Je trouve extraordinairement révélateur des impensés de notre système politique l’argument qui vient aussitôt à la bouche de ceux qui font profession de haïr la France Insoumise. Ses représentants seraient des « démagogues », travaillés par la passion du « chaos » et mus par un « électoralisme » de bas étage.
Il y aurait donc deux catégories de candidats :
– Des candidats « gentils » qui agissent par pur sacrifice de soi à « l’unité nationale », sans jamais chercher à convaincre le moindre électeur.
– Des candidats « méchants » qui se présentent à des élections avec le projet étrange de les gagner.
Au-delà de ses expressions farcesques, cette crise de mauvaise foi fait apparaître que le système électoral représentatif repose sur une contradiction intenable : l’affirmation que le pluralisme concourt au bien commun ; l’idée qu’il y aurait un « cercle de la raison », signalé par tous les attributs distinctifs d’une autorité « naturelle », et qui serait légitime à déterminer ce qui ressortit ou non à ce « bien commun ». Le pluralisme n’aurait donc jamais été que le périmètre extrêmement restreint à l’intérieur duquel s’organise une confrontation ritualisée entre des mêmes.
Cette contradiction constitutive de la démocratie représentative peut durer aussi longtemps que son périmètre de délimitation fait l’objet d’un consensus qui lui donne le statut d’évidence. De ce point de vue, la situation actuelle ne se présente pas comme une crise de la démocratie représentative mais comme sa vérité. Quand le périmètre apparaît pour ce qu’il est, c’est-à-dire comme une discrimination radicale entre ceux qui sont dedans et ceux qui sont dehors, le débat peut commencer mais il n’est plus possible.
A cet instant, on comprend que non seulement la démocratie représentative n’est pas antinomique avec les systèmes d’apartheid mais qu’elle en constitue la forme de fonctionnement la plus aboutie. On ne se met à parler d’apartheid, avec toutes les formes symboliques que cela peut prendre, qu’au moment où ça commence à se voir et à craquer. En France, comme souvent, la fuite devant le réel prend la tournure savoureuse des inversions accusatoires : sont réputés « racistes » ceux qui ont été enfermés dans les catégories de la domination et qui ont l’outrecuidante vulgarité de les faire apparaître au grand jour. Il se produit alors, au cœur même du langage et de ses dispositifs de contrôle, une cascade de révélations dévastatrices.
Vivons comme une opportunité d’émancipation ce moment béni mais douloureux où la vérité explose dans la bouche de ceux qui ne veulent pas la voir.
A part crier et pleurnicher au nom d’un militantisme étranger en se pavanant d’un drapeau palestinien à l’assemblée, ils font quoi ces députés ? Ne sont t’ils pas payés par le contribuable pour s’occuper de la France ?
Les seuls à être présents et à bosser. Le RN fait la sieste les LR règlent leurs procès pour fraude les macronistes campagne et hurler sur les insoumis de plateau tv en plateau tv..
A ga ga Philippe y fait pipi dans son caca
Tu es un génie, merci beaucoup.
Bonjour Monsieur,
Je suis de près ce que vous écrivez, et vous rejoins globalement sur les idées que vous exprimez.
Je vais me permettre un désaccord quant au comportement de Monsieur Delogu: pour moi, et selon mon patriotisme sans doute désuet, il ne peut être question de déployer à l’assemblée nationale un pavillon qui ne soit celui de la France. C’est déjà arrivé, me semble-t-il avec celui de l’Ukraine, et c’était déjà une fois de trop.
Quant au débat sur Gaza, il serait intéressant que vous écoutiez, sur le site « Ligne droite » ce matin, la manière dont Pierre Conesa s’est fait agresser par une député « Les Républicains », ceci pour mettre un peu d’eau à votre moulin 🙂
Il y a une interruption, que j’estime regrettable, sur la diffusion de vos émissions sur la guerre d’Ukraine. Ce que je regrette fortement, d’autant que les événements récents – la destruction de radars russes contre les attaques balistiques -mettent le curseur fort haut dans les risques d’une guerre nucléaire. Sans parler des pitreries lamentables de notre chef (vraiment?) de l’état.
J’espère que, tant pour les Russes et les Ukrainiens, que pour les Gazaouis et les Israéliens, arrivera une paix, sans attendre la réélection de la momie.
Bien à vous
Je précise que cet article n’est pas de Régis de Castelnau mais de Benoît Girard, celui-là même qui vous répond en ce moment.
Votre réaction est celle de quelqu’un qui se situe du point de vue d’un système qui fonctionne. En fonction de ce postulat, on ne peut que vous donner mille fois raison : si nos institutions étaient ce qu’elles devraient être, ce genre de perturbations ne se produiraient pas.
Pour ma part, je reçois cet « événement » comme un signe par où se manifestent et se renforcent des contradictions plus profondes. Ce n’est pas parce qu’il y a une perturbation que le système dysfonctionne, c’est parce que le système dysfonctionne qu’il engendre ce genre de perturbations. Autrement dit, je ne m’intéresse pas tant à la perturbation en tant que telle, ni aux intentions des acteurs politiques qui la mettent en œuvre, qu’à la vérité qui se fait jour à travers elle.
Par conséquent, il me semble que nos propos se complètent sans nécessairement se contredire.
Je vous rejoins totalement sur le fait que le système dysfonctionne, et sur ses conséquences.
Vous allez donc signer la pétition pour exclure ybp et son pins israelien dans l’assemblée ?
Oui, sans le moindre doute
Belle contradiction avec votre message antérieur. Vous défendez le député LFI et son drapeau palestinien mais vous signer pour exclure un député LR avec un pins d’Israël ?
Le problème du langage est qu’il permet si facilement de tricher comme vous le faites en transformant le sens d’une question sur vos éventuelles contradiction
En attendant , la conscription n’est plus dans les cartons
https://charbellakis.com/lue-prepare-la-conscription-obligatoire-de-vos-enfants-pour-la-guerre-en-ukraine/
Sauf pour le pecos qui m’explique
Fallait bien faire le lien entre la conscription adopté il y à plus de 6 mois
Dans le sens ou si tu n’y va pas on te pique tous tes avoirs
Il y à aussi que chaque macaque qui est sur le territoire français , devras aller au turbain.
Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt.
Il y a aussi
les chiens aboient, la caravane passe ; s’est franchow
Mais il y à aussi
La religion que je professe نيدأ Est celle de l·Amour. بح ا نيدب Quelque soit le lieu où ses caravanes se dirigent j·y vais هبئا ر تهجّوت ىّنأ Car l’amour est ma religion et ma foi. يناـمياو ينيد بح اف Mahyeddin Ibn Arabî (Espagne 1165 – Syrie 1240) De son ouvrage « L·interprète des désirs ».
Chacun pour sa gueulle d’avec son cul
Votre religion est également celle du pogrom du 7 octobre, des attentats de Nice, du Bataclan, de Charlie hebdo, de Madrid, de Barcelone, de Boston, de New-York, de Strasbourg, d’Annecy, de Crépol, j’en passe et des meilleures. Alors le couplet de ouin-ouin ma religion est amour, ouin-ouin ma religion n’est que paix etc, etc vous pouvez vous la garder.
Pour en revenir au « happening » de LFI (La France Islamiste ou La France Immonde ou les deux), je n’ai aucun souvenir de ce type de manifestation quand les Azéris ont récemment massacré les arméniens (Sans doute par posture électoraliste).
Quand on monte au cocotier il faut avoir le séant propre.
Le moment du drapeau palestinien
C’est d’abord une image. C’est si peu de chose qu’un bout d’étoffe ! Sébastien Delogu, député insoumis de Marseille, est debout, sa grande taille déployée, il tient le drapeau palestinien. C’est un geste symbolique, bien sûr. Mais les symboles portent toujours une force singulière, englobante, surplombante. L’immense hémicycle est soudain tout entier absorbé dans ces pauvres centimètres carrés colorés . . . / . . .
extrait de cette page :
https://melenchon.fr/2024/05/29/le-moment-du-drapeau-palestinien/
Il fut un temps où les politiques appelaient à « donner de la voix » pour porter des messages de paix face à des conflits sanglants. Certains même lançaient des mouvements sur les réseaux sociaux. Brandir un drapeau n’est pas forcément une bonne idée mais ce sont les réactions déclenchées qui devraient interroger. Effectivement. Le pluralisme – qui constitue la démocratie dans le sens où nous l’entendons, ce n’est pas le camp du bien et le camp du mal. Le camp du bien étant incarné par l’Elysée et ses transfuges. Mais voilà, les français ont porté au pouvoir un groupe de personnes qui n’avaient pas vocation à gouverner et qui ne supportent aucune contestation. La France a d’ailleurs été qualifiée de « démocratie défaillante » lors des mouvements sociaux liés au GJ. C’est toujours ce vide abyssal idéologique qui les pousse à ce qu’ils appellent la lutte contre les extrêmes ou la lutte contre le populisme (les citoyens apprécieront). Rester dans le même cercle c’est écouter une litanie de poncifs lassants. Le chaos c’est les autres. Toujours. Pendant ce temps, il se passe des choses que les grands humanistes devraient dénoncer ici, sur le territoire, comme à l’international. Les humanistes. S’il en reste…
Il suffit de se souvenir du drapeau bleu et jaune en grand à l’Assemblée. Les mots changent de sens toutes les cinq minutes pour saboter l’intelligence collective si sensible à l’affect et à la mauvaise mémoire. Les Grand Modèles de Langage sont des constructions presque pensantes que nous devons apprendre utiliser en politique.
L’auteur devrait lire Rene Girard, il saurait que les vrais dominés, les vrais bouc émissaires ne sont jamais nommés, qu’ils n’ont pas de défenseurs, et que s’ils s’avisent de lever les yeux, on les leur crève
Les palestiniens, les racises et leurs supporters dont Mr de Castelnau font partis des dominants du camp du bien, dont les factions se réconcilient dans leur haine du lambda
A qui donc on pardonnerait autant d’outrages, de provocations, d’insultes, de racisme, d’ingratitude, de délinquance, de viol, d’émeutes et de terrorisme
Qui à part les aristocrates peuvent se permettre d’écraser les citoyens avec autant d’impunité
Enfin, l’auteur devrait encore relire Rene Girard, il saurait qu’une société saine est une société avec une hiérarchie entre dedans/dehors, entre expert/béotiens, etc et qu’au contraire la crise mimétique réduit les distances jusqu’à fusionner les rivaux
Et que, évidemment il y a un « apartheid » en démocratie comme dans tout système politique notamment entre citoyen et étranger, entre bon citoyen/ délinquants, entre dirigeants/dirigés
Je ne sais pas s’il est nécessaire d’entamer un dialogue, compte tenu de l’arrogance et de la mauvaise foi sous le signe desquels vous placez votre intervention. Il faut quand même un certain culot pour se réclamer de René Girard depuis les positions idéologiques qui sont les vôtres.
Précisons quand même, à l’intention des autres lecteurs, que je ne me situe pas du tout ici en contestataire de distinctions ou en défenseur de boucs émissaires. Mon propos n’a rien de victimaire. C’est vous, en vous situant du côté des hiérarchies à protéger, qui montrez par là-même qu’elles ne sont plus opérantes. D’ailleurs, quand vous dites que les boucs émissaires ne sont jamais défendus, c’est pour exhiber aussitôt les vôtres, que vous appelez les « lambda ».
Nous sommes en pleine crise sacrificielle. C’est ce qu’établit ce texte, comme le précédent sur la NC et comme le premier sur l’antisémitisme. C’est ce qu’établissent aussi, comme en miroir, des réactions telles que les vôtres.
L’arrogance, si vous voulez ; la mauvaise foi, non
Vous, j’hésite, Castelnau les 2, sans hésiter
Quant à mes « positions idéologiques » j’aimerai bien que vous les explicitiez.
Manifestement à l’image de Castelneau & groupies, vous m’en inventez de celles qui vous font plaisir, façon point Godwin
Quant à vous, voici 2 textes, très très très long et très très abscons plus celui ci pour dire qu’on est en crise, qu’il y a inversion des valeurs, que tous les belligérants sont à mettre dans le même sac, que les groupies justifient chez eux ce qu’ils dénoncent chez les autres
Alors là bravo, quelle clairvoyance
Allez voir mes réponses sous les textes de Castelnau, je disais la même chose avant vos interventions
En attendant, les lambdas crèvent de désespoir
Le lecteur pourrait se demander si je n’interviens pas sous pseudonyme pour mettre en abyme le dernier paragraphe de mon texte…
D’un point de vue littéraire, c’est très réussi !
Et bien expliquez nous en quoi, et surtout juste en quelques mots
En attendant, vos analyses girardiennes, en plus de votre style verbeux et obscurs, sont creuses
A minima, est nécessaire l’identification des rivaux, du médiateur et du bouc émissaire
Faites donc un peu l’exercice sur Castelnau et sa déraison , c’est un bon sujet
LFI ment en disant qu’il peut changer les choses en Europe. C’est tout bonnement impossible car les députés n’ont aucun pouvoir et ça n’est pas prêt de changer car il faudrait pour cela 27×2 ratification d’un même traité ce qui est tout bonnement inimaginable (ni surtout possible). Les députés français de plus n’ont aucun pouvoir (et donc à part prendre un salaire bien généreux) ne se servent à rien car toutes les décisions sont prises par des experts non élus de Bruxelles. Il n’y a qu’une solution si l’on veut refaire de la politique en France sortir de l’UE, non pas en choisissant Philippot qui est bien marqué à l’extrême droite mais en votant pour Asselineau. On commence par le premier pas. Après on verra.
Le 9 juin votez pour n’importe qui sauf pour les macronistes et sauf pour ceux qui ont appelé à voter Macron au deuxième tour de la présidentielle.
Et, pour beaucoup gens, votez, sauf pour l’extrême-droite. Pour ma part, il y a un barrage moral à voter pour des partis qui sont les héritiers de Pétain, celui, qui consciemment, a choisi d’être le laquais français d’Hitler. Pour moi, qui suis dans la quarantaine, c’est un barrage que j’espère bien conserver jusqu’à la fin de mes jours.
Reductio ad Hitlerum ou quand les gauchistes n’ont aucun argument à avancer.
Merci pour l’expression de ce qui me préoccupait précisément il y a une heure : ça ressemble à la division du sens de la démocratie et l’appropriation réussie d’une île isolée, dont sont exclus de parole et de légitimité tous ceux qui ne rentrent pas dans la géométrie des intérêts dominants. Les discours médiatiques deviennent caricaturaux et exclusifs, les adversaires ne sont plus considérés pour ce qu’ils ont à dire, le discours dominant est incapable d’amorcer la moindre autocritique, la moindre translation dans le point de vue de l’adversaire. Ce sont des signes graves.
Merci pour votre lecture !
Delogu a enfreint le règlement de l’Assemblée nationale qu’il était censé connaître et respecter. C’est tout.
https://lcp.fr/actualites/drapeau-palestinien-brandi-dans-l-hemicycle-sebastien-delogu-lfi-exclu-de-l-assemblee
Me de Castelnau, le capitalisme comme système économique est fondé sur la lutte des classes entre possédants et possédés, bourgeois et prolétaires et subsidiairement, entre les capitalistes et les prolétaires entre eux, le tout dans le cadre d’une économie dite de «marchés» où la concurrence et la rivalité règnent sans partage.Dans un tel chaos anarchique de conflits d’intérêts, comment éviter les conflits qui conduisent à termes à la guerre?
C’est dans cette jungle de coupes jarrets et d’égorgeurs sans pitié qu’a été conçu l’État: le cirque «civilisé» où cette guerre mortifère doit se mener sans effusion de sang.
Qui a les moyens financiers de briguer les suffrages et de se faire élire dans ce dit cirque? Les riches et les puissants ou leurs estafettes, tantôt bleus, tantôt rouges, brunes,noires, jaunes, blanches et tutti quanti ad nauseam.
Il suffit de savoir que la moindre élections coûtent une fortune pour comprendre que ce ne peut être que l’apanage des capitalistes les plus fortunés.À ces frais électoraux prohibitifs, ils faut ajouter ceux de la propagande par les médias mainstream pour convaincre quiconque est doté de la moindre intelligence que la politique comme l’idéologie est aussi la propriété exclusive des capitalistes.
Ultimement, si le pouvoir devait leur échapper, un coup d’État ou une invasion militaire, un blocus, des sanctions, des ONG patentés, une dictature sont aussitôt mis à contribution pour «rétablir l’ordre», leur «ordre».
C’est dans ce contexte «arrangé avec le gars des vues» qu’il faut analyser le cirque «démocratique» de nos parlements où règnent en fin de compte une parfaite unanimité des laquais des capitalistes pour perpétuer la dictature de la bourgeoisie sous une forme ou sous une autre à travers un verbiage manucuré de droite ou de gauche.
Si vous en doutez, trouvez quelques députés qui préconisent d’abolir la propriété privée des moyens de production, la fin de l’exploitation de l’homme par l’homme, la nationalisation de tous les moyens de communication et agissent conformément à ces objectifs?
La mascarade parlementaire tire à sa fin et même le droit d’un parlementaire laquais de faire entendre la voie de sa faction bourgeoise achève.Ainsi,alors qu’un agent à la solde des sionazis appèlent la France au génocide des palestiniens et arbore une épinglette du drapeau de l’État israélien, que les représentants du sionisme suprémaciste,raciste, d’apartheid, génocidaire, israélien sont reçus dans l’hémicycle, un député n’aurait pas le droit d’exhiber le glorieux drapeau de la Palestine dans cette «démocratie»? Lorsque la règle de 2 poids,2 mesures devient qu’1 poid, 1 mesure, la dictature s’installe.
Lorsque les tambours de la guerre se font entendre et que les talons cloutés martèlent la chaussée, il faut oser lutter, il faut oser vaincre car il n’y a plus de place pour les tergiversations, l’ennemi de classes ne fait pas de quartier comme l’a prouvé la montée du nazisme, du fascisme, du militarisme, du libéralisme, du soviétisme et du collaborationnisme pétainiste.
En première année de philo, à l’UFR, j’ai appris que la meilleure démocratie…C’est le fascisme : tout le monde est d’accord. C’est exactement ce qu’applique le gris personnage qui entretient ses roses avec 600000€/an de nos poches.
Comme dit un youtubeur, c’est quand même assez bouffon de voir une Gaël Braun-Pivet sanctionner un député, alors qu’elle-même porte à la boutonniere le drapeau d’un autre Etat que le nôtre. Ces gens n’ont aucune conscience, sinon l’avidité, la cruauté et la bêtise crasse. Ah, j’oubliais s’aplatir devant le maître sénile.
Le problème avec LFI, c’est qu’il soutiennent à juste titre le sPalestiniens de Gaza, mais qu’ils font du clientélisme avec nos racailles de banlieue. Les uns sont des résistants courageux, les autres des parasites. M. Mélenchon est un démagogue exceptionnel. Et, je dirais, un con.