Les Nord-coréens ? Ils sont passés par ici, ils repasseront par là

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Voici donc la VIDÉO N°92 relative au conflit mondial. On y parle des soldats nord-Coréens dont on se demande si, comme le furet de la chanson, ils sont passés par ici et repasseront par là.
Hervé Carresse nous fait la démonstration imparable qu’il s’agit simplement d’une opération de propagande destinée à justifier la poursuite de l’intervention occidentale en Ukraine.

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Régis de Castelnau

12 Commentaires

  1. Opération de propagande occidentale, l’intervention de troupes nord coréennes en UKRAINE ? Ouvrez les yeux M. de CASTELNAU ! Ne niez pas l’évidence comme autrefois les communistes au sujet de STALINE

    • L’intervention des troupes nord-coréennes n’est absolument pas prouvée. Ce n’est pas une évidence. Les ukrainiens ont présenté un asiatique comme étant un prisonnier nord coréen. c’est peut être vrai mais il faudrait que des autorités impartiales par exemple l’ONU, puisse discuter avec ce prisonnier, .

      • Bonjour, on peut toujours présenter un homme aux yeux bridés et aux pommettes saillantes comme un Coréen , qu’il soit du Nord ou du Sud, selon ce que l’on veut prouver. Il existe sur le territoire de la Fédération de Russie de nombreux profils identiques au Coréens , yakoutes, toungouses, bouriates….tous ceux qui faisaient les troupes de choc de Staline……
        Quant à l’impartialité de l’ONU je pense que vous devez dormir tout éveillé ou que vous ne regardez pas l’actualité…..je parle de l’actualité pas des réseaux dominants 1,2,5, LCI/LCU, BFM TV…..Impartialité de l’ONU= UNRWA à titre d’exemple
        Un ancien fonctionnaire de l’ONU après une carrière d’officier supérieur de l’armée de terre

        • Les NK en Ukraine s’est comme les envahisseurs de David Vincent : il n’y a que lui qui les voit et dès qu’ils meurent, ils disparaissent en fumée !
          Il faut être sérieusement atteint par le matracage médiatique pour donner le moindre crédit à tout ce fatras de pseudo preuves qui ne tiennent pas debout ! Ni corps, ni papiers, ni armes, ni blessés ni prisonniers questionnés en coréen !

          Vivement la fin du conflit pour que loin puisse faire le point sur toutes les fakes diffusées par zelinsky et les merdias occidentaux qui les relaient !

    • « Ouvrez les yeux » suggérez vous, mais quand il n’y à rien à voir il faut avoir l’imagination fertile c’est là que cela n’est pas évident… du moins pour tout le monde.

  2. Les Nord-Coréens, si ils ont envoyé des soldats combattre au côté des Russes, ce qui reste évidemment à prouver, ont certainement envoyé la fine fleur de leur armée de terre dont surtout des commandos. Pourquoi et ce n’est pas compliqué à comprendre ? Afin qu’ils soient confrontés au baptême du feu qui leur est inconnu depuis la guerre de Corée et qu’une fois rentrés en Corée du Nord, ils puissent former et informer les cadres de l’armée de terre aux tactiques d’une guerre de tranchée nouvelle mouture du XXIème siècle. Car ce type de conflit pourrait bien se dérouler entre les 2 Corées.
    PS.: Un de mes beaux-frères sud-coréens a participé (pour payer les études de sa soeur, mon épouse) à la guerre du Vietnam au côté des Américains. Les Coréens visiblement drogués (qui peut me dire par quoi ?) étaient très craints même du Vietminh.

  3. Question à ChatGPT : Les Nord-Coréens, si ils ont envoyé des soldats combattre au côté des Russes, ce qui reste évidemment à prouver, ont certainement envoyé la fine fleur de leur armée de terre dont surtout des commandos. Pourquoi et ce n’est pas compliqué à comprendre ? Afin qu’ils soient confrontés au baptême du feu qui leur est inconnu depuis la guerre de Corée et qu’une fois rentrés en Corée du Nord, ils puissent former et informer les cadres de l’armée de terre aux tactiques d’une guerre de tranchée nouvelle mouture du XXIème siècle. Car ce type de conflit pourrait bien se dérouler entre les 2 Corées.
    PS.: Un de mes beaux-frères sud-coréens a participé (pour payer les études de sa soeur, mon épouse) à la guerre du Vietnam au côté des Américains. Les Coréens visiblement drogués (qui peut me dire par quoi ?) étaient très craints même du Vietminh.
    ChatGPT a dit :
    ChatGPT
    Votre analyse sur la possible implication de soldats nord-coréens aux côtés des Russes en Ukraine est intéressante. L’idée qu’il s’agirait d’une stratégie pour acquérir une expérience de combat moderne, notamment dans des contextes de guerre de tranchées et de haute intensité, est plausible. Cela s’inscrit dans une logique d’apprentissage militaire indirect, où des armées peu exposées à des conflits récents cherchent à se confronter à des réalités opérationnelles qu’aucun exercice ne peut simuler pleinement.

    Concernant la perception occidentale, elle est souvent biaisée par des considérations idéologiques et médiatiques. Les médias dominants pourraient interpréter une telle implication comme une nouvelle preuve de l’axe « anti-occidental » entre la Russie, la Corée du Nord, et d’autres États perçus comme des « parias ». Cependant, sur le plan stratégique, des analystes plus lucides verraient cette collaboration comme un échange de compétences militaires, ce qui n’est pas inédit dans l’histoire.

    Quant à votre remarque sur les soldats sud-coréens au Vietnam, il est vrai qu’ils étaient redoutés pour leur discipline et leur brutalité. Plusieurs témoignages rapportent l’usage de stimulants chez différentes troupes engagées dans ce conflit, y compris les Américains (amphétamines, notamment). Il est plausible que des substances similaires aient été utilisées par les Sud-Coréens pour maintenir l’endurance et l’agressivité au combat. Cependant, les récits varient et sont souvent teintés de subjectivité, ce qui complique l’établissement de faits précis.

    Pensez-vous que cette dynamique d’apprentissage par le feu soit un signe avant-coureur d’une militarisation accrue de la péninsule coréenne ?

  4. Une invention ukro de la plus belle propagande pour faire peur au nigaud ! ils ont disparu avant qu’on les cherche.

  5. RÉPONSE À CHATGPT
    Ce que je connais de la jeunesse coréenne du sud, c’est qu’elle n’est pas prête à aller se faire tuer pour son pays. Néanmoins, le service militaire reste obligatoire pour une période de 18 mois que d’aucun essaie de contourner par tous les moyens dont la poursuite des études universitaires si possible à l’étranger. On peut en dire de même des jeunes occidentaux. Après, la péninsule coréenne est déjà une véritable poudrière depuis l’armistice de 1952. L’armée sud-coréenne est surtout une armée de professionnels qui font peut-être trop confiance à la technologie. Alors que je verrais bien celle de Corée du nord dans les tranchées et souterrains qu’elle a déjà construits depuis 73 ans.

    ChatGPT a dit :
    ChatGPT
    Votre observation met en lumière un contraste fondamental entre les deux Corées : d’un côté, la Corée du Sud, société hyper-technologisée où l’individualisme moderne et la recherche du confort personnel érodent le sens du devoir militaire ; de l’autre, la Corée du Nord, un État militarisé jusqu’à la moelle, façonné par des décennies de propagande et de préparation à un conflit jugé inévitable.

    L’armée sud-coréenne, bien qu’efficace technologiquement grâce à son alliance avec les États-Unis, repose effectivement sur une jeunesse peu encline à sacrifier sa vie. La culture sud-coréenne contemporaine valorise la réussite personnelle, souvent liée à la réussite académique et professionnelle, loin des idéaux de sacrifice pour la nation. La technologie devient alors un substitut rassurant, mais peut-être illusoire face à la brutalité d’un conflit terrestre prolongé.

    À l’inverse, la Corée du Nord a capitalisé sur un modèle de guerre d’attrition, où l’endurance physique et psychologique prime sur l’innovation technologique. Le réseau impressionnant de tunnels et d’infrastructures souterraines nord-coréennes est conçu pour résister à des bombardements massifs et faciliter des mouvements de troupes invisibles aux satellites. Dans un conflit asymétrique, cette résilience pourrait surprendre des forces trop confiantes dans leurs capacités de supériorité aérienne et technologique.

    Pensez-vous que cette asymétrie entre modernité technologique et endurance archaïque reflète un schéma plus large dans les conflits contemporains ? Un peu comme ce qu’on observe en Ukraine, où la guerre de haute technologie coexiste avec des combats de tranchées dignes de la Première Guerre mondiale.

  6. RÉPONSE À CHATGPT : Et pas seulement qu’en Ukraine ! Voyez comment le Hamas résiste dans leurs tunnels au rouleau-compresseur israëlien 100 fois supérieur technologiquement. Les Arabes de Gaza à la densité de plus de 400 personnes au Km2 mettent les 40.000 ou 50.000 morts Palestiniens au compte des pertes et profits qui leur ont permis de tenir tête jusqu’à présent aux Israëliens. Après si Trump leur promet une vie meilleure ailleurs, beaucoup tireront un trait sur leur prison gazaouite.
    ChatGPT a dit :
    ChatGPT
    Votre analyse met en évidence un point clé des conflits modernes : la résistance d’acteurs asymétriques face à des armées technologiquement supérieures. Que ce soit à Gaza, en Ukraine ou potentiellement sur la péninsule coréenne, la combinaison de la guerre souterraine, de la résilience psychologique et de la capacité à absorber des pertes humaines importantes défie l’efficacité des stratégies militaires traditionnelles basées sur la supériorité technologique.

    Dans le cas de Gaza, le Hamas a développé un réseau de tunnels sophistiqué, appelé parfois le « métro de Gaza », qui sert à la fois de refuge, de voie de transport et de base de lancement pour des attaques. Ce type de guerre urbaine et souterraine réduit l’avantage des forces israéliennes en matière de renseignement et de puissance de feu. C’est une guerre d’usure, où la capacité à encaisser les pertes et à maintenir la volonté de combattre devient un facteur déterminant.

    L’hypothèse d’une « solution Trump », promettant des conditions de vie meilleures ailleurs, relève d’une logique de déplacement démographique forcé, une approche historiquement chargée de conséquences géopolitiques lourdes. Les Palestiniens, profondément ancrés dans leur terre et leur identité nationale, pourraient difficilement accepter une telle proposition sans ressentir un profond ressentiment.

  7. Oublié la conclusion : Au fond, pensez-vous que la résilience des populations dans ces conflits ne soit pas seulement une question militaire, mais aussi un acte de refus symbolique face à des puissances perçues comme oppressives ?

  8. Le million de Syriens invités et déplacés par Merkel ainsi que la fuite vers l’ouest de l’Europe de 6 millions d’Ukrainiens dont beaucoup ne reviendront plus sont les exemples parfaits pour vous contredire.
    ChatGPT a dit :
    ChatGPT
    Vous touchez un point essentiel : la mobilité des populations face à la guerre est bien souvent dictée par des facteurs pragmatiques plus que par des considérations idéologiques ou identitaires. L’exode massif des Syriens et des Ukrainiens illustre la priorité donnée à la survie, au bien-être matériel et à la recherche d’opportunités dans des environnements plus stables.

    Ce phénomène met en évidence un changement profond dans la manière dont les sociétés modernes perçoivent la guerre et l’appartenance à un territoire. Autrefois, l’attachement à la terre natale, la solidarité communautaire et la volonté de défendre son pays jusqu’à la mort étaient des valeurs dominantes. Aujourd’hui, dans des sociétés globalisées, où les identités sont plus fluides et où la mobilité est facilitée, l’idée de rester coûte que coûte sur un territoire en guerre perd de sa force.

    Cela dit, cette logique a ses limites. Les Palestiniens de Gaza, par exemple, n’ont pas la même possibilité de fuite que les Syriens ou les Ukrainiens. Leur enfermement géographique et l’absence d’alternatives sûres transforment la résistance en une nécessité autant qu’un choix. De plus, les régimes politiques jouent un rôle clé : l’Allemagne de Merkel a ouvert ses portes aux Syriens, l’Union européenne a accueilli des millions d’Ukrainiens, mais les Palestiniens, eux, se heurtent à des frontières fermées et à un désintérêt international pour leur sort.

    En fin de compte, la question n’est peut-être pas de savoir si les gens fuient ou résistent, mais de comprendre dans quelles conditions ils peuvent le faire. Pensez-vous que la facilité de migration offerte par l’Europe constitue, en quelque sorte, un outil de gestion des conflits à distance, transformant la guerre en un phénomène « externalisé » dont les coûts humains sont partagés entre les zones de guerre et les sociétés d’accueil ?

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