
La décomposition du système politique français s’accélère. Soutenu par un bloc élitaire terrorisé par le changement du monde qui se profile, Emmanuel Macron démontre encore s’il en était besoin son incompétence institutionnelle et politique radicale. Rodomontades et mensonges utilisés comme jamais, incapacité totale à se remettre en cause, le voilà qui joue les chefs de guerre pour essayer de reprendre l’initiative. En fait, il mouline dans le vide et se rassure avec des baudruches aussi rapidement crevées que gonflées. Le système qui le soutient complètement verrouillé, bascule dans l’abjection. Accompagnant quelques informations, les exemples les plus répugnants. Et une demande : de nous dire lequel l’est le plus.
I) introduction
II) Darmanin et Primas : « la décapitation de Samuel Patty, célérusses »
III Yakovlev, ganache négationniste : « le nazisme c’est peace & love »
Cool l’auteur de ce texte. 👍
Et, pour information : 😅
L’aveuglement des élites européennes a mis l’Union européenne hors du jeu mondial
14/03/2025
Dans son livre « l’État profond américain », Peter Dale Scott cite (p 41) la définition que donne l’analyste républicain Mike Lofgren de ce système : « Il existe le gouvernement visible situé autour du [National] Mall à Washington, et puis il existe un autre gouvernement plus obscur, plus indéfinissable, qui n’est pas expliqué dans les cours d’instruction civique, ni observable par les touristes à la Maison Blanche ou ou au Capitole. Le premier représente la politique partisane traditionnelle à Washington : le sommet de l’iceberg que les spectateurs de C-SPAN peuvent voir quotidiennement, et qui est théoriquement contrôlable par le biais des élections. La partie immergée de cet iceberg est ce que j’appellerais « l’État profond » qui suit son propre cap indépendamment de qui est formellement au pouvoir ».
Et cet État profond américain ne date pas d’hier. Mike Lofgren inclut dans sa définition le cartel des banques de Wall Street. Il s’appuie sur une communication de FD Roosevelt envoyée en 1933 à son ami le « colonel » Mandell House : « La vérité est, comme vous et moi le savons, qu’une composante financière s’est emparée du gouvernement depuis l’époque d’Andrew Jackson »
Son caractère indépendant du pouvoir apparent a, du reste, été démontré lors de la crise des « subprimes » dans laquelle l’administration Bush puis l’administration Obama, respectivement républicaine, puis démocrate, ont suivi la même politique conduite par Wall Street et son concept du « too big to fail » qui a fait renflouer par le contribuable américain les grandes banques menacées de faillite pour sauver le système financier mondialiste.
Un État profond devenu tentaculaire
Dominant la finance internationale par Wall Street et la City londonienne qui l’a vu naître, ce système s’est introduit dans tous les rouages du pouvoir américain à l’insu (ou presque) des citoyens américains pour qui les centres du pouvoir démocratique apparents étaient restés les mêmes. Il y avait donc peu de chances , malgré les mises en garde d’Eisenhower en 1961 puis de Kennedy en 1963, que son action soit contrariée par un peuple américain soigneusement tenu à l’écart. Il a ainsi pu prospérer sans être inquiété, en se dotant d’agences comme la CIA ou la NSA qui n’avaient aucun compte à rendre au pouvoir apparent américain. La route vers le véritable objectif qui avait toujours été d’établir une domination mondiale était ouverte.
On vit ainsi naître, après la CIA, l’ACUE et l’OTAN.
L’American Comittee for United Europe (ACUE), émanation plus ou moins directe de la CIA, puis l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord. Le premier était destiné à mettre en place les conditions pour réaliser un vaste Etat européen fédéral et supranational dans lequel les nations européennes se fondraient « comme les marrons dans la purée » (de Gaulle dixit) qui préfigurerait le monde futur prévu par cet Etat profond devenu supranational.
La seconde devait, du moins au départ, assurer aux pays de l’Ouest de l’Europe une protection contre une invasion les troupes soviétiques qui, bien entendu, voulaient imposer le communisme au monde entier. C’est ainsi que la CIA avait implanté dans un certain nombre de pays européens des réseaux appelés « stay behind » dont les actions seraient coordonnées avec celle de l’OTAN.
L’effondrement de l’URSS en 1991 aurait dû, logiquement, se traduire par la disparition de l’OTAN mais, malgré la promesse formelle de ne pas chercher à s’étendre à l’Est de l’Elbe après la réunification allemande, celle-ci a continué à se développer en se rapprochant de plus en plus des frontières de la Russie. Elle montrait ainsi son vrai visage, dissimulé jusque-là, d’une force armée destinée à imposer militairement la domination de l’État profond supranational.
Le visage masqué de certains leaders européens
L’emprise de l’État profond américain sur la « construction » européenne a été une constante depuis la fin de la guerre et même probablement avant. Le dollar « AMGOT », auquel nous avons échappé grâce à la perspicacité de de Gaulle, en est une manifestation. Une autre constante a également consisté à favoriser l’accès au pouvoir de gens sur lequel l’État profond savait pouvoir compter compte-tenu de leur passé ou de leurs convictions. Une fois ce réservoir d’« euro-fédéralistes » épuisé, ils ont recruté de différentes manières la relève. Comme l’écrit Nikola Mircovic dans son livre « l’Amérique empire », putôt que de coloniser les pays européens, ils se sont contentés de coloniser leurs élites.
2020, un espoir déçu
par analogie, les Danois au Groenland. Donald Trump reprend aujourd’hui à son compte cette doctrine, qui s’oppose au mondialisme des dernières décennies.
Cette tendance « continentale » se ressent dans beaucoup d’endroits du monde. Les BRI (Belts and Roads Initiatives) en sont une manifestation.
Le cas du continent européen pose un problème car il est scindé en deux pratiquement depuis l’Allemagne de Bismark car l’Angleterre, puissance dominante, ne voulait pas avoir en face d’elle la partie continentale de l’Europe unifiée sur un plan économique. Cette « théorie du Heartland » énoncée par John Mackinder en 1904 a été reprise ensuite par l’État profond américain pour empêcher tout rapprochement entre l’Est et l’Ouest de l’Europe. Une des conséquences que nous, peuples européens de l’Ouest, risquons de payer très cher dans le futur, est le rapprochement entre la Chine et la Russie qui pourrait donner au continent asiatique une puissance sans égal en rendant le monde « non Westphalien ».
Or, la paix du monde futur repose en grande partie sur ce concept suivant lequel aucun continent ne pourrait être plus puissant que tous les autres réunis. On peut penser que Donald Trump adhère à ce concept et c’est la raison pour laquelle il voudrait rapprocher la Russie de l’Europe occidentale, rejoignant la vision gaullienne d’une « Europe de l’Atlantique à l’Oural »
L’attitude des dirigeants européens peut être fatale à l’Europe
En voulant ostraciser la Russie à tout prix afin d’accélérer le fédéralisme européen en agitant la peur d’une invasion militaire russe, la politique de nos dirigeants européens va s’opposer frontalement à celle de Trump qui, lui, va tenter d’éloigner dans toute la mesure du possible la Russie de la Chine.
En bons élèves du « Docteur Schwab », ils restent fidèles à la vision globaliste d’un « Great Reset » dont les chances de succès se sont singulièrement réduites. Le risque est de se trouver dans la situation de l’Europe d’avant la guerre de 14 où les pays européens s’étaient ruinés en s’armant pour un conflit opposant la « Triple Entente » à la « Triple Alliance » et avaient dû sacrifier leur stabilité monétaire en quittant l’étalon-or pour financer la guerre par une dette énorme, ce qui leur a coûté une perte d’hégémonie et d’influence sans précédent.
Les mêmes causes dans le même contexte produisant les mêmes effets, il y a tout lieu de s’inquiéter de l’avenir de nos nations européennes qui semble assez sombre alors qu’une autre vision, celle d’une Europe des patries et des coopérations entre États, apparaît beaucoup plus réaliste.
Auteur : Jean Goychman
Comme disait Goebbels : « plus c’est gros … »
Mais notre pays recèle des armées entières de connards. Les diplomés du supérieur étant devenus la clericature active, la colonne vertébrale de la connerie nationale.
La crétinerie conformiste tout comme le niveau d’ignorance des diplômés sont consternante.
Et plus c’est con, plus ça se croit intelligent.
Ça me rappelle l’armée entière de « nobles » de très récente extraction sous Louis XV, qui se haussaient du col en se prenant pour le sel du royaume
C’est très exactement cette armée de noblaillons arrogants et sans consistance qui ont amené à la Revolution.
A force de vouloir diplômer massivement tout le monde avec des diplômes bidons de journalisme, d’études politiques, de psycho, socio, marketing, communication, mediation culturelle et toutes ces conneries qui constituent aujourd’hui plus de la moitié des diplômés, on a fabriqué un masse d’imbéciles formatés de petits Kapos de l’ordre bourgeois.
Va falloir renvoyer tout ce petit monde au champ et à l’usine.
Concernant Saakachvili et pour compléter son éloge, on peut ajouter qui a été gouverneur d’Odessa ce qui est assez emblématique quand on pense à la tuerie à la maison des syndicats du 2 mai 2014 et la dé-russification qui a été entreprise pour ne pas qu’ Odessa échappe à l’Ukraine..
Pour le classement d’abjection le choix n’est pas simple . Mais je vote pour Primas qui la porte porte-parole du gouvernement et non pas un clampin des plateaux télé, ci qui pour mois est un facteur aggravant.
C’est injuste. Porte parole de l’Elysée, depuis Macron, est un emploi COTOREP réservé aux QI inférieurs à 92.
Vous ne pouvez pas leur en vouloir.
C’est une question délicate qui peut être vue avec plusieurs critères :
Faut il considérer l’abjection du propos uniquement ?
Attribuer un facteur aggravant à celui qui le prononce ?
Tenir compte de connaissances et ou d’expertise du sujet ?
Tenir compte du passé du locuteur et de la véracité de propos antérieurs ?
Je retiens pour ma part à minima un facteur aggravant du fait de la qualité du locuteur.
Darmanin devient champion car il a été pris en flagrant délit de mensonges comme ministre de l’intérieur (crespol, stade de france …).
Il sait très bien la vérité des faits ce qui ajoute à l’ignominie des propos.
Dur, dur, commencer un lundi avec des questions insolubles. Ceci dit, José Azéma a raison: Je vote Primagaz.