnage de vieux. Un massacre sur critères plus vu en France depuis 1945. Des milliers, voire des dizaines de milliers de morts car elle avait donné pour consigne aux régulateurs de refuser systématiquement l’hospitalisation des vieux. Moralité : une hécatombe dans les Epahd et les domiciles.
    Alors que les hôpitaux n’étaient même pas à saturation. On a décidé administrativement de condamner à mort les vieux pour laisser de la place.
    Imagine-t-on qu’on ai décidé de laisser crever ceux dont l’IMC est supérieur à 30, ou aux fumeurs, aux alcoolos, aux étrangers?
    Non évidemment.
    Mais nos vieux qui ont bâti ce système de santé en bossant 45 h par semaine ont été sciemment condamnés à mort.
    Aucune procédure, aucun émoi journalistique ou d’un homme politique. Le seul que j’ai lu s’insurger était Marek Halter qui y voyait pointer l’ombre du plus effroyable totalitarisme.
    On a tué sans raison valable, l’urgence médicale ne tenant pas dans ce cas, sans état d’âme. Même les familles, probablement trop heureuses de toucher le magot ou se débarrasser du paquet, n’ont pas broncher.
    Ce pays de merde, ce peuple de merde auquel j’appartiens, est condamné.

    • Juste pour compléter. Une ARS a envoyé des sacs mortuaires aux EHPAD a la place des masques et gels demandés. Article de presse régional a l’appui. Ils n’ont honte de rien.

    • Il y a bien eu officiellement un refus organisé du soin pour cette maladie, et en l’absence de soin une préconisation d’euthanasie par rivotril à l’égard des personnes âgées, dépendantes, fragiles….
      Pendant que les gens valides ayant accès aux médecins compétents réfractaires aux consignes, ont prescrit des traitements efficaces avec antibios, cortisone, hydroxychloroquine, ivermectine, etc…
      D’ailleurs Buzyn, a soigné sa mère à l’hydroxychloroquine….
      Pour moi il y a bien eu crime à l’égard d’une catégorie de la population qui a été écartée du soin par la volonté de l’Etat et euthanasiée!!…
      Lequel État n’a pas voulu entendre ceux, études observationnelles en main, qui préconisaient de soigner avec les traitements efficaces.
      Avec Véran, comparant ces traitements avec de l’eau de javel, en réponse au député Martine Wonner. (Pour l’anecdote)
      A ma connaissance jamais dans l’histoire de la médecine, l’Etat n’avait fait obstruction au soin à apporter aux malades, car il n’en n’a jamais eu la compétence.

      • Les euthanasies ont eu lieu majoritairement en Ehpads et à domicile par des équipes mobiles constituées à cet effet.

  12. Peut être que ça marche dans les deux sens. Les ministres sont les premiers a se victimiser et a utiliser cette excuse. Ils seraient livrés a la vindicte judiciaire pour des raisons politiques.

    Les éléments avérés de mise en danger d’autrui et pire ne manquent pas. Ils ont choisi qui était prioritaire sur les soins et la prévention et qui ne l’était pas.

    Dans un état de droit on devrait pouvoir saisir un tribunal. Même si ça vexe un pouvoir rigide et autoritaire parce qu’illégitime. Les victimes ont des droits.

    Si on estime qu’ils sont intouchables parce qu’ils ne possèdent pas les compétences requises dans les domaines où ils interviennent, ça prouve que toute la chaîne de décisions est défaillante et c’est très grave.

  13. Quelle pandémie ?
    https://le-pont.le-pic.org/spip.php?article116
    Un lanceur d’alerte dévoile l’escroquerie Covid conférence du 02.11.2024, le Professeur S. Homburg au Bundestag.
    Où voyez vous une pandémie dans ce diagramme.
    https://le-pont.le-pic.org/spip.php?article117
    Dans cette vidéo du 23 septembre 2021 Michel-Chossudovsky (mondialisation.ca) posait déjà cette question à partir des chiffres officiels.
    https://odysee.com/@Roms17:d/Michel-Chossudovsky,-Le-Covid-comme-prétexte-pour-restructurer-l'économie,-la-société-et-la-politique:6

    Déjà en 2010 un rapport du sénat faisait ce constat.
    https://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-10.html
    M. Tom Jefferson a observé que « la grippe pandémique est ce que l’OMS décide qu’elle est »
    …de 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1 er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité.

  14. J’ai peut-être manqué quelque chose. Quelles sont les mesures liberticides prises pendant l’épidémie et pérennisées après ? L’Opposition a-t-elle réagi ?

    • Renseignez vous mon vieux. Désormais, vous n’avez plus le droit de contester une décision sanitaire officielle ni même d’invoquer une étude qui la rendrait inutile.
      On peut désormais obliger la population à ingérer des traitements prophylactiques, même expérimentaux en les nommant vaccin même s’ils n’empêchent ni la contamination ni l’infection. On peut interdire à des gens de travailler, de se déplacer, de paraître en public à ce prétexte.
      On peut enfermer les gens chez eux sans aucune preuve que ça serve à quoique ce soit. On peut considérer que cette mesure est plus importante qu’assurer la survie des personnes dépendantes dont plus de 10000 sont mortes de faim et de soif , dans leur merde, chez eux tandis qu’on verbalisait avec zeles les assistants de vie qui voulaient les sauver.
      On peut décider de condamner à mort une partie de la population sur critère sans susciter la moindre émotion( ce coup ci les vieux, la prochaine?)
      Et vous demandez quel était le problème ???
      Pays de cons et d’enfoirés.
      Pays de merde.
      Il mérite Macron et sa clique.

  15. Bonjour Maître.
    Vous semblez oublier un « détail »: à l’heure où nos ministres ont mis en œuvre toute une série d’obligations liberticides voire dangereuses, ils et elles savaient.
    1) Que la vaccination était en phase de validation et ont toujours minimisé les effets secondaires pourtant listés par le fabricant.
    2) Que le covid n’était pas une maladie plus mortelle qu’une simple grippe. Cela a été révélé par les RKI-Files, en Allemagne, et dans le contexte, tous les pays européens étaient informés.
    Dès lors, une question se pose: les preuves d’une machination savamment orchestrée qui pourraient être révélées dans les prochains mois, peuvent-elles remettre en cause les positions adoptées par la CJR dernièrement?

  16. Il faut remonter à février mars 2020, très peu de morts en Europe et beaucoup d’intox orchestrée au plus haut niveau
    Puis le fameux discours : « nous sommes en guerre, 500.000 morts, restez tous chez vous 15 jours, l’État paiera, quoi qu’en coûte »
    Chaque terme est une mise en danger de la démocratie, de la médecine, des finances publiques et de l’activité ‘économique du pays
    Par la suite, on a vu le massacre des EHPAD, les refus de soins et de médicaments utiles, le mensonge d’État permanent et la stratégie de la peur.
    Relisez les livres du Pr Christian Perronne

  17. Merci pour cette analyse utile, et meilleurs vœux pour 2025.
    On oublie trop que la Justice est la compétence régalienne n°1, celle qui légitime la violence du souverain, et par laquelle il s’auto-absout d’avance.

    Pour autant, les commentateurs plus rapides ont donné une liste « d’obligations particulières » que l’on pouvait plaider, auxquelles j’ajouterais : le plan « pandémie grippale » ; les conditions de mise en marché d’un nouveau produit médical ou celle de déclaration de l’épidémie ; l’obligation assez impérieuse pour prendre le pas sur des droits fondamentaux qui a justifié d’interdire les rassemblements dans les salles de sport, de restaurant ou de cinéma pourtant inappliquée aux bus et métro…

  18. Bonjour. Mme Buzin est à l’origine de la mise à l’écart de l’hydroxychloroquine (orthographe?) qui a ouvert la voie à la possibilité de la « vaccination ». Si le traitement Raoult avait été entériné, les injections ARNM n’auraient pas pu être autorisées. N’est-ce pas là une mise en danger de la santé d’autrui, vérifiée depuis avec les effets secondaires des injections? Je ne suis pas juriste, mais il y a au moins un fort soupçon de connivence avec Bigpharma, et « la mise danger délibérée d’autrui » est un argument défendable, puisque on a interdit un traitement après avoir avancé que l’un des produits le constituant, connu pour son innocuité sous le contrôle de médecins, devenait dangereux. Je ne suis pas juriste, mais Mme Buzin ne devrait plus pouvoir dormir tranquille, en dépit des revenus que sa politique délétère lui a procurés.

    • Il n’y a aucune preuve scientifique ni statistique, que le chloroquine, ni un vaccin ai pu prévenir la « covid19 ».
      « Covid19 » pure invention informatique, dont le pseudo codage ARN se trouve n’importe ou. D’ou le n’importe quoi des « tests » PCR.
      Qui scientifiquement ne sont pas des tests selon même son inventeur.
      Donc pas de pandémie: Des morts dus aux manques de soins criminels: C’est la ou se trouve le crime: Le refus de soigner. Soigner en plus des maladies ordinaires tamponnées « covid ». Bref arnaque.
      C’est le directeur de l’OMS qu’il faudrait mettre en tôle pour crime contre l’humanité.

  19. Castelnau a raison, ces attaques judiciaires sont stupides, ce sont des faux nez.
    Du blanchie-ment à bon marché. Du fait-exprés, de la couillonnade sur mesure pour « lanceur d’alerte ».
    Le problème c’est l’énorme propagande médiatique, et les mensonges des pseudos médecins scientifiques, et autres guignols des laboratoires et autres instituts « Impérial Collège » (Vaste programme…).
    Le problème ce sont les décrets liberticides et anti-constitutionnels, donc illégaux.
    Le problème c’est de ne pas pouvoir (vouloir?) déclarer illégaux ces décrets pris.
    Le problème, c’est que pour des questions d’argent, les lâches ont obéi.
    Le confinement fut une abérration scientifique, économique et anticonstitutionnelle. (Si Castelnau dit ça, il est viré de Youtube, société privée)
    Porter des masques aussi. Interdire d’aller à la plage…Hahahaha!
    Mais fallait etre CON pour obéir à de telles stupidités!
    Moi j’ai DESOBEI. Jamais de masque, sauf dans les boutiques, ou de façon privée et illégale on y était forçé par les services d’ordres fachistes et musclés.
    Alors moi aussi j’ai été lâche, de guerre lasse, j’ai pas de scandale…Mais si cela avait trop duré, je me serais retrouvé avec les paysans avec des fusils de chasse.
    Parce qu’au bout d’un moment, la connerie, c’est plus du tout rigolo.
    Pas testé, pas de pass (Rien à cirer).
    Interdire de se déplacer à plus d’un kilomètre de chez soi: Ouhahahahhhahhhahahahahhahhhahihi Ouahahahahha! Mort de rire!
    J’ai fait ce que j’ai voulu…
    Et pas de vaxxin bien sûr. Le vaxxin anti-covid, pfff, de la foutaise: Les vaxxins anti-virus n’ont JAMAIS marché! Ni celui de la grippe bien sûr! On sait ça depuis 50 ans!
    Et j’en ai lu des revues scientifiques de puis 50 ans!
    Une nouvelle découverte en 6 mois? Ha ouais?
    Vous n’avez qu’à lire le constat statistique de Pierre Chaillot:
    Pas de pandémie, pas d’épidémie, et aucune preuve réelle de l’existence même du virus (Même Raoult est un charlot). Pas de transmission, aucune preuve depuis 50 ans à propos des virus. Nada! Du fantasme informatique, du roman pour attardés!
    Mais bordel, pauvres peuples, que vous êtes CONS à bouffer du foin!
    C’est même écrit sur votre front, comme disait Maïté.
    La Justice ne peut rien contre la connerie, sauf à l’épingler sur un mur.

    • Je suis totalement d’accord avec votre message même si je le trouve un peu emporter.
      Pas de pandémie, comme je le dis dans mon message, et il n’y a pas que Pierre Chaillot qui fait ce constat.
      Michel-Chossudovsky, Samantha Bailey, Urmie Ray, Denis Rancourt et d’autres ont fait le même constat.
      Cependant la puissance économique, idéologique, médiatique et la censure que big pharma et les gouvernements ont a pu imposer partout (journaux, télé, réseau sociaux, et revues par les pairs) ont réussi à nous convaincre du contraire. Big pharma que l’on nommait dans les années 2000, le complexe médicaux pharmaceutique.

      « Ceux qui croient encore que cette crise est sanitaire, il va falloir se réveiller » Philippe de Chazournes, médecin.
      https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/philippe-de-chazournes-medecin
      Pendant ce temps des soignants ont été privés de salaire et de travail pendant 604 jours, pour avoir refusé une injection expérimentale.
      Il est illégale de rendre obligatoire un traitement en phase de test.
      https://cloud.le-pic.org/s/sjgJ8jsH9DyGqH6

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